Histoire de la Convention nationaleBaudouin frères, libraires, rue de Vaugirard, no 36, 1825 - 388 pages |
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Histoire de la Convention nationale Pierre Toussaint Durand de Maillane Affichage du livre entier - 1825 |
Histoire de la Convention nationale Durand de Maillane (M., Pierre Toussaint),comte Jean-Denis Lanjuinais Affichage du livre entier - 1825 |
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Expressions et termes fréquents
10 août accusés agens arrestation assemblées autorités avaient avez Barbaroux barre Barrère bespierre Billaud-Varenne blique citoyens clubs collègues comité de législation comité de salut comité de sûreté commission des douze commune complices conspirateurs constitution de 1791 Convention nationale corps législatif coupables Couthon crime Danton déclaration décret d'arrestation défense délibérations demande dénoncés départemens députés détenus devait discours Dumouriez Durand de Maillane émigrés ennemis envoyés événemens force armée girondins gouvernement Henriot j'ai jacobins jour jugement juin justice l'Assemblée constituante Lanjuinais liberté lois long-temps Louis XVI Marat massacres membres ment mesures ministre montagnards montagne municipalité n'avait n'était nation patrie patriotes Pétion pétition prairial présente président projet publique Qu'avez-vous à répondre représentans du peuple représentation nationale républicains république révolution Saint-Just salle salut public sauver séance sections Septeuil sera seul sur-le-champ sûreté générale Tarascon thermidor tion toyens traîtres tribunal révolutionnaire tribune troupes tyran vention nationale voté voulait
Fréquemment cités
Page 341 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 340 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Page 22 - Je jure d'être fidèle à la Nation et de maintenir la liberté et l'égalité ou de mourir en les défendant.
Page 339 - Le peuple français, convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens, pouvant comparer sans cesse les actes du Gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer...
Page 340 - Tout acte exercé contre un homme hors des cas et sans les formes que la loi détermine, est arbitraire et tyrannique ; celui contre lequel on voudrait l'exécuter par la violence, a le droit de le repousser par la force.
Page 341 - Tout homme peut engager ses services, son temps, mais il ne peut se vendre ni être vendu ; sa personne n'est pas une propriété aliénable. La loi ne reconnaît point de domesticité ; il ne peut exister qu'un engagement de soins et de reconnaissance entre l'homme qui travaille et celui qui l'emploie.
Page 161 - Dès ce moment, jusqu'à celui où les ennemis auront été chassés du territoire de la république , tous les Français sont en réquisition permanente pour le service des armées. » Les jeunes gens iront au combat ; les hommes mariés forgeront les armes et transporteront les subsistances ; les femmes feront des tentes , des habits , et serviront dans les hôpitaux; les enfants mettront le vieux linge en charpie; les vieillards se feront porter sur les places publiques pour exciter le courage...
Page 340 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites.
Page 341 - L'instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique, et mettre l'instruction à la portée de tous les citoyens.
Page 316 - Mirabeau , qui devait imprimer un mouvement contre-révolutionnaire aux provinces. Vous avez répandu des millions pour effectuer cette corruption, et vous avez voulu faire de la popularité même, un moyen d'asservir le peuple. Ces faits résultent d'un mémoire de Talon , que vous avez apostillé de votre main , et d'une lettre que Laporte vous écrivait le 19 avril, dans laquelle, vous rapportant une conversation qu'il avait eue avec Rivarol , il vous disait que les millions qu'on vous avait engagé...