Cours de littérature, d'histoire et de philosophie, Volume 1Bossange et Masson, 1814 |
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Cours de littérature, d'histoire et de philosophie: Extraits de ..., Volume 1 Jean Pont Victor de Lévizac,François Moysant Affichage du livre entier - 1814 |
Expressions et termes fréquents
âme Anaxagoras Aristote arts Athènes Athéniens avoient avoit besoin Bossuet Buffon c'étoit caractère Catilina CHAP CHAPITRE choses Cicéron citoyens cœur Colbert Condillac connoissances connoître corps courage d'ètre Démosthènes devoirs Dieu différens Diopithe discours donner éloquence enfans enfin ennemis esprit étoient étoit événemens faisoit falloit foibles foiblesse force général génie genre gloire Grecs historiens hommes humain idées j'ai jamais l'âme l'amour l'art l'éloquence l'esprit l'histoire l'homme l'orateur l'univers Lacédémone lois long-temps lui-même magistrat main malheur Massillon mème ment mille mœurs monde monumens morale mort mouvemens n'avoit nation nature noble objets orateurs parler paroît passions pensée père pères de l'église Périclès peuple Philippe philosophie Platon Plutarque politique pouvoit premier prince principes qu'un raison religion république rien Romains Rome s'il sage sagesse science sénat sentimens sentiment seroit seul siècle société Socrate sorte souvent sublime Suédois Sully Sylla Tacite talens témoins terre Thermopyles tion Tite-Live trouve vérité vertu vices voilà Xénophon yeux
Fréquemment cités
Page 463 - ... la magnificence et la piété pour honorer un héros ; des titres, des inscriptions, vaines marques de ce qui n'est plus...
Page 463 - Agréez ces derniers efforts d'une voix qui vous fut connue. Vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de déplorer la mort des autres, grand Prince, dorénavant, je veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte; heureux, si, averti par ces cheveux blancs, du compte que je dois rendre de mon administration, je réserve au troupeau que je dois nourrir de la parole de vie, les restes d'une voix qui tombe, et d'une ardeur qui s'éteint.
Page 361 - Voyez les livres des philosophes avec toute leur pompe , qu'ils sont petits près de celui-là ! Se peut-il qu'un livre , à la fois si sublime et si simple, soit l'ouvrage des hommes?
Page 461 - O nuit désastreuse ! ô nuit effroyable où retentit tout à coup, comme un éclat de tonnerre, cette étonnante nouvelle : MADAME se meurt ! MADAME est morte ! Qui de nous ne se sentit frappé à ce coup, comme si quelque tragique accident avait désolé sa famille?
Page 461 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux...
Page 449 - La nécessité du salut , la certitude de la mort , l'incertitude de cette heure si effroyable pour vous , l'impénitence finale , le jugement dernier, le petit nombre des élus, l'enfer...
Page 145 - ... lui ôter par conseil et par prévoyance; mais au reste, si vigilant et si prêt à tout, qu'il n'a jamais manqué les occasions qu'elle lui a présentées; enfin un de ces esprits remuants et audacieux qui semblent être nés pour changer le monde.
Page 361 - Quand Platon peint son juste imaginaire * couvert de tout l'opprobre du crime, et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante, que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Page 231 - Bien différente de l'art humain , dont les prodécrions ne sont que des ouvrages morts, la nature est elle-même un ouvrage perpétuellement vivant, un ouvrier sans cesse actif qui sait tout employer , qui, travaillant d'après soi-même toujours sur le même fonds bien loin de l'épuiser , le rend inépuisable. Le temps, l'espace et la matière sont ses moyens, l'univers son objet, le mouvement et la vie son but.
Page 231 - La Nature est le système des lois établies par le Créateur pour l'existence des choses et pour la succession des êtres. La Nature n'est point une chose, car cette chose serait tout; la Nature n'est point un être, car cet être serait Dieu. Mais on peut la considérer comme une puissance vive, immense, qui embrasse tout, qui anime tout...