 | Paul Pellisson-Fontanier, Pierre-Joseph Thoulier Olivet - 1858 - 670 pages
...tinie avant la lin du mois ; je n'aime assurément point cette vilaine besogne, mais il faut bien m'y résoudre, car sans cela nous aurions vu arriver, non pas les calendes de janvier 1736, mais, je crois, celles de janvier 1836, avant que la Compagnie eût pu se trouver d'accord. » Paris, 17... | |
 | Paul Pellisson-Fontanier - 1858 - 592 pages
...linie avant la lin du mois ; je n'aime assurément point cette vilaine besogne, mais il faut bien m'y résoudre, car sans cela nous aurions vu arriver, non pas les calendes de janvier 1730, mais, je. crois, celles de janvier 1836, avant que la Compagnie eût pu se trouver d'accord.... | |
 | Ambroise Firmin-Didot - 1868 - 512 pages
...compagnie. Enfin , comme il est temps <le se mettre à imprimer, l'Académie se détermina hier à me nommer seul plénipotentiaire à cet égard. Je n'aime...aurions vu arriver, non pas les calendes de janvier 173n, mais celles de 1836, avant que la compagnie eût pu se trouver d'accord. » Dans sa lettre du... | |
 | Ambroise Firmin-Didot - 1868 - 510 pages
...temps ilf se mettre à imprimer, l'Académie se détermina hier à me nommer seul plénipotentiaire a cet égard. Je n'aime point cette besogne, mais il...aurions vu arriver, non pas les calendes de janvier 173fi, mais celle» de 1836, avant que la compagnie eût pu se trouver d'accord. » Dans sa lettre... | |
 | Ambroise Firmin-Didot - 1868 - 508 pages
...temps de se mettre à imprimer, l'Académie se détermina hier à me nommer seul plénipotentiaire ci cet égard. Je n'aime point cette besogne, mais il...faut bien s'y résoudre, car, sans cela, nous aurions \u arriver, non pas les calendes de janvier 1736, mais celles de 1836, avant que la compagnie eût... | |
 | Ambroise Firmin-Didot - 1868 - 506 pages
...temps de se mettre à imprimer, l'Académie se détermina hier à me nommer seul plénipotenciaire à cet égard. Je n'aime point cette besogne , mais il faut bien s'y résoudre , car, tans cela, nous aurions vu arriver, non pas les calendes de janvier iT.'Uï. mais celles de 1836, avant... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - 1869 - 522 pages
...Compagnie. Enfin, comme il est temps de se mettre à imprimer, l'Académie se détermina hier à me nommer seul plénipotentiaire à cet égard. Je n'aime...1736, mais celles de 1836, avant que la Compagnie eùi pu se trou ver d'accord. » Au moment de mettre sous presse, on fut encore arrêté quelque temps,... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - 1869 - 458 pages
...temps de se mettre à imprimer, l'Académie se détermina hier à me nommer seul plénipotenciaire à cet égard. Je n'aime point cette besogne, mais...1736, mais celles de 1836, avant que la Compagnie eùi pu se trouver d'accord. » Au moment de mettre sous presse , on fut encore arrêté quelque temps,... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - 1869 - 464 pages
...Compagnie. Enfin, comme il est temps de se mettre à imprimer, l'Académie se détermina hier à me nommer seul plénipotentiaire à cet égard. Je n'aime...cette besogne, mais il faut bien s'y résoudre, car. s;ms cela, nous aurions vu arriver non pas les calendes de janvier 1736, mais celles de 1836, avant... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - 1869 - 464 pages
...Compagnie. Enfin, -comme il est temps de se mettre à imprimer, l'Académie se détermina hier à me nommer seul plénipotentiaire à cet égard. Je n'aime...cette besogne, mais il faut bien s'y résoudre, car. s;ms cela, nous aurions vu arriver non pas les calendes de janvier 1736, mais celles de 1836, avant... | |
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Nos délibérations, depuis six mois, n'ont servi qu'à faire voir qu'il était impossible que rien de systématique partit d'une Compagnie. Enfin, comme il est temps de se mettre à imprimer, l'Académie se détermina hier à me nommer seul plénipotentiaire... 
