Les confessions de J.J. Rousseau: suivies des reveries du promeneur solitaireChez François Grasset & Comp., 1782 - 295 pages |
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Page 9
... penser ; c'est le fort commun de l'humanité . Je l'éprouvai plus qu'un autre . J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou fix ans : je ne fais comment j'appris à lire ; je ne me fouviens que de mes premie- res lectures & LIVRE I. 9.
... penser ; c'est le fort commun de l'humanité . Je l'éprouvai plus qu'un autre . J'ignore ce que je fis jusqu'à cinq ou fix ans : je ne fais comment j'appris à lire ; je ne me fouviens que de mes premie- res lectures & LIVRE I. 9.
Page 15
... plus rare , traité en en- fant chéri , jamais en enfant gâté . Jamais une seule fois , jusqu'à ma fortie de la maison paternelle on ne m'a laiffé courir seul dans la rue avec les autres enfans : jamais on n'eut à réprimer en LIVRE I. 15.
... plus rare , traité en en- fant chéri , jamais en enfant gâté . Jamais une seule fois , jusqu'à ma fortie de la maison paternelle on ne m'a laiffé courir seul dans la rue avec les autres enfans : jamais on n'eut à réprimer en LIVRE I. 15.
Page 17
... jusqu'à mon affervissement fous un maître , je n'ai pas fu ce que c'étoit qu'une fantaisie . Hors le tems que je paffois à lire ou écrire auprès de mon pere , & celui où ma mie me menoit promener , j'étois toujours avec ma tante , à la ...
... jusqu'à mon affervissement fous un maître , je n'ai pas fu ce que c'étoit qu'une fantaisie . Hors le tems que je paffois à lire ou écrire auprès de mon pere , & celui où ma mie me menoit promener , j'étois toujours avec ma tante , à la ...
Page 20
... jusqu'à la fin , sans être ar- rêté par mes larmes . J'ai cent fois projetté d'écrire à Paris pour faire chercher le reste des paroles , fi tant est que quelqu'un les connoiffe en- core . Mais je fuis presque fûr que le plaifir que je ...
... jusqu'à la fin , sans être ar- rêté par mes larmes . J'ai cent fois projetté d'écrire à Paris pour faire chercher le reste des paroles , fi tant est que quelqu'un les connoiffe en- core . Mais je fuis presque fûr que le plaifir que je ...
Page 23
... jusqu'à celui qui m'y a ramené . M. Lambercier étoit un homme fort raisonnable , qui , fans négliger notre instruction , ne nous chargeoit point de devoirs ex- trêmes . La preuve qu'il s'y prenoit bien eft que , malgré mon averfion pour ...
... jusqu'à celui qui m'y a ramené . M. Lambercier étoit un homme fort raisonnable , qui , fans négliger notre instruction , ne nous chargeoit point de devoirs ex- trêmes . La preuve qu'il s'y prenoit bien eft que , malgré mon averfion pour ...
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Expressions et termes fréquents
abſolument affez aifément aimoit ainfi ainſi dire aiſe Annecy auffi auſſi avoit Bafile beſoin bourſe c'eſt c'étoit cauſe ceffe charme chofes choſe cœur connoiffance defirs dîné diſoit donnoit enfans eſpece eſprit eſt étoient étois étoit eût faifoit falloit fans Favria femme fentir feroit fervir feule foit fonger fuis fuite fûr fur moi fur-tout fût Gaime Geneve goût hiſtoire homme j'ai j'allois j'aurois j'avois j'en j'étois j'eus j'euſſe jamais jeune jours juſqu'à l'eſprit l'inſtant laiffer Lambercier long-tems m'avoit m'en m'eſt Madame de Warens maiſon maître Maman maniere ment Merceret Mlle muſique n'ai n'eſt paffer paffion pere perſonne plaifir plaiſirs pluſieurs pouvoit premiere préſent preſque refte reſte rien ſans ſavoir ſembloit ſens ſentimens ſentois ſervice ſes ſeul ſeule ſeulement ſoin ſon ſous ſouvenir ſouvent ſuis ſuivre ſujet ſur talens tems tion trouve trouvois venoit Venture viſage vois vouloit voyage voyois