1791-92. (Assemblée législative)Guillaume N. Lallement A. Eymery, 1820 |
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Expressions et termes fréquents
10 août 20 juin acte formel agens Applaudissemens armées armes aurait autorités constituées avez bataillons camp château circonstances citoyens Coblentz comité commissaires commission des douze commission extraordinaire confiance conspirateurs constitutionnel Convention nationale corps législatif crime danger dangers déclaration décret défense demande départemens députation despotisme devant devoir directoire district doit émigrés enfin ennemis étrangères factieux faction force frontières garde nationale général Guadet guerre j'ai jour juré l'armée l'Assem l'Assemblée nationale l'égalité l'empire l'état Lafayette liberté libre liste civile lois Louis XVI Luckner magistrats maire Majesté maréchal Luckner membres ment messieurs mesures mille hommes ministres moyens municipalité Murmures nation paix patrie patriotisme perfides Pétion pétition piques porter pouvoir exécutif présenter prêtres principes projet Prusse public publique puissances qu'un rassemblement représentans du peuple respect responsabilité révolution s'il salut sanction sauver séance sentimens sentiment serait serment seront seul soldats sûreté tion titution toyens tranquillité tribunes trône troubles troupes Tuileries Vergniaud vœu voix volonté
Fréquemment cités
Page 262 - La ville de Paris et tous ses habitants, sans distinction, seront tenus de se soumettre sur-lechamp et sans délai au roi, de mettre ce prince en pleine et entière liberté, et de lui assurer, ainsi qu'à toutes les personnes royales, l'inviolabilité et le respect auxquels le droit de la nature et des gens oblige les sujets envers les souverains, Leurs...
Page 154 - Francais n'a pu émouvoir , homme que le seul amour du despotisme a pu rendre sensible , vous n'avez pas rempli le vœu de la Constitution ! Elle...
Page 57 - ... privées et publiques, qui, dans un pays libre, doivent être l'austère et unique moyen de parvenir aux premières fonctions du gouvernement?
Page 261 - Tous les habitans , au contraire , desdites villes , bourgs et villages , qui s'empresseront de se soumettre à leur roi en ouvrant leurs portes aux troupes de leurs majestés, seront à l'instant sous leur sauvegarde immédiate; leurs personnes, leurs biens, leurs effets seront sous la protection des lois , et il sera pourvu à la sûreté générale de tous et chacun d'eux. 8...
Page 262 - Tuileries est forcé ou insulté , que s'il est fait la moindre violence, le moindre outrage à leurs majestés le roi, la reine et à la famille royale, s'il n'est pas pourvu immédiatement à leur sûreté, à leur conservation et à leur liberté...
Page 59 - ... au courage calme et constant d'une nation qui connaît ses droits et les défend ; enfin , leurs combinaisons sectaires aux véritables intérêts de la patrie qui , dans ce moment de danger , doit réunir tous ceux pour qui son asservissement et sa ruine ne sont pas les objets d'une atroce jouissance et d'une infâme spéculation.
Page 99 - Majesté a constitutionnellement refusée à deux décrets. Le roi n'a opposé aux menaces et aux insultes des factieux que sa conscience et son amour pour le bien public. Le roi ignore quel sera le terme où ils voudront s'arrêter, mais il a besoin de dire à la Nation française que la violence, à...
Page 261 - TrèsChrétienne la sûreté nécessaire pour qu'elle puisse faire sans danger, sans obstacle , les convocations qu'elle jugera à propos , et travailler à assurer le bonheur de ses sujets , suivant ses promesses , et autant qu'il dépendra d'elle.
Page 151 - C'est contre la nation, ou l'Assemblée nationale seule, et pour le maintien de la splendeur du trône, que le roi de Bohême et de Hongrie nous fait la guerre et que le roi de Prusse marche vers nos frontières : c'est au nom du roi que la liberté est attaquée et que, si l'on parvenait à la renverser, on démembrerait bientôt l'empire pour...
Page 54 - Majesté, non seulement comme citoyen soumis aux lois, mais comme ministre honoré de sa confiance, ou revêtu de fonctions qui la supposent; et je ne connais rien qui puisse m'empêcher de remplir un devoir dont j'ai la conscience. C'est dans le même esprit...