Portraits, de Mopse, I, 51. - De Celse, 52. De Ménippe, ou l'oiseau paré de divers plumages, 53. - D'une coquette, 58. - D'une femme qui a un directeur, 65. — D'Hermagoras, ou de l'homme très-versé dans l'antiquité, mais tout-à-fait étranger à l'histoire moderne, 122. - De Cydias, ou du hel esprit, 123, 124. De Clitiphon, ou de l'important, 130. -Des partisans (Sosie, Arfure, Crésus, Champagne, Silvain, Dorus, Périandre, Chrysippe, Ergaste, Criton), 132 et suiv. - De Giton, ou du riche, 153, 154. - De Phédon, ou du pauvre, 154, 155. - De Narcisse, ou de l'homme régulier, 163. De l'homme que l'on voit partout, ibid. De Théramène, ou du riche célibataire, 165. De Cimon et de Clitandre, ou des gens toujours en mouvement, 176, 177. – De Ménophile, 187. De Théodote, 192 et suiv. – De Straton, ou de l'homme né sous deux étoiles, 206 et suiv. - De Theophile, ou de l'homme qui veut gouverner les grands, 212 et suiv. ·De Théléphon, ou de l'homme riche et en faveur, 214. - De Théognis, 225. De Pamphile, ou du grand plein de lui-même, 226, 227. De Démophile, ou du frondeur, 236 et suiv. De Basilide, ou de l'anti-frondeur, 238 et suiv. - Du ministre plénipotentiaire, 240 et suiv. - De Louis XIV, 253 et suiv. - De Ménalque, ou du distrait, 259 et suiv. De Phidippe, 300, 301. - De Gnathon, ou de l'égoïste, 301. - De Cliton, ou de l'homme né pour la digestion, 302, 303. - De Ruffin, ou de l'homme qui ne s'affecte de rien, 303. De N..., ou de l'homme infirme qui a la manie de faire bâtir, 304. Portraits, d'Antagoras, ou de l'homme à procès, I, 304, 305. De Télèphe, ou de l'homme qui ne se mesure point, 310. - Du sot, ibid. - De Timon ou du misanthrope, 315. - D'Hérille, ou de l'homme à citations, 342. Du fleuriste, II, 2. De l'amateur de prunes, 3. De l'amateur de médailles, ibid. - De l'amateur d'estampes, 4. De l'amateur de livres, 5. De l'homme qui a la manie de bâtir, 6. De l'amateur d'oiseaux, 8. - De l'amateur de coquillages, 9. De l'amateur d'insectes, ibid. — D'Iphis, ou de l'homme esclave de la mode, 13. — D'Onuphre, ou du faux dévot, 18. — D’Hermippe, ou de l'homme esclave de ses petites commodités, 48, 49. Posséder, l'on ne se rend point sur le désir de posséder et de s'agrandir, I, 143. Poste, on monte plus aisément à un poste éminent et délicat qu'on ne s'y conserve, I, 183. - Les postes éminents rendent les grands hommes encore plus grands et les petits beaucoup plus petits, 340. Praticien, conscience du praticien, II, 43. Prevention, misère de la prévention', I, 334. Primer, on ne prime ni avec les grands, ni avec les petits, I, 117. Prince, jeunesse du prince, source de belle fortune, I, 190. - Lever du prince, 196. : - Une parole échappée tombe quelquefois de l'oreille du prince jusque dans son cœur, 201. -Seroient plus vains s'ils estimoient davantage ceux qui les louent, 213. - Les hommes capables de conseiller les rois sont censurés s'ils échouent, enviés s'ils réussissent, 214. Ce qu'on doit apprendre aux jeunes princes, 223. - Il ne manque rien à un roi que les douceurs d'une vie privée, 246. Rien ne fait plus d'honneur au prince que la modestie de son favori, 246. -Fait le bonheur des peuples quand il choisit pour le ministère ceux mêmes qu'ils auroient voulu lui donner, 248. Prince, nommer un roi père du peuple est moins faire son éloge que l'appeler par son nom, I, 250. - Parallèle d'un bon prince et d'un berger, 251. -L'avantage et le danger de leur rang, 252. Peuvent-ils jamais trop acheter le cœur de leurs peuples? ibid. La puissance absolue le paie-t-elle de ses peines? ibid. Probité, l'ostentation d'une certaine probité peut enrichir, I, 141. Provinciaux, les provinciaux et les sots sont toujours prêts à se fà- Prudence, où manque la prudence, trouvez la grandeur si vous le Pruderie, est une imitation de la sagesse, I, 70. Prunes, de l'amateur de prunes, II, 3. Public (le), écueil des gens poussés par la faveur, I, 341. Puissants (des). Voyez Grands. Q Question (la), perd un innocent de complexion foible, sauve un cou- R RABELAIS, jugement sur son livre, I, 23. RACINE, parallèle de Racine et de Corneille, I, 29 et suiv. Railler, du goût qui nous porte à railler, et de la colère que nous Raillerie, à couvert de la répartie`; on ne doit jamais faire une rail- Raison, tient de la vérité; elle est une, I, 315. L'on n'y arrive que par un chemin, et l'on s'en écarte par mille, - Est de tous les climats, 327. Reconnoissance, il n'y a guère au monde un plus bel excès que celui Rehabilitations, des réhabilitations, II, 27. Religion, quelques hommes l'altèrent en la défendant, II, Motifs qui la font aimer, go. 87. République, quand on veut innover dans une république, c'est moins la chose le que temps que l'on considère, I, 233. Des diverses sortes de maux dans une république, 233, 234. Ressembler, rien ne ressemble mieux à aujourd'hui que demain, II, 90. Rétributions, des rétributions dans les paroisses, II, 33. Riches, parallèle des riches et des pauvres, I, 141, 142. Celui-là est riche qui reçoit plus qu'il ne consume, 142. Le présent est pour les riches, et l'avenir pour les vertueux et les habiles, 144. Ridicule, ne point en mettre où il n'y en a point: le voir où il est, I, 38. - Part d'un défaut d'esprit, 335. - L'on y entre quelquefois avec de l'esprit, mais l'on en sort, I, 335. Rire, il faut rire avant que d'être heureux, de peur de mourir sans avoir ri, I, 91. Il n'est ordinaire pas que celui qui fait rire se fasse estimer, 97. Robe, des gens de robe, I, 158 et suiv. Rois. Voyez prince... Roman, pourroit être aussi utile qu'il est nuisible, I, 28. Ruiner, gens qui se ruinent à se faire moquer de soi, I, 162. S Sage (le), guérit de l'ambition par l'ambition même, I, 55. Évite quelquefois le monde, de peur d'être ennuyé, 127. Légistes, docteurs, médecins, quelle chute pour vous, si nous pouvions tous nous donner le mot de devenir sages! 319. Sagesse, il y a une fausse sagesse qui est pruderie, I, 70. SANTEUIL, jugement sur ce poète, I, 339. Satire, un homme né chrétien et françois se trouve contraint dans la satire, I, 37. Savant; chez plusieurs, savant et pédant sont synonymes, I, 322. - Des savants, 322, 323. Savoir, intempérance de savoir, II, 5. Secret, toute révélation d'un secret est la faute de celui qui l'a con fié, I, 126. Seul, tout notre mal vient de ne pouvoir être seul, I, 295. Siege, curieux qui assistent à un siége, I, 351, 352. Société, dans la société c'est la raison qui plie la première, I, 158. SOCRATE, jugement sur ce philosophe, I, 342. Soldats, sont au souverain comme une monnoie dont il achète une victoire, I, 250. Solliciter, qui sollicite pour les autres a la confiance d'un homme qui demande justice, I, 232. Sots, ne fait rien comme un homme d'esprit, I, 51. C'est le rôle d'un sot d'être importun, I, 97. - Les provinciaux et les sots sont toujours prêts à se fàcher, 116. Rire des gens d'esprit c'est le privilége des sots, 117. Portrait du sot, 310, 311. -Est celui qui n'a pas assez d'esprit pour être fat, 335. Ne se tire jamais du ridicule, c'est son caractère, ibid. Sottise, il n'y a rien qui rafraîchisse le sang comme d'avoir su éviter de faire une sottise, I, 281. Soulager, tel soulage les misérables qui laisse son fils dans l'indigence, I, 347. Souverain. Voyez Prince. Stoïcisme, jeu d'esprit, idée semblable à la république de Platon, I, 257, 258. Stupide, est un sot qui ne parle point, en cela plus supportable que le sot qui parle, I, 336. Sublime, qu'est-ce que le sublime? I, 32. Entre les grands génies, les plus élevés en sont seuls capables,33. Suffisant, ce qui le fait, I, 336. T Talents, l'universalité de talents n'est pas comprise par les esprits bornés, I, 50. Temps, le regret de l'avoir mal employé ne conduit pas toujours à en faire un meilleur usage, I, 277. Ceux qui l'emploient mal sont les premiers à se plaindre de sa brièveté, 353. Ceux qui en font bon usage en ont de reste, ibid. TÉRENCE, jugement sur cet auteur, I, 22. Testament, inconstance des hommes dans leurs dispositions testa mentaires, II, 45. Textes, avantages que procure l'étude des textes pour tous genres d'érudition, II, 54. |