Theatre, d'où vient que l'on rit si librement au théâtre, et que l'on a honte d'y pleurer, I, 28. Ses mœurs doivent être décentes et instructives, 29. THEOPHILE, jugement sur cet auteur, I, 22. THERSITE. Jetez-moi dans les troupes comme un simple soldat, je suis Thersite; mettez-moi à la tête d'une armée dont j'aie à répondre à toute l'Europe, je suis Achille, I, 223. Tragédie, ses effets, I, 28. Traits (les), découvrent la complexion et les mœurs, I, 143. Tyrannie, il ne faut ni art ni science pour l'exercer, I, 232. V Valoir, se faire valoir par des choses qui ne dépendent que de soi seul, I, 41. Vanité, la fausse modestie est le dernier raffinement de la vanité, I, 282. La fausse gloire est son écueil, 282. Venger (se), c'est par foiblesse qu'on songe à se venger, et c'est par paresse qu'on ne se venge point, I, 92. Vérité, n'est pas à l'homme, elle vient du ciel toute faite, pour ainsi dire, et dans sa perfection, II, 84, 85. Vers, le peuple écoute avidement les vers pompeux; et, à mesure qu'il les comprend moins, il les admire davantage, 1, 10. Vertu, vivement touché des choses rares, pourquoi l'est-on si peu de la vertu ? I, 45. - II y a une fausse vertu qui est hypocrisie, 70. Est égale et ne se dément point, 234. - Qu'elle soit à la mode, qu'elle n'y soit plus, elle demeure vertu, II, 9. Seule va au-delà des temps, 26. Vices, point de vice qui n'ait une fausse ressemblance avec quelque vertu, et qui ne s'en aide, I, 94. - Des vices innés et des vices acquis, 270. - Partent d'une dépravation du cœur, 335. Vie, sa brièveté, I, 91. Se passe toute à désirer, 271. Misérable, elle est pénible à supporter; heureuse, il est horrible de la perdre, 274. Vie, rien que les hommes aiment mieux, et qu'ils ménagent moins, I, 274. -Est un sommeil, 277. Vieillards, c'est une grande difformité dans la nature qu'un vieillard amoureux, I, 296. - Le souvenir de la jeunesse est tendre dans les vieillards, 299. - En eux, une trop grande négligence, comme une excessive parure, multiplie leurs rides, ibid. Est d'un commerce difficile, s'il n'a beaucoup d'esprit, 310. Vieillesse, l'on craint la vieillesse, que l'on n'est pas sûr de pouvoir atteindre, I, 276. — L'on espère de vieillir et l'on craint la vieillesse; on aime la vie, on fuit la mort, ibid. Ville, la petite ville, I, 116. Coteries de la ville, 156. – On s'élève à la ville dans une indifférence grossière des choses rurales, 168, 169. - Otez les passions, l'intérêt, l'injustice, quel calme dans les plus grandes villes! 273. Visage, un beau visage est le plus beau de tous les spectacles, I, 59. Vivre, qui a vécu un seul jour a vécu un siècle, II, 90. VOITURE, jugement sur ses lettres, I, 21. Étoit né pour son siècle, II, 12. FIN DE LA TABLE ANALYTIQUE. AVERTISSEMENT de M. Schweighæuser. Aperçu de l'histoire de la morale, en Grèce, avant Théo phraste. Discours de La Bruyère sur Théophraste. Avant-propos de Théophraste. CHAPITRE PREMIER. De la dissimulation. 151 CHAP. II. De la flatterie. CHAP. III. De l'impertinent, ou du diseur de riens. CHAP. V. Du complaisant, ou de l'envie de plaire. CHAP. VII. Du grand parleur. CHAP. VIII. Du débit des nouvelles. CHAP. IX. De l'effronterie causée par l'avarice. CHAP. XI. De l'impudent, ou de celui qui ne rougit de 234 239 . 243 CHAP. XIII. De l'air empressé. 256 CHAP. XXIV. De l'orgueil. CHAP. XXV. De la peur, ou du défaut de courage. 300 .303 308 312 . 316 CHAP. XXIX. Du goût qu'on a pour les vicieux. . 320 323 |