La nature humaine: essais de psychologie appliquéeDidier, 1865 - 533 pages |
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... l'univers . Le sensualisme et le scepticisme devaient d'ail- leurs , comme toujours il arrive , entraîner une alté- ration profonde de l'idée de Dieu . Ainsi des esprits qui se croient hardis et qui ne sont que légers , ont affecté de ...
... l'univers . Le sensualisme et le scepticisme devaient d'ail- leurs , comme toujours il arrive , entraîner une alté- ration profonde de l'idée de Dieu . Ainsi des esprits qui se croient hardis et qui ne sont que légers , ont affecté de ...
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... l'athéisme . Et cette négation , froide et calme chez quelques- uns , est allée chez d'autres jusqu'à un emportement sauvage . On s'est efforcé de déraciner des cœurs l'idée de Dieu , comme un mal , une cause de ser- vitude , un ...
... l'athéisme . Et cette négation , froide et calme chez quelques- uns , est allée chez d'autres jusqu'à un emportement sauvage . On s'est efforcé de déraciner des cœurs l'idée de Dieu , comme un mal , une cause de ser- vitude , un ...
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... l'amitié les uns pour les autres , si les atomes ronds ont plus d'es- prit et de vertu que les atomes carrés : cette per- sonne rira encore , et ne pourra croire que vous lui parliez sérieusement ... l'idée que nous avons 36 LIVRE 1.
... l'amitié les uns pour les autres , si les atomes ronds ont plus d'es- prit et de vertu que les atomes carrés : cette per- sonne rira encore , et ne pourra croire que vous lui parliez sérieusement ... l'idée que nous avons 36 LIVRE 1.
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essais de psychologie appliquée Jean Félix Nourrisson. de l'esprit ou être pensant dans l'idée que nous avons du corps ou être étendu ( 1 ) . » Et la science la plus altière doit ici , sous peine de délirer , s'ac- corder avec le sens ...
essais de psychologie appliquée Jean Félix Nourrisson. de l'esprit ou être pensant dans l'idée que nous avons du corps ou être étendu ( 1 ) . » Et la science la plus altière doit ici , sous peine de délirer , s'ac- corder avec le sens ...
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... idée dans l'âme , que nous ne savons ce qu'est l'âme elle - même ; mais nous savons que nos idées sont attachées à certaines fibres ; nous pouvons donc raisonner sur ces fibres , parce que nous les voyons ; nous pouvons étudier un peu ...
... idée dans l'âme , que nous ne savons ce qu'est l'âme elle - même ; mais nous savons que nos idées sont attachées à certaines fibres ; nous pouvons donc raisonner sur ces fibres , parce que nous les voyons ; nous pouvons étudier un peu ...
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Expressions et termes fréquents
Académie des sciences âme Aristote beauté Bossuet certitude chap charité chologie choses conception connaître conscience conséquent corps couronné par l'Académie d'autre déterminer devoir Dieu divine doctrine effet elle-même esprit Esprit des Lois Études facultés genre humain gouvernement Histoire hommes idées insépa intelligence justice l'Académie française l'àme l'âme humaine l'amour l'art l'esprit humain l'être l'existence l'homme l'humanité l'idée l'infini l'observation psychologique l'unité l'univers légitime Leibniz liberté logique loi de l'homme lois lui-même Madame Swetchine manifeste mème ment métaphysique méthode monde Montesquieu nature humaine nécessaire non-moi notion Nouv Nouvelle édition objet observation OEuvres complètes ontologique Ouvrage couronné panthéisme Pascal passions pensée peuples phénomènes philosophie de l'histoire phrénologie physiologie physique Platon politique principes prix Gobert problème progrès propriété Providence psycho psychologie Qu'est-ce qu'un raison rapports Rémusat rien SAINT-MARC GIRARDIN science du beau sens sensation sentiment serait seul siècle société sorte systèmes théodicée théorie tion vérité vignettes vrai
Fréquemment cités
Page 240 - Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu ! c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...
Page 393 - Quand vous voyez quelquefois un nombreux troupeau qui répandu sur une colline vers le déclin d'un beau jour, paît tranquillement le thym et le serpolet, ou qui broute dans une prairie une herbe menue et tendre qui a échappé à la faux du moissonneur, le berger, soigneux et attentif, est debout auprès de ces brebis, il ne les perd pas de vue, il les suit...
Page 210 - Il faut qu'elle soit quelque chose de réel ; car le néant ne peut être parfait, ni perfectionner les natures imparfaites? Où est-elle, cette raison suprême? N'est-elle pas le Dieu que je cherche?
Page 301 - Il ya donc primitivement une intelligence, une science certaine, une vérité, une fermeté, une inflexibilité dans le bien, une règle, un ordre, avant qu'il y ait une déchéance de toutes ces choses : en un mot, il ya une perfection avant qu'il y ait un défaut ; avant tout...
Page 58 - Nous ne pouvons donc plus être embarrassés à déterminer le véritable sens de cette expression : influence du moral sur le physique ; nous voyons clairement qu'elle désigne cette même influence du système cérébral, comme organe de la pensée et de la volonté, sur les autres organes dont son action sympathique est capable d'exciter, de suspendre et même de dénaturer toutes les fonctions. C'est cela ; ce ne peut être rien de plus.
Page 389 - Cette constitution peut être présentée à toutes les associations humaines, depuis la Chine jusqu'à Genève. Mais une constitution qui est faite pour toutes les nations, n'est faite pour aucune : c'est une pure abstraction...
Page 277 - Socrate , qui est la fin de tous ses travaux précédens : beauté éternelle , non engendrée et non périssable, exempte de décadence comme d'accroissement, qui n'est point belle dans telle partie et laide dans telle autre, belle seulement en tel temps , dans tel lieu , dans tel rapport , belle pour ceux-ci, laide pour ceux-là; beauté qui n'a point de forme sensible, un visage, des mains, rien de corporel; qui n'est pas non plus telle pensée...
Page 328 - C'est pourquoi la première règle de notre logique , c'est qu'il ne faut jamais abandonner les vérités une fois connues , quelque difficulté qui survienne , quand on veut les concilier ; mais qu'il faut au contraire , pour ainsi parler, tenir toujours fortement comme les deux bouts de la chaîne, quoiqu'on ne voie pas toujours le milieu par où l'enchaînement se continue.
Page 21 - L'homme est visiblement fait pour penser : c'est toute sa dignité et tout son mérite; et tout son devoir est de penser comme il faut : or l'ordre de la pensée est de commencer par soi, et par son auteur et sa fin. Or, à quoi pense le monde? Jamais à cela; mais à danser, à jouer du luth, à chanter, à faire des vers, à courir la bague, etc., à se bâtir, à se faire roi, sans penser à ce que c'est qu'être roi et qu'être homme.
Page 314 - Le dernier des hommes, dans le sentiment de la misère inhérente à sa nature bornée, conçoit obscurément et vaguement l'être tout parfait, et ne peut le concevoir sans se sentir soulagé et relevé, sans éprouver le besoin et le désir de retrouver et de posséder encore, ne fût-ce que pendant le moment le plus fugitif, la puissance et la douceur de cette contemplation, conception, notion, idée, sentiment; car qu'imporlent ici les mots, puisqu'il n'ya pas de mots pour l'âme?