Les Confessions de J.-J. RousseauE. Flammarion, 1907 - 693 pages |
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... cœur me battait de joie à ses moindres avantages , et que ses revers m'affli- geaient comme s'ils fassent tombés sur moi . Si cette folie n'eût été que pas- sagère , je ne daignerais pas en parler ; mais elle s'est tellement enracinée ...
... cœur me battait de joie à ses moindres avantages , et que ses revers m'affli- geaient comme s'ils fassent tombés sur moi . Si cette folie n'eût été que pas- sagère , je ne daignerais pas en parler ; mais elle s'est tellement enracinée ...
Page 17
... cœur m'en saignait plus qu'à eux . Je suis sû- rement le seul qui , vivant chez une nation qui le traitait bien et qu'il ado- rait , se soit fait chez elle un faux air de la dédaigner . Enfin ce penchant s'est trouvé si désintéressé de ...
... cœur m'en saignait plus qu'à eux . Je suis sû- rement le seul qui , vivant chez une nation qui le traitait bien et qu'il ado- rait , se soit fait chez elle un faux air de la dédaigner . Enfin ce penchant s'est trouvé si désintéressé de ...
Page 21
... cœur quatre ou cinq , entr'autres celle des Amours dormans , que je n'ai pas revue depuis ce temps - là , et que je sais encore pres- quetoute entière ; de même que l'Amour piqué par une abeille , très jolie can- tate de Clerambault ...
... cœur quatre ou cinq , entr'autres celle des Amours dormans , que je n'ai pas revue depuis ce temps - là , et que je sais encore pres- quetoute entière ; de même que l'Amour piqué par une abeille , très jolie can- tate de Clerambault ...
Page 27
... cœur ; la gêne et l'assiduité au travail m'en firent un supplice insup- portable , et j'en vins enfin à vouloir quitter mon emploi pour me livrer to- talement à la musique . On peut croire que cette folie ne passa pas sans oppo- sition ...
... cœur ; la gêne et l'assiduité au travail m'en firent un supplice insup- portable , et j'en vins enfin à vouloir quitter mon emploi pour me livrer to- talement à la musique . On peut croire que cette folie ne passa pas sans oppo- sition ...
Page 38
... cœur était ouvert devant elle comme devant Dieu . Elle ne prit pas tout - à- à - fait la chose avec la même simplicité que moi . Elle vit des avances où je n'a- vais vu que des amitiés ; elle jugea que madame Lard , se faisant un point ...
... cœur était ouvert devant elle comme devant Dieu . Elle ne prit pas tout - à- à - fait la chose avec la même simplicité que moi . Elle vit des avances où je n'a- vais vu que des amitiés ; elle jugea que madame Lard , se faisant un point ...
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Les confessions de J.J. Rousseau: suivies des Rêveries du ..., Volume 2 Jean-Jacques Rousseau Affichage du livre entier - 1782 |
Les confessions de J. J. Rousseau: suivies des Reveries du promeneur solitaire Jean-Jacques Rousseau Affichage du livre entier - 1782 |
Expressions et termes fréquents
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