Les confessions de J. J. Rousseau, Volume 1Poinçot, 1789 |
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... caresses : elles n'en étaient que plus tendres . Quand il me disait , Jean - Jacques , parlonsdetamère ; je lui disais , Eh bien ! mon père , nous allons donc pleurer : et ce mot seul lui tirait déja des larmes . Ah ! disait - il en ...
... caresses : elles n'en étaient que plus tendres . Quand il me disait , Jean - Jacques , parlonsdetamère ; je lui disais , Eh bien ! mon père , nous allons donc pleurer : et ce mot seul lui tirait déja des larmes . Ah ! disait - il en ...
Page 20
... pus- sions jamais l'être . Tous deux d'un es- prit facile à céder aux caresses , com- plaisans quand on ne voulait pas nous contraindre , nous étions toujours d'accord sur tout . Si , par la faveur de ceux 20 LES CONFESSIONS ,
... pus- sions jamais l'être . Tous deux d'un es- prit facile à céder aux caresses , com- plaisans quand on ne voulait pas nous contraindre , nous étions toujours d'accord sur tout . Si , par la faveur de ceux 20 LES CONFESSIONS ,
Page 55
... était que maladie et ce que c'était que santé . Absent d'elle j'y pensais , elle me man- quait ; présent , ses caresses m'étaient douces au cœur , non aux sens . J'étais impunément C4 LIVRE I. 55 en ce qu'elles me faisaient éprouver. ...
... était que maladie et ce que c'était que santé . Absent d'elle j'y pensais , elle me man- quait ; présent , ses caresses m'étaient douces au cœur , non aux sens . J'étais impunément C4 LIVRE I. 55 en ce qu'elles me faisaient éprouver. ...
Page 67
... caresses ; je me rendis . J'allais tous les matins moissonner les plus belles asperges ; je les portais au Molard , où quelque bonne femme qui voyait que je venais de les voler , me le disait pour les avoir à meilleur compte . Dans ma ...
... caresses ; je me rendis . J'allais tous les matins moissonner les plus belles asperges ; je les portais au Molard , où quelque bonne femme qui voyait que je venais de les voler , me le disait pour les avoir à meilleur compte . Dans ma ...
Page 124
... caresses qu'elle m'avait faites , l'intérêt si tendre qu'elle avait paru prendre à moi , ses regards charmans , qui me semblaient pleins d'amour parce qu'ils m'en inspiraient ; tout cela nour- rissait mes idées durant la marche , et me ...
... caresses qu'elle m'avait faites , l'intérêt si tendre qu'elle avait paru prendre à moi , ses regards charmans , qui me semblaient pleins d'amour parce qu'ils m'en inspiraient ; tout cela nour- rissait mes idées durant la marche , et me ...
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Les confessions de J.J. Rousseau: suivies des reveries du promeneur solitaire Jean-Jacques Rousseau Affichage du livre entier - 1782 |
Expressions et termes fréquents
âge aimait Annecy aqueduc assez avais beau Bernex bientôt bler Bossey Breil c'était cantate caresses chambre chanter charme cher chose Claude Anet cœur Comité d'Instruction publique Confessions crois d'elle déja déjeûner desirs dîner dire donner Dortan écou enfans enfant enfin étais état eût faisait fallait fallut femme fille fût Gaime Genève goût Gouvon grace homme idée j'ai j'aimais j'allais j'aurais j'avais j'en j'étais j'eus jeune jolie jours laisser Lausanne livres long-temps m'avait m'en m'était m'eût madame Basile madame de Warens mademoiselle Galley mademoiselle Lambercier maison maître maman ment menuet Merceret messen moi-même musique n'ai jamais n'avais n'en n'était n'osai nesque Nyon pable parler passer passion peine penser père personne petite Piémontais plaisir Pontverre pouvait presque prit quelquefois reste reux rien sais savais sentimens sentir seul songer sorte souvent sur-tout talens tendre trouve Turin vait venait Venture Voilà voulait voyage voyais Vulson yeux