Les confessions de J. J. Rousseau, Volume 1Poinçot, 1789 |
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... fut des plus empressés à lui en offrir . Il fallait que sa passion fût vive , puis- qu'au bout de trente ans je l'ai vu s'attendrir en me parlant d'elle . Ma mère avait plus que. * Elle en avait de trop brillans pour son état , le ...
... fut des plus empressés à lui en offrir . Il fallait que sa passion fût vive , puis- qu'au bout de trente ans je l'ai vu s'attendrir en me parlant d'elle . Ma mère avait plus que. * Elle en avait de trop brillans pour son état , le ...
Page 28
... sottes fantaisies , dans mes érotiques fureurs , dans les actes extravagans aux- quels elles me portaient quelquefois , j'empruntaisimaginairement lesecours de l'autre sexe , sans penser jamais qu'il fût propre 28 LES CONFESSIONS ,
... sottes fantaisies , dans mes érotiques fureurs , dans les actes extravagans aux- quels elles me portaient quelquefois , j'empruntaisimaginairement lesecours de l'autre sexe , sans penser jamais qu'il fût propre 28 LES CONFESSIONS ,
Page 29
... fût propre à nul autre usage qu'à celui que je brûlais d'en tirer . Non - seulement donc c'est ainsi qu'a- vec un tempérament très - ardent , très- lascif , très - précoce , je passai toutefois l'âge de puberté sans desirer , sans con ...
... fût propre à nul autre usage qu'à celui que je brûlais d'en tirer . Non - seulement donc c'est ainsi qu'a- vec un tempérament très - ardent , très- lascif , très - précoce , je passai toutefois l'âge de puberté sans desirer , sans con ...
Page 33
... fût la première fois qu'on m'eût trouvé tant d'audace à mentir . La chose fut prise au sérieux ; elle méritait de l'être . La méchanceté , le imensonge , l'obstination , parurent éga- lement dignes de punition ; mais pour le coup ce ne fut ...
... fût la première fois qu'on m'eût trouvé tant d'audace à mentir . La chose fut prise au sérieux ; elle méritait de l'être . La méchanceté , le imensonge , l'obstination , parurent éga- lement dignes de punition ; mais pour le coup ce ne fut ...
Page 41
... , mon cousin et moi , dans l'idée très - naturelle qu'il était plus beau de planter un arbre sur la terrasse qu'un drapeau sur la brèche , et nous résolûmes de nous procurer cette gloire sans la partager avec qui que ce fût LIVREI . 41.
... , mon cousin et moi , dans l'idée très - naturelle qu'il était plus beau de planter un arbre sur la terrasse qu'un drapeau sur la brèche , et nous résolûmes de nous procurer cette gloire sans la partager avec qui que ce fût LIVREI . 41.
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Expressions et termes fréquents
âge aimait Annecy aqueduc assez avais beau Bernex bientôt bler Bossey Breil c'était cantate caresses chambre chanter charme cher chose Claude Anet cœur Comité d'Instruction publique Confessions crois d'elle déja déjeûner desirs dîner dire donner Dortan écou enfans enfant enfin étais état eût faisait fallait fallut femme fille fût Gaime Genève goût Gouvon grace homme idée j'ai j'aimais j'allais j'aurais j'avais j'en j'étais j'eus jeune jolie jours laisser Lausanne livres long-temps m'avait m'en m'était m'eût madame Basile madame de Warens mademoiselle Galley mademoiselle Lambercier maison maître maman ment menuet Merceret messen moi-même musique n'ai jamais n'avais n'en n'était n'osai nesque Nyon pable parler passer passion peine penser père personne petite Piémontais plaisir Pontverre pouvait presque prit quelquefois reste reux rien sais savais sentimens sentir seul songer sorte souvent sur-tout talens tendre trouve Turin vait venait Venture Voilà voulait voyage voyais Vulson yeux