Les confessions de J. J. Rousseau, Volume 1Poinçot, 1789 |
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... qui nous était échue . Heureu- sement il s'y trouva de bons livres ; et cela ne pouvait guère être autrement , cette bibliothèque ayant été formée par un ministre à la A5 LIVRE 9 I. En peu de temps j'acquis par cette ...
... qui nous était échue . Heureu- sement il s'y trouva de bons livres ; et cela ne pouvait guère être autrement , cette bibliothèque ayant été formée par un ministre à la A5 LIVRE 9 I. En peu de temps j'acquis par cette ...
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... pouvait inspirer . J'ai même tort de nous supposer oisifs , car de la vie nous ne le fûmes moins ; et ce qu'il y avait d'heureux était que tous les amusemens dont nous nous passionnions successivement nous te- naient ensemble occupés ...
... pouvait inspirer . J'ai même tort de nous supposer oisifs , car de la vie nous ne le fûmes moins ; et ce qu'il y avait d'heureux était que tous les amusemens dont nous nous passionnions successivement nous te- naient ensemble occupés ...
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... pouvait valoir que d'être bien étrillé par mon maître ; et d'avance je m'arrangeais là - dessus . Mais encore une fois je ne convoitais pas même assez pour avoir à m'abste- nir ; je ne sentais rien à combattre . Une seule feuille de ...
... pouvait valoir que d'être bien étrillé par mon maître ; et d'avance je m'arrangeais là - dessus . Mais encore une fois je ne convoitais pas même assez pour avoir à m'abste- nir ; je ne sentais rien à combattre . Une seule feuille de ...
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... pouvait y avoir si loin du lieu où j'étais au premier château en Espagne , qu'il ne me fût aisé de m'y établir . De cela seul il suivait que l'état le plus simple , celui qui donnait le moins de tracas et de soins , celui qui laissait l ...
... pouvait y avoir si loin du lieu où j'étais au premier château en Espagne , qu'il ne me fût aisé de m'y établir . De cela seul il suivait que l'état le plus simple , celui qui donnait le moins de tracas et de soins , celui qui laissait l ...
Page 95
... pouvait pas s'appeler faire l'aumône ; ils n'y mettaient pas assez l'air de la supériorité . A force de voyager et de parcourir le monde , j'allai jusqu'à Confignon , terres de Savoie à deux lieues de Ge- nève . Le curé s'appelait M. de ...
... pouvait pas s'appeler faire l'aumône ; ils n'y mettaient pas assez l'air de la supériorité . A force de voyager et de parcourir le monde , j'allai jusqu'à Confignon , terres de Savoie à deux lieues de Ge- nève . Le curé s'appelait M. de ...
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Les confessions de J. J. Rousseau: suivies des Reveries du ..., Volume 1 Jean-Jacques Rousseau Affichage du livre entier - 1782 |
Les confessions de J.J. Rousseau: suivies des reveries du promeneur solitaire Jean-Jacques Rousseau Affichage du livre entier - 1782 |
Expressions et termes fréquents
âge aimait Annecy aqueduc assez avais beau Bernex bientôt bler Bossey Breil c'était cantate caresses chambre chanter charme cher chose Claude Anet cœur Comité d'Instruction publique Confessions crois d'elle déja déjeûner desirs dîner dire donner Dortan écou enfans enfant enfin étais état eût faisait fallait fallut femme fille fût Gaime Genève goût Gouvon grace homme idée j'ai j'aimais j'allais j'aurais j'avais j'en j'étais j'eus jeune jolie jours laisser Lausanne livres long-temps m'avait m'en m'était m'eût madame Basile madame de Warens mademoiselle Galley mademoiselle Lambercier maison maître maman ment menuet Merceret messen moi-même musique n'ai jamais n'avais n'en n'était n'osai nesque Nyon pable parler passer passion peine penser père personne petite Piémontais plaisir Pontverre pouvait presque prit quelquefois reste reux rien sais savais sentimens sentir seul songer sorte souvent sur-tout talens tendre trouve Turin vait venait Venture Voilà voulait voyage voyais Vulson yeux