L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volumes 7 à 81787 |
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... fuivre ce Conseil ; & l'on verra quel ufage fit Elisabeth de ce con- fentement , pour empêcher Marie de rentrer dans ses Etats en Souveraine . Cependant un parti se formoit , en Ecoffe , en faveur de Marie ; les 276 L'ANNÉE LITTÉRAIRE .
... fuivre ce Conseil ; & l'on verra quel ufage fit Elisabeth de ce con- fentement , pour empêcher Marie de rentrer dans ses Etats en Souveraine . Cependant un parti se formoit , en Ecoffe , en faveur de Marie ; les 276 L'ANNÉE LITTÉRAIRE .
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L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ..., Volume 6 Affichage du livre entier - 1768 |
L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits ..., Volumes 3 à 4 Affichage du livre entier - 1786 |
L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ..., Volume 1 Affichage du livre entier - 1783 |
Expressions et termes fréquents
affez Agathocle ainſi Artiſte aſſez auffi auroit auſſi avoient avoit Banau beau beſoin Bothnel BRUNSWICK c'eſt c'étoit cauſe Chivot choſe Comédie Comte Comte de Murray Conſeil Dieu diſcours Elifabeth enfans enſuite eſpèce eſprit eſt étoient étoit fans fiécle foible font François fur-tout génie Goldoni Gourcy goût Henri Stuart homme jeune jours juſqu'à juſte Juvigny L'ANNÉE LITTÉRAIRE l'Auteur l'eſprit l'Oder LETTRE lorſque luxe Marcion Marie mœurs Moliere Monfieur Murray n'avoit n'eſt naiſſance Orgon ouvrage paffer paroît paſſer perſonne peuple Philoſophes Pièce plaifir plaiſir pluſieurs Poëte pourroit preſque Prince Princeſſe public raiſon Reine reſpect reſpire reſte richeſſes s'eſt ſans ſans doute ſçait ſçavans ſçavoir ſcène ſe trouve ſecond ſecours ſein ſemble ſens ſenſibilité ſenſible ſentiment ſera ſeroit ſes ſeul ſeule ſiècle ſociété ſoit ſon ſon fils ſont ſous ſouvent ſpectacle ſtrophe ſtyle ſuccès ſuis ſuite ſujet ſur talens Tartuffe teur tion troiſième uſage vertus
Fréquemment cités
Page 301 - Apollon , & Neptune» Qui fur ces Rocs fourcilleux , Ont , compagnons de fortune , Bâti ces murs orgueilleux? De leur enceinte fameufe La Sambre , unie à la Meufe , Défend le fatal abord : Et par cent bouches horribles , L'airain fur ces monts terribles Vomit le fer & la mort. Dix mille vaillans Alcides, Les bordant de toutes parts...
Page 263 - Adieu , plaisant pays de France : O ma patrie La plus chérie, Qui as nourri ma jeune enfance ! Adieu , France , adieu nos beaux jours ! La nef qui déjoint nos amours N'a eu de moi que la moitié. Une part te reste : elle est tienne ; Je la fie à ton amitié , Pour que de l'autre il te souvienne.
Page 206 - Et lui dit, parlant un peu gras , L'ayant pris par le bout du bras (C'est par la main que je veux dire) : Comment vous portez-vous, beau sire?
Page 203 - Le but moral de ce genre d'écrits est de faire voir que tous les objets ont deux faces , de déconcerter la vanité humaine, en présentant les plus grandes choses et les plus sérieuses d'un côté ridicule et bas , et en prouvant à l'opinion qu'elle tient souvent à des formes.
Page 355 - La vraie manière d'apprendre une langue quelconque, vivante ou morte, par le moyen de la langue Française,
Page 167 - C'est, dit-il , fermer les yeux à la lumière que de ne pas voir que l'institution de la société est le résultat d'une nécessité physique.
Page 314 - Votre grand cœur , fans doute , attend après mes pleurs , » Pour aller , dans fes bras , jouir de mes douleurs ; « Chargé de tant d'honneur , il veut qu'on le revoie...
Page 291 - Dieux dans fon bonheur peuvent -ils l'égaler ? Je fens de veine en veine une fubtile flamme , Courir par tout mon corps, fitôt que je te vois : Et dans les doux tranfports , où s'égare mon ame, Je ne faurois trouver de langue , ni de voix.
Page 301 - L'airain sur ces monts terribles Vomit le fer et la mort. Dix mille vaillants Alcides , Les bordant de toutes parts , D'éclairs au loin homicides Font pétiller leurs remparts...