Histoire universelle, Volume 17Firmin-Didot, 1855 |
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... laissa - t - il en effet gagner par le vertige . Comme les parvenus , il songea trop à faire étalage de sa puissance ; toujours désireux de se remuer et d'imprimer le mouvement , il regardait le but , et non les obstacles . Obligé de ...
... laissa - t - il en effet gagner par le vertige . Comme les parvenus , il songea trop à faire étalage de sa puissance ; toujours désireux de se remuer et d'imprimer le mouvement , il regardait le but , et non les obstacles . Obligé de ...
Page 20
... laissa parler la belle madame de Sabran ; puis , l'ayant menée devant une glace , il lui dit : Croyez - vous qu'avec un visage pareil on puisse parler d'affaires si tristes et si sérieuses ? Ce fut elle qui , dans un souper , dit ces ...
... laissa parler la belle madame de Sabran ; puis , l'ayant menée devant une glace , il lui dit : Croyez - vous qu'avec un visage pareil on puisse parler d'affaires si tristes et si sérieuses ? Ce fut elle qui , dans un souper , dit ces ...
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... laissa le pou- voir pour se livrer tout entier aux jouissances ; Dubois garda le ministère jusqu'au moment où la mort vint le surprendre ; il ne voulut pas recevoir les sacrements . Il faut convenir qu'il avait des talents ; il ...
... laissa le pou- voir pour se livrer tout entier aux jouissances ; Dubois garda le ministère jusqu'au moment où la mort vint le surprendre ; il ne voulut pas recevoir les sacrements . Il faut convenir qu'il avait des talents ; il ...
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... laissa épuisée . N'estimant que les Espa- gnols , il traitait les Allemands de gens grossiers , et les avait pris en haine , parce qu'ils avaient embrassé froidement sa cause et déploré la mort de l'empereur Joseph . Frédéric II dit qu ...
... laissa épuisée . N'estimant que les Espa- gnols , il traitait les Allemands de gens grossiers , et les avait pris en haine , parce qu'ils avaient embrassé froidement sa cause et déploré la mort de l'empereur Joseph . Frédéric II dit qu ...
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... laissa la diplomatie étrangère travailler à ses côtés à prix d'argent . Les fermes des impôts ne s'adjugeaient point sur les lieux , mais à la cour , où tous les aspirants se rendaient , et en offrant de l'argent à l'empereur ils ...
... laissa la diplomatie étrangère travailler à ses côtés à prix d'argent . Les fermes des impôts ne s'adjugeaient point sur les lieux , mais à la cour , où tous les aspirants se rendaient , et en offrant de l'argent à l'empereur ils ...
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Expressions et termes fréquents
abolit Anglais Autrichiens avaient ayant Benoît XIV c'était Catherine cent Charles Charles III choses Clément XIII clergé colonies commerce comte connaissances conséquence constitution cour d'Alembert d'autres déclara devint doctrines donna écrivit élevé Élisabeth Farnèse esprit établit États faisait force forme Frédéric général gens gouvernement guerre Hollande hommes idées impôts italienne jésuites Joseph justice Kant l'Angleterre l'Autriche l'empire l'Espagne l'esprit l'État l'Europe l'histoire l'homme l'Inde laissa liberté livres livres sterling Locke lois Louis XV madame de Pompadour Marie-Thérèse ment mille millions ministre montra morale moyen Münnich n'avait n'était nation noblesse ouvrages paix pape parlement pays père peuple philosophie poëte politique Pologne Pombal porter pouvait prince proclama provinces Prusse publia puissance raison réformes religion reste résulta révolution rois Rome royale royaume Russie s'était Sardaigne science sentiment seul siècle société soldats stathouder sujets système théorie tiers état tion Toscane traité trône troupes trouva vérité Voltaire voulait voulut whigs
Fréquemment cités
Page 221 - Les parlements ne les ont condamnés que sur quelques règles de leur institut que le roi pouvait réformer, sur des maximes horribles, il est vrai, mais méprisées, publiées pour la plupart par des jésuites étrangers, et désavouées formellement depuis peu par les jésuites français. Il ya toujours dans les grandes affaires un prétexte qu'on met en avant, et une cause véritable qu'on dissimule. Le prétexte de la punition des jésuites élait...
Page 803 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent; la lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion et alors ce sera un beau tapage; les jeunes gens sont bien heureux, ils verront de belles choses.
Page 755 - Shwcdemburg, de Saint-Martin, de la communication possible entre les hommes et les esprits célestes, tandis que beaucoup d'autres, s'empressant autour du baquet de Mesmer, croyaient à l'efficacité universelle du magnétisme, étaient persuadés de l'infaillibilité des oracles du somnambulisme, et ne se doutaient pas des rapports qui existaient entre ce baquet magique, dont ils étaient enthousiastes, et le tombeau miraculeux de Pârig, dont ils s'étaient tant moqués.
Page 754 - ... un abîme. Riants frondeurs des modes anciennes, de l^orgueil féodal de nos pères et de leurs graves étiquettes, tout ce qui était antique nous paraissait gênant et ridicule. La gravité des anciennes doctrines nous pesait. La philosophie riante de Voltaire nous entraînait en nous amusant. Sans approfondir celle des écrivains plus graves, nous l'admirions comme empreinte de courage et de résistance au pouvoir arbitraire...
Page 780 - ... la diplomatie et de la magistrature. Il résultait de ce reste de nos vieilles coutumes une grande difficulté pour maintenir une subordination complète entre des officiers, séparés, il est vrai, par la hiérarchie des grades, mais qui, en qualité de nobles, se regardaient tous comme égaux. Chacun respectait son chef à la manœuvre, à la parade, dans les heures de service; mais en tout autre temps et partout ailleurs on voyait peu de traces de subordination. Revenus à la ville ou à la...
Page 789 - France , et la réunion de tous ces talens divers dans chacun desquels son génie avait éclaté par des chefs-d'œuvre. Revenu dans sa maison qu'on eût dit alors transformée en palais par sa présence , assis au milieu d'une sorte de conseil composé des philosophes, des écrivains les plus hardis et les plus célèbres de ce siècle , ses courtisans étaient les hommes les plus marquans de toutes les classes , les étrangers les plus distingués de tous les pays.
Page 771 - Un roi n'est rien sans sujets; et quoiqu'un monarque en soit le chef, l'idée qu'il tient d'eux tout ce qu'il est et tout ce qu'il possède, l'appareil des députés du peuple , la permission de parler devant le roi , et de lui présenter des cahiers de doléances , ont je ne sais quoi de triste , qu'un grand roi doit toujours éloigner de sa présence.
Page 134 - O vérité sainte, c'est toi seule que j'ai respectée ! Si mon ouvrage trouve encore quelques lecteurs dans les siècles à venir, je veux qu'en voyant combien j'ai été dégagé de passions et de préjugés , ils ignorent la contrée où je pris naissance , sous quel gouvernement je vivais, quelles fonctions j'exerçais dans mon pays , quel culte je professais ; je veux qu'ils me croient tous leur concitoyen et leur ami.
Page 76 - Ils avaient eu jusqu'alors des avantages sur mer contre les Anglais ; mais , dès que leur attention fut distraite par la guerre de terre ferme , dès que les armées d'Allemagne absorbèrent tous les fonds qu'ils...
Page 160 - ... j'ai dévoilé mon intérieur tel que tu l'as vu toi-même , Être éternel. Rassemble autour de moi l'innombrable foule de mes semblables; qu'ils écoutent mes confessions , qu'ils gémissent de mes indignités , qu'ils rougissent de mes misères °. Que chacun d'eux découvre à son tour son cœur au pied de ton trône avec la même sincérité; et puis qu'un seul te dise , s'il l'ose , Je fus meilleur que cet homme-là.