Principes de la littérature, Volume 3Desaint & Saillant, 1764 - 463 pages |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
acte acteurs affez Ainfi ainſi aſſez ATHALIE au-deſſus auroit auſſi avoit beſoin c'eſt c'étoit cauſe CHAP chofes choſe Cinna Comédie comique conféquent Corneille Deſpréaux didactique Dieu dieux diſcours diſoit Edipe enſuite eſpéce eſprit eſt eſt vrai étoient étoit falloit fans fatire fent feroit foit font fublime génie goût graces Grecs Heraclius homme Horace idées Joad JOAS Jocaſte juſqu'à juſte l'action l'ame l'Epopée l'eſprit l'eſt laiſſer Laïus Léontine lyrique maniere Marcian n'eſt néceſſaire néceſſairement paffions paroît paſſer paſſions penſée perſonne Phocas Pindare pitié Plaute pluſieurs Poëfie poëme poësie poëte poëtique poſſible pourroit premiere préſente preſque Pulcherie quelquefois raiſon reſte s'eſt ſans Satire ſavoir ſcène ſe trouve ſecond ſecret ſelon ſemble ſens ſent ſentiment ſentir ſera ſes ſeul ſeule ſeulement ſimple ſoin ſoit ſon ſont Sophocle ſous ſouvent ſpectacle ſpectateur ſtyle ſuffit ſujet ſur Térence tion Tragédie tragique Voilà vraiſemblable دو
Fréquemment cités
Page 289 - ... sûr en son rivage, Ce qu'il trouve, il le ravage ; Et traînant comme buissons Les chênes et leurs racines, Ote aux campagnes voisines L'espérance des moissons.
Page 291 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier , La cruelle qu'elle eft fe bouche les oreilles , Et nous laide crier. Le pauvre en fa cabane , oîi le chaume le couvre > Eft fujet à fes loix ; Et la garde , qui veille aux barrières du Louvre , N'en défend point nos Rois.
Page 404 - On sera ridicule , et je n'oserai rire ! Et qu'ont produit mes vers de si pernicieux Pour armer contre moi tant d'auteurs furieux? Loin de les décrier, je les ai fait paraître : Et souvent sans ces vers qui les ont fait connaître, Leur talent dans l'oubli demeurerait caché : Et qui saurait sans moi que Cotin a prêché ? La satire ne sert qu'à rendre un fat illustre : C'est une ombre au tableau qui lui donne du lustre.
Page 404 - Et qui saurait sans moi que Cotin a prêché? La satire ne sert qu'à rendre un fat illustre : C'est une ombre au tableau, qui lui donne du lustre. En les blâmant enfin j'ai dit ce que j'en croi ; Et tel qui m'en reprend en pense autant que moi.
Page 407 - En vain contre le Cid un Miniftre fe ligue ; Tout Paris pour Chimene a les yeux de Rodrigue ; L'Académie en corps a beau le cenfurer j Le Public révolté s'obftine à l'admirer.
Page 398 - Est-ce un crime, après tout, et si noir et si grand? Et qui, voyant un fat s'applaudir d'un ouvrage Où la droite raison trébuche à chaque page, Ne s'écrie aussitôt : L'impertinent auteur! L'ennuyeux écrivain! le maudit traducteur! A quoi bon mettre au jour tous ces discours frivoles, Et ces riens enfermés dans de grandes paroles?
Page 205 - S'enrichir aux dépens du mérite joué. Et Socrate par lui, dans un chœur de Nuées, D'un vil amas de peuple attirer les huées. Enfin de la licence on arrêta le cours: Le...
Page 434 - Gens de bien, Ouvrez vos yeux, voyez, y at-il rien? — Non, dit quelqu'un des plus près regardans.
Page 163 - O malheureux Phocas ! ô trop heureux Maurice ! Tu recouvres deux fils pour mourir après toi, Et je n'en puis trouver pour régner...
