Répertoire général du Théâtre Français: composé des tragédies, comédies et drames des auteurs du premier et du second ordre, restés au Théâtre Français; avec une table générale ...Mme veuve Dabo, 1823 |
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... larmes le plus savant peuple de la Grèce , et qui ont fait dire qu'entre les poëtes En- ripide étoit extrêmement tragique , TRAGICÔTATOS , c'est - à - dire , qu'il savoit merveilleusement exciter la compassion et la terreur , qui sont ...
... larmes le plus savant peuple de la Grèce , et qui ont fait dire qu'entre les poëtes En- ripide étoit extrêmement tragique , TRAGICÔTATOS , c'est - à - dire , qu'il savoit merveilleusement exciter la compassion et la terreur , qui sont ...
Page 12
... larmes , la prie de reprendre ses forces , et de ne se point abandonner elle - même . Alceste , qui a l'image de la mort devant les yeux , lui parle ainsi : Je vois déjà la rame et la barque fatale ; J'entends le vieux nocher sur la ...
... larmes , la prie de reprendre ses forces , et de ne se point abandonner elle - même . Alceste , qui a l'image de la mort devant les yeux , lui parle ainsi : Je vois déjà la rame et la barque fatale ; J'entends le vieux nocher sur la ...
Page 32
... larmes au moins soulager ma douleur ! Triste destin des rois ! Esclaves que nous sommes Et des rigueurs du sort et des discours des hommes , Nous nous voyons sans cesse assiégés de témoins ; Et les plus malheureux osent pleurer le moins ...
... larmes au moins soulager ma douleur ! Triste destin des rois ! Esclaves que nous sommes Et des rigueurs du sort et des discours des hommes , Nous nous voyons sans cesse assiégés de témoins ; Et les plus malheureux osent pleurer le moins ...
Page 34
... larmes moins trempés , A pleurer vos malheurs étoient moins occupés . Maintenant tout vous rit : l'aimable Iphigénie D'une aniitié sincère avec vous est unie , Elle vous plaint , vous voit avec des yeux de sœur ; Et vous sericz dans ...
... larmes moins trempés , A pleurer vos malheurs étoient moins occupés . Maintenant tout vous rit : l'aimable Iphigénie D'une aniitié sincère avec vous est unie , Elle vous plaint , vous voit avec des yeux de sœur ; Et vous sericz dans ...
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... larmes . IPHIGÉNIE . Les dieux daignent sur - tout prendre soin de vos jours ! AGAMEMNON . Les dieux depuis un temps me sont cruels et sourds . IPHIGÉNIE . Calchas , dit - on , prepare un pompeux AGAMEMNON . sacrifice . Puissé - je ...
... larmes . IPHIGÉNIE . Les dieux daignent sur - tout prendre soin de vos jours ! AGAMEMNON . Les dieux depuis un temps me sont cruels et sourds . IPHIGÉNIE . Calchas , dit - on , prepare un pompeux AGAMEMNON . sacrifice . Puissé - je ...
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Expressions et termes fréquents
ABNER ACHILLE ÆGINE AGAMEMNON AMAN amour ARCAS ARICIE ASSUÉRUS ATHALIE autels avoit bras cacher Calchas CENONE chante charmes cher chercher CHOEUR ciel cieux CLYTEMNESTRE cœur colère courroux craint crime cruel d'Assuérus Daignez David dessein Dieu dieux discours DORIS douleur ÉLISE enfant ennemis époux ÉRIPHILE Esprit saint ESTHER éternel étoit EURYBATE fatal fille fils foible foiblesse funeste fureur gloire grace Grecs Hélas heureux HIPPOLYTE HYDASPE hymen innocent IPHIGÉNIE Ismène ISRAELITE j'ai jamais Jéhu Jézabel JOAD Joas JOSABET jour Juifs l'amour l'autel l'innocence l'univers laisse larmes Lesbos lévites lieux long-temps madame mains malheureux Mardochée MATHAN mère moi-même mort mortels Mycène Ochozias OEnone paix par-tout père perfide peuple PHÈDRE pleurs prêtres prince princesse profane reine rois sacré saint SALOMITH sang SCÈNE secours secret seigneur seule sœur soin songe sort superbe temple THÉRAMÈNE Thésée tragédie tremble Trézène triste trône trouble ULYSSE veux vœux vois voix vous-même yeux ZACHARIE zèle
Fréquemment cités
Page 129 - Portant partout le trait dont je suis déchiré, Contre vous, contre moi, vainement je m'éprouve : Présente, je vous fuis; absente, je vous trouve; Dans le fond des forêts votre image me suit; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite; Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
Page 161 - Misérable ! et je vis ! et je soutiens la vue De ce sacré Soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul...
Page 289 - J'aime à voir comme vous l'instruisez. Enfin, Eliacin, vous avez su me plaire ; Vous n'êtes point, sans doute, un enfant ordinaire. Vous voyez, je suis Reine, et n'ai point d'héritier ; Laissez là cet habit, quittez ce vil métier ; Je veux vous faire part de toutes mes richesses, Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses.
Page 129 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus , Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus : Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune ; Je ne me souviens plus des leçons de Neptune ; Mes seuls gémissements font retentir les bois ; Et mes coursiers oisifs ont oublié ma voix.
Page 135 - J'aime. Ne pense pas qu'au moment que je t'aime, Innocente à mes yeux, je m'approuve moi-même, Ni que du fol amour qui trouble ma raison Ma lâche complaisance ait nourri le poison.
Page 172 - Un effroyable cri, sorti du fond des flots, Des airs en ce moment a troublé le repos; Et du sein de la terre une voix formidable Répond en gémissant à ce cri redoutable. Jusqu'au fond de nos cœurs notre sang s'est glacé; Des coursiers attentifs le crin s'est hérissé. Cependant sur le dos de la plaine liquide S'élève à gros bouillons une montagne humide; L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi 1 des flots d'écume, un monstre furieux.
Page 309 - Voilà donc quels vengeurs s'arment pour ta querelle, Des prêtres, des enfants, ô Sagesse éternelle! Mais, si tu les soutiens, qui peut les ébranler? Du tombeau, quand tu veux, tu sais nous rappeler; Tu frappes et guéris, tu perds et ressuscites. Ils ne s'assurent point en leurs propres mérites, Mais en ton nom sur eux. invoqué tant de fois, En tes serments jurés au plus saint de leurs rois, En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée.
Page 132 - En public, en secret, contre vous déclarée, J'ai voulu par des mers en être séparée. J'ai même défendu par une expresse loi Qu'on osât prononcer votre nom devant moi. Si pourtant à l'offense on mesure la peine, Si la haine peut seule attirer votre haine, Jamais femme ne fut plus digne de pitié, Et moins digne, Seigneur, de votre inimitié.
Page 71 - C'est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les Dieux, Et pour qui tant de fois prodiguant vos caresses Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
Page 118 - Je voulais en mourant prendre soin de ma gloire, Et dérober au jour une flamme si noire : Je n'ai pu soutenir tes larmes, tes combats ; Je t'ai tout avoué ; je ne m'en repens pas, Pourvu que, de ma mort respectant les approches, Tu ne m'affliges plus par d'injustes reproches, Et que tes vains secours cessent de rappeler Un reste de chaleur tout prêt à s'exhaler.