| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 424 pages
...eu moi sans que j'en puisse concevoir lamanière; un tempérament trèsardent , des passionsvives, impétueuses, et des idées lentes à naître, embarrassées...et qui ne se présentent jamais qu'après coup. On dirait que mon cœur et mon esprit n'appartiennent pas au même individu. Le sentiment , plus prompt... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 458 pages
...d'Aubonne, et beaucoup d'autres, je ne les saurois prendre au mot. Deux choses presque inalliables s'unissent en moi sans que j'en puisse concevoir la...jamais qu'après coup. On diroit que mon cœur et ma tête n'appartiennent pas au même individu. Le sentiment, plus prompt que l'éclair, vient remplir... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 454 pages
...d'Aubonne, et beaucoup d'autres, je ne les saurois prendre au mot. Deux choses presque inalliables s'unissent en moi sans que j'en puisse concevoir la...manière : un tempérament très ardent, des passions vi-, ves, impétueuses, et des idées lentes à naître, embarrassées, et qui ne se présentent jamais... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pages
...d'Aubonnc et beaucoup d'autres , je lie Us saurais prendre au mot. Deux choses presque inalliables s'unissent en moi sans que j'en puisse concevoir la manière : un tempérament très-ardent, des passions vives, impétueuses, et des idées lentes à naître, embarras«ses, et... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 820 pages
...inalliables s' unissent en moi sans que j'en puisse concevoir la manière; un tempérament très-ardent , des passions vives, impétueuses , et des idées lentes..., et qui ne se présentent jamais qu'après coup. Ondiroit que mon cœur et mon esprit n'appartiennent pas au même individu. Le sentiment, plus prompt... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1844 - 642 pages
...d'Aubonne et beaucoup d'autres , je ne les saurais prendre au mot. Deux choses presque inalliables s'unissent en moi sans que j'en puisse concevoir la manière : un tempérament très-ardent , des passions vives , impétueuses , et des idées lentes à naître , embarrassées,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1846 - 586 pages
...Masseron, d'Aubonne et beaucoup d'autres, je ne les saurais prendre au mot. Deux choses presque inalliables s'unissent en moi sans que j'en puisse concevoir la manière : un tempérament très-ardent, des passions vives, impétueuses, et des idées lentes à naître, embarrassées, et... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1852 - 816 pages
...Masseron, d'Aubonne et beaucoup d'autres, je ne les saurais prendre au mot. Deux choses presque inalliables s'unissent en moi sans que j'en puisse concevoir la manière: un tempérament très-ardent , des passions vives, impétueuses, et des idées lentes à naître, embarrassées, et... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1853 - 810 pages
...idées lentes à naître, embarrassées, et « qui ne se présentent jamais qu'après coup. On dirait « que mon cœur et mon esprit n'appartiennent pas au « même individu. Le sentiment, plus prompt que l'é« clair, vient remplir mon âme ; mais au lieu de m'é« clairer, il me brûle et m'éblouit...... | |
| Alexandre Rodolphe Vinet - 1853 - 810 pages
...puisse concevoir la manière; un tem« pérament très ardent, des passions vives, iuipétueu« ses, et des idées lentes à naître, embarrassées, et...« qui ne se présentent jamais qu'après coup. On dirait « que mon cœur et mon esprit n'appartiennent pas au « même individu. Le sentiment, plus... | |
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