Œuvres complètes, Volumes 3 à 4Janet et Cotelle, 1820 |
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Expressions et termes fréquents
alloit ambassadeurs Anglois armée auroit avoient avoit avoit déja ayant Balue bâtard Berri Bourbon cardinal Castille cents lances chancelier Charles VII cherchoit Commines comte d'Armagnac comte de Charolois comte de Dunois comte de Foix comte de Warwic comte du Maine concile connétable conseil couronne d'Angleterre d'Anjou d'Aragon d'Arras d'Édouard Dammartin dauphin déclarer dessein devoient devoit donna duc de Bour duc de Bourgogne duc de Bretagne duc de Calabre duc de Guyenne duc de Milan Édouard ennemis envoya états étoient étoit eût faisoit fils François frère fût gogne grace guerre Henri Jean Jeanne l'armée l'évêque Lescun lettres Liégeois ligue Louis XI maison maréchal Marguerite mariage ment mille écus mille hommes mille livres Monsieur n'avoit n'étoient n'étoit Normandie paix pape parcequ'il parlement passa père Péronne peuples Philippe pouvoient pouvoit pragmatique prince princesse reine René Roussillon royaume Saint-Pol Savoie seigneur seroit Sforce sujets traité traité de Conflans trève troupes venoit vouloit voulut
Fréquemment cités
Page 290 - Jean , séduit par les bontés du roi , qui le faisait souvent manger avec lui , s'avisa de lui demander des lettres de noblesse. Ce prince les lui accorda ; mais lorsque ce nouveau noble parut devant lui , il affecta de ne le pas regarder.
Page 230 - ... si le cas luy touchoit de quelque chose, et seroit homme pour appointer bien légèrement et nous laisser en la fange : et pour les anciennes guerres qui ont esté le temps passé entre le roy Charles son père et le duc de Bourgongne mon père, aisément toutes ces deux parties se convertiroient contre nous; parquoy est nécessaire de se pourvoir d'amis.
Page 364 - Arras , et y assemblant son armée , il lui arriva en grand secret un messager qui portait dans de la cire un petit morceau de papier bien ployé , où étaient écrites de la main de M. de Guyenne les paroles suivantes : « Mettez - vous en peine de » contenter vos sujets , et ne vous souciez, car
Page 186 - ... je suis bien esbahi que les capitaines et M. de «Saint- André, ni autres, ne trouvent bon l'ordon«nance que je fais que tout soit au butin; car, « par ce moyen , ils auront tous ces prisonniers les « plus gros pour un rien qui vaille ; c'est ce que je « demande , afin qu'ils tuent une autre fois tout , et «qu'ils ne prennent plus prisonniers, ni chevaux, « ni bagage , et jamais nous ne perdrons bataille. . . « Je vous prie , « dites à M. de Saint-André qu'il ne vous fasse point «du...
Page 103 - Charles , dernier duc de Bourgogne, qui n'eut d'autres vertus que celles d'un soldat ; il fut ambitieux, téméraire, sans conduite, sans conseil, ennemi de la paix, et toujours altéré de sang. Il ruina sa maison par ses folles entreprises, fit le malheur de ses sujets, et mérita le sien.
Page 71 - Le bourreau la plongea ensuite dans un sceau d'eau pour en ôter le sang , et la montra au peuple. Ainsi périt Louis de Luxembourg , connétable de France, sorti d'une maison impériale, beau-frère du roi, oncle d'Edouard IV, puissant par ses biens , grand capitaine , plus ambitieux que politique, et digne de sa fin tragique par son ingratitude et sa perfidie. Son corps et sa tête furent mis dans un cercueil, et portés le soir même aux cordeliers.
Page 29 - Saint-Antoine de Vienne une croix d'or de deux marcs, ornée de quelques pierreries, qu'il mit en gage pour douze cents ' écus. La ville de Tartas, etc. » Et il poursuit son récit sur d'autres points. Qui ne voit (sans compter le hanap qu'il oublie) qu'il ya presque un faux sens dans ce mot négligemment jeté : quelques pierreries? c'est beaucoup qu'il fallait dire, et si l'on ne voulait pas, comme l'abbé...
Page 290 - Monseigneur, vous ne choisissez point: car vous prenez tout, et voulez faire la guerre à votre plaisir à nos amis , et nous tenir en repos, sans oser courre sus à nos ennemis, comme vous faites aux vôtres, il ne se peut faire, ni le roi ne le souffriroit point.
Page 238 - avant qu'il fût le bout de l'an. Vous m'avez tenu « promesse, et encore beaucoup plus tôt que le bout « de l'an ; avec telles gens veux-je avoir à besogner , « qui tiennent ce qu'ils promettent tout de suite.
Page 305 - La principale erreur où l'on tombe , en voulant peindre les hommes, est de supposer qu'ils ont un caractère fixe , au lieu que leur vie n'est qu'un .tissu de contrariétés : plus on les approfondit, moins on ose les définir.