Dictionnaire du patois normandB. Mancel, 1849 - 222 pages |
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Dictionnaire du patois normand Édélestand Du Méril,Alfred Duméril,Alfred Émile S. Duméril Affichage du livre entier - 1849 |
Expressions et termes fréquents
apocope bablement bas-latin basse-latinité Bayeux BENOIS bois breton Caen çais Calvados Cange celtique Chansons normandes Cherbourg Chevalerie Ogier Chronique rimée cité donne doute du latin Etre étymologie existait en vieux-français fication forme fran Glossaire gnes gnifiait gnification gnifie grant idiômes islandais Jubinal l'allemand l'anglais l'arr l'Orne langue littéralement locution lognes Manche ment Mortagne MOUSKES Muse normande OLIVIER BASSELIN origine patois de Rennes patois du Berry patois du Jura patois normand peut-être probablement une corruption prononciation provençal réfl Roman de Brut Roman de Renart Roman de Rou Roquefort rouchi s. m. arr s. m. Orne s. m. pl s'emploie s'est conservé saint Saint-Lo saxon sens sert signifiait en vieux signifiait en vieux-français signifie en breton signifie en islandais tagne tion trouve usité v. n. arr Valo Valognes Vaux-de-Vire verbe vieil-allemand vient sans doute vieux-français disait Vire voyez Roquefort XIIe siècle yeux
Fréquemment cités
Page xcii - Nam, si quis minorem gloriae fructum putat ex Graecis versibus percipi quam ex Latinis, vehementer errat; propterea quod Graeca leguntur in omnibus fere gentibus, Latina suis finibus, exiguis sane, continentur.
Page 133 - ... le povair de son corps , que on n'osoit toucher à soy de nulle part que ce fust, tant estoient grevés ceux qui de ce mal estoient atteints ; et duroit bien sans cesser trois sepmaines, ou plus; et...
Page 1 - Combien trouvé-je plus naturel et plus vraysemblable que deux hommes mentent, que je fay qu'un homme en douze heures passe quant et les vents d'orient en occident ! Combien...
Page 19 - Goupillon ; En aspergeant les fidèles avec l'eau Bénite, on chante une prière qui commence par Asperges. Les fruits d'amours là- ne furent pendans; Tout y s'échoit tout au long de l'année : Mais bien est vray, qu'il y avoit dedans Pour asperges une rosé fennée. CLÉMENT MAROT , Opuscules, p. 13. Voyez aussi un compte de 1 452 , cité par M.
Page xxi - Et pour ceu que nulz ne tient en son parleir ne rigle certenne, mesure ne raison, est laingue romance si...
Page xciii - Groult, 1834, in-8; — •P (F.)- l°Contes populaires, traditions, proverbes et dictons de l'arrondissement de Bayeux ; suivis d'un Vocabulaire des mots rustiques et des noms de lieux les plus remarquables de ce pays, recueillis et publiés par — . Caen, de l'impr. de Chalopin, 1825, in-8 de 98 pag., y compris un Supplément qui manque à beaucoup d'cxempl. D'après M. De Manne, n°...
Page v - Je pose donc en fait premièrement que l'étude des patois de la langue françoise, bien plus voisins des étymologies, bien plus fidèles à l'orthographe et à la prononciation antiques, est une introduction nécessaire à la connoissance de ses radicaux ; secondement, que la clef de tous les radicaux et de tous les langages y est implicitement renfermée (1).
Page xliv - Prevost (Notes pour servir à la topographie et à l'histoire des communes du département de l'Eure au moyen-âge, in.
Page 27 - Le cry et proclamation publique pour jouer le mystère des Actes des Apôtres en la ville de Paris , faict le jeudy seizième jour de décembre de l'an 1 540.
Page 22 - Autant qu'on tuoit de ces porteurs pour le faire choir à bas (car on le vouloit prendre vif), autant d'autres, et à l'envy, prenoient la place des morts, de façon qu'on ne le peut onques abbatre, quelque meurtre qu'on fit de ces gens là, jusques à ce qu'un homme de cheval* l'alla saisir au corps, et l'avalla par terre.