Collection complete des œuvres de J.J. Rousseau, Volume 31 |
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... son pays , d'environ vingt - deux à vingt - trois ans , qui man- geoit avec nous ainsi que l'hôtesse . Cette fille appelée Thérèse le Vasseur , étoit de bonne famille . Son père étoit officier de la 122 LES CONFESSIONS .
... son pays , d'environ vingt - deux à vingt - trois ans , qui man- geoit avec nous ainsi que l'hôtesse . Cette fille appelée Thérèse le Vasseur , étoit de bonne famille . Son père étoit officier de la 122 LES CONFESSIONS .
Page 125
... je la compris je fis un cri de joie : Pu- celage ! m'écriai - je ; c'est bien à Paris , c'est bien à vingt ans , qu'on en cherche ! Ah , ma Thérèse ! je suis trop heureux de F3 LIVRE VII . 125 . La crainte qu'elle eut que je ne me ...
... je la compris je fis un cri de joie : Pu- celage ! m'écriai - je ; c'est bien à Paris , c'est bien à vingt ans , qu'on en cherche ! Ah , ma Thérèse ! je suis trop heureux de F3 LIVRE VII . 125 . La crainte qu'elle eut que je ne me ...
Page 126
Jean-Jacques Rousseau. Ah , ma Thérèse ! je suis trop heureux de te pofféder fage & faine , & de ne pas trouver ce que je ne cherchois pas . Je n'avois cherché d'abord qu'à me donner un amusement . Je vis que j'avois plus fait , & que je ...
Jean-Jacques Rousseau. Ah , ma Thérèse ! je suis trop heureux de te pofféder fage & faine , & de ne pas trouver ce que je ne cherchois pas . Je n'avois cherché d'abord qu'à me donner un amusement . Je vis que j'avois plus fait , & que je ...
Page 127
... Thérèse le supplément dont j'avois besoin ; par elle je vécus heureux autant que je pouvois l'être selon le cours des événemens . Je voulus d'abord former fon efprit . J'y perdis ma peine . Son esprit est ce que l'a fait la nature ; la ...
... Thérèse le supplément dont j'avois besoin ; par elle je vécus heureux autant que je pouvois l'être selon le cours des événemens . Je voulus d'abord former fon efprit . J'y perdis ma peine . Son esprit est ce que l'a fait la nature ; la ...
Page 128
... Thérèse aussi agréa- blement qu'avec le plus beau génie de l'univers . Sa mère , fière d'avoir été jadis élevée auprès de la marquise de Mon-. pipeau. ,. faifoit. le. bel. esprit. ,. vouloit. diriger le fien , & gâtoit par fon aftuce la 128 ...
... Thérèse aussi agréa- blement qu'avec le plus beau génie de l'univers . Sa mère , fière d'avoir été jadis élevée auprès de la marquise de Mon-. pipeau. ,. faifoit. le. bel. esprit. ,. vouloit. diriger le fien , & gâtoit par fon aftuce la 128 ...
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Collection complète des Œuvres de J. J. Rousseau: Second ..., Volume 31 Jean-Jacques Rousseau Affichage du livre entier - 1789 |
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Expressions et termes fréquents
affez ainſi aiſe amis auffi auroit auſſi avoient avois avoit beſoin c'eſt cauſe ceffé chofes choſe cœur connoiſſance connoître d'eſprit Devin du village devoit Diderot dîner dire Eaubonne enſemble eſpèce eſt étoient étoit faifoit falloit fans fecret femme fentir feroit feul foit furtout goût homme j'ai j'allois j'aurois j'avois j'en j'étois j'eus j'euſſe jamais jour juſqu'à juſtice l'abbé l'Hermitage l'inſtant laiffer laiſſer laiſſoit lettres liaiſons long-temps m'avoit m'en maiſon mauvaiſe ment muſique n'eſt n'étoit n'y avoit paffer parler paſſer penſer perſonne plaifir pluſieurs pouvoit preſque puiſque réponſe reſte rien ſa fille ſa mère ſans ſavoir ſe trouva Second Suppl ſecrétaire ſéjour ſemble ſens ſentiment ſentois ſes ſeul ſeule ſimple ſituation ſociété ſoins ſoit ſon ſous ſouvenir ſouvent ſpectacle ſuccès ſuis ſuite ſujet ſur talens Thérèſe Veniſe venoit vouloit voyois دد دو دو دو
Fréquemment cités
Page 247 - Mon âme, exaltée par ces contemplations sublimes, s'élevait auprès de la Divinité, et voyant de là mes semblables suivre, dans l'aveugle route de leurs préjugés, celle de leurs erreurs, de leurs malheurs, de leurs crimes, je leur criais d'une faible voix qu'ils ne pouvaient entendre : Insensés qui vous plaignez sans cesse de la nature, apprenez que tous vos maux vous viennent de vous.
Page 333 - L'impossibilité d'atteindre aux êtres réels me jeta dans le pays des chimères ; et ne voyant rien d'existant qui fût digne de mon délire, je le nourris dans un monde idéal que mon imagination créatrice eut bientôt peuplé d'êtres selon mon cœur.
Page 282 - Quelle est la nature de gouvernement propre à former un peuple le plus vertueux, le plus éclairé, le plus sage, le meilleur enfin, à prendre ce mot dans son plus grand sens?
Page 289 - L'entreprise, au reste, n'était pas légère; il ne s'agissait de rien moins que de lire, de méditer, d'extraire vingt-trois volumes, diffus, confus, pleins de longueurs, de redites, de petites vues courtes ou fausses, parmi lesquelles il en fallait pêcher quelques-unes, grandes, belles, et qui donnaient le courage de supporter ce pénible travail.
Page 99 - Je la goûtai, mais sans charme; j'en émoussai toutes les délices; je les tuai comme à plaisir. Non, la nature ne m'a point fait pour jouir. Elle a mis dans ma mauvaise tête le poison de ce bonheur ineffable, dont elle a mis l'appétit dans mon cœur.
Page 10 - Les planchers sous lesquels je suis ont des yeux, les murs qui m'entourent ont des oreilles : environné d'espions et de surveillants malveillants et vigilants, inquiet et distrait, je jette à la hâte sur le papier quelques mots interrompus qu'à peine j'ai le temps de relire , encore moins de corriger.