Collection complete des œuvres de J.J. Rousseau, Volume 31 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 54
Page 8
... amis : époque mémo- rable dans ma vie & qui fut la fource de tous mes autres malheurs . A l'égard des lettres originales plus récentes qui peuvent me refter , & qui font en très- petit nombre , au lieu de les tranfcrire à la fuite du ...
... amis : époque mémo- rable dans ma vie & qui fut la fource de tous mes autres malheurs . A l'égard des lettres originales plus récentes qui peuvent me refter , & qui font en très- petit nombre , au lieu de les tranfcrire à la fuite du ...
Page 17
... amis , & par lui celle du philosophe Diderot , dont j'aurai beau- coup à parler dans la suite . J'arrivai à Paris dans l'automne de 1741 , avec quinze louis d'argent comp- tant , ma comédie de Narciffe & mon projet de musique pour toute ...
... amis , & par lui celle du philosophe Diderot , dont j'aurai beau- coup à parler dans la suite . J'arrivai à Paris dans l'automne de 1741 , avec quinze louis d'argent comp- tant , ma comédie de Narciffe & mon projet de musique pour toute ...
Page 66
... amis avoit d'un noble Vénitien ap- pelé Z ..... o N..i , pour fournitures de perruques . Rousselot m'apporta ce bil- let , me priant de tâcher d'en tirer quel- que chose par accommodement . Je savois , il favoit auffi que l'usage ...
... amis avoit d'un noble Vénitien ap- pelé Z ..... o N..i , pour fournitures de perruques . Rousselot m'apporta ce bil- let , me priant de tâcher d'en tirer quel- que chose par accommodement . Je savois , il favoit auffi que l'usage ...
Page 85
... amis : j'allaï prendre congé de M. l'ambassadeur d'Espagne , qui me reçut très - bien , & du comte de Finochietti ministre de Naples , que je ne trouvai pas , mais à qui j'écrivis , & qui me répondit la lettre du monde la plus ...
... amis : j'allaï prendre congé de M. l'ambassadeur d'Espagne , qui me reçut très - bien , & du comte de Finochietti ministre de Naples , que je ne trouvai pas , mais à qui j'écrivis , & qui me répondit la lettre du monde la plus ...
Page 91
... demander deux que j'eus le plaifir d'entendre exécuter par cet admirable orchestre , & qui furent danfés par une petite Bettina , jolie & furtout aimable fille , entretenue par un 5 espagnol de nos amis appelé Fagoaga , & chez LIVRE VII ...
... demander deux que j'eus le plaifir d'entendre exécuter par cet admirable orchestre , & qui furent danfés par une petite Bettina , jolie & furtout aimable fille , entretenue par un 5 espagnol de nos amis appelé Fagoaga , & chez LIVRE VII ...
Autres éditions - Tout afficher
Collection complète des Œuvres de J. J. Rousseau: Second ..., Volume 31 Jean-Jacques Rousseau Affichage du livre entier - 1789 |
Collection complete des œuvres de J.J. Rousseau ... Jean-Jacques Rousseau Affichage du livre entier - 1789 |
Collection complète des œuvres de J.J. Rousseau: Supplément Jean-Jacques Rousseau Affichage du livre entier - 1789 |
Expressions et termes fréquents
affez ainſi aiſe amis auffi auroit auſſi avoient avois avoit beſoin c'eſt cauſe ceffé chofes choſe cœur connoiſſance connoître d'eſprit Devin du village devoit Diderot dîner dire Eaubonne enſemble eſpèce eſt étoient étoit faifoit falloit fans fecret femme fentir feroit feul foit furtout goût homme j'ai j'allois j'aurois j'avois j'en j'étois j'eus j'euſſe jamais jour juſqu'à juſtice l'abbé l'Hermitage l'inſtant laiffer laiſſer laiſſoit lettres liaiſons long-temps m'avoit m'en maiſon mauvaiſe ment muſique n'eſt n'étoit n'y avoit paffer parler paſſer penſer perſonne plaifir pluſieurs pouvoit preſque puiſque réponſe reſte rien ſa fille ſa mère ſans ſavoir ſe trouva Second Suppl ſecrétaire ſéjour ſemble ſens ſentiment ſentois ſes ſeul ſeule ſimple ſituation ſociété ſoins ſoit ſon ſous ſouvenir ſouvent ſpectacle ſuccès ſuis ſuite ſujet ſur talens Thérèſe Veniſe venoit vouloit voyois دد دو دو دو
Fréquemment cités
Page 247 - Mon âme, exaltée par ces contemplations sublimes, s'élevait auprès de la Divinité, et voyant de là mes semblables suivre, dans l'aveugle route de leurs préjugés, celle de leurs erreurs, de leurs malheurs, de leurs crimes, je leur criais d'une faible voix qu'ils ne pouvaient entendre : Insensés qui vous plaignez sans cesse de la nature, apprenez que tous vos maux vous viennent de vous.
Page 333 - L'impossibilité d'atteindre aux êtres réels me jeta dans le pays des chimères ; et ne voyant rien d'existant qui fût digne de mon délire, je le nourris dans un monde idéal que mon imagination créatrice eut bientôt peuplé d'êtres selon mon cœur.
Page 282 - Quelle est la nature de gouvernement propre à former un peuple le plus vertueux, le plus éclairé, le plus sage, le meilleur enfin, à prendre ce mot dans son plus grand sens?
Page 289 - L'entreprise, au reste, n'était pas légère; il ne s'agissait de rien moins que de lire, de méditer, d'extraire vingt-trois volumes, diffus, confus, pleins de longueurs, de redites, de petites vues courtes ou fausses, parmi lesquelles il en fallait pêcher quelques-unes, grandes, belles, et qui donnaient le courage de supporter ce pénible travail.
Page 99 - Je la goûtai, mais sans charme; j'en émoussai toutes les délices; je les tuai comme à plaisir. Non, la nature ne m'a point fait pour jouir. Elle a mis dans ma mauvaise tête le poison de ce bonheur ineffable, dont elle a mis l'appétit dans mon cœur.
Page 10 - Les planchers sous lesquels je suis ont des yeux, les murs qui m'entourent ont des oreilles : environné d'espions et de surveillants malveillants et vigilants, inquiet et distrait, je jette à la hâte sur le papier quelques mots interrompus qu'à peine j'ai le temps de relire , encore moins de corriger.