Collection complete des œuvres de J.J. Rousseau, Volume 31 |
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... connoif- fance tandis que j'étois chez M. de Mably . A ce voyage , ayant plus de loisir , je la vis davantage ; mon cœur se prit , & très - vivement . J'eus quelque lieu de penser que le sien ne m'étoit pas con- traire ; LIVRE VII . 15.
... connoif- fance tandis que j'étois chez M. de Mably . A ce voyage , ayant plus de loisir , je la vis davantage ; mon cœur se prit , & très - vivement . J'eus quelque lieu de penser que le sien ne m'étoit pas con- traire ; LIVRE VII . 15.
Page 16
Jean-Jacques Rousseau. penser que le sien ne m'étoit pas con- traire ; mais elle m'accorda une confiance qui m'ôta la tentation d'en abufer . Elle n'avoit rien ni moi non plus ; nos fitua- tions étoient trop semblables pour que nous ...
Jean-Jacques Rousseau. penser que le sien ne m'étoit pas con- traire ; mais elle m'accorda une confiance qui m'ôta la tentation d'en abufer . Elle n'avoit rien ni moi non plus ; nos fitua- tions étoient trop semblables pour que nous ...
Page 42
... penser . D'ailleurs où trouver quelqu'un qui voulût me fournir des paroles , & prendre la peine de les tour- ner à mon gré ? Ces idées de musique & d'opéra me revinrent durant ma ma- ladie , & dans le transport de ma fièvre je compofois ...
... penser . D'ailleurs où trouver quelqu'un qui voulût me fournir des paroles , & prendre la peine de les tour- ner à mon gré ? Ces idées de musique & d'opéra me revinrent durant ma ma- ladie , & dans le transport de ma fièvre je compofois ...
Page 92
... penser même à les convoiter . J'aurois eu plus de goût pour une jeune personne appelée Mlle . de Cata- neo , fille de l'agent du roi de Prusse mais Carrio étoit amoureux d'elle : il a même été question de mariage . Il étoit à fon aife ...
... penser même à les convoiter . J'aurois eu plus de goût pour une jeune personne appelée Mlle . de Cata- neo , fille de l'agent du roi de Prusse mais Carrio étoit amoureux d'elle : il a même été question de mariage . Il étoit à fon aife ...
Page 125
... penser d'elle . Enfin nous nous expliquâmes ; elle me fit en pleurant l'aveu d'une faute unique au sortir de l'enfance , fruit de son ignorance & de l'adresse d'un séducteur . Sitôt que je la compris je fis un cri de joie : Pu- celage ...
... penser d'elle . Enfin nous nous expliquâmes ; elle me fit en pleurant l'aveu d'une faute unique au sortir de l'enfance , fruit de son ignorance & de l'adresse d'un séducteur . Sitôt que je la compris je fis un cri de joie : Pu- celage ...
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Expressions et termes fréquents
affez ainſi aiſe amis auffi auroit auſſi avoient avois avoit beſoin c'eſt cauſe ceffé chofes choſe cœur connoiſſance connoître d'eſprit Devin du village devoit Diderot dîner dire Eaubonne enſemble eſpèce eſt étoient étoit faifoit falloit fans fecret femme fentir feroit feul foit furtout goût homme j'ai j'allois j'aurois j'avois j'en j'étois j'eus j'euſſe jamais jour juſqu'à juſtice l'abbé l'Hermitage l'inſtant laiffer laiſſer laiſſoit lettres liaiſons long-temps m'avoit m'en maiſon mauvaiſe ment muſique n'eſt n'étoit n'y avoit paffer parler paſſer penſer perſonne plaifir pluſieurs pouvoit preſque puiſque réponſe reſte rien ſa fille ſa mère ſans ſavoir ſe trouva Second Suppl ſecrétaire ſéjour ſemble ſens ſentiment ſentois ſes ſeul ſeule ſimple ſituation ſociété ſoins ſoit ſon ſous ſouvenir ſouvent ſpectacle ſuccès ſuis ſuite ſujet ſur talens Thérèſe Veniſe venoit vouloit voyois دد دو دو دو
Fréquemment cités
Page 247 - Mon âme, exaltée par ces contemplations sublimes, s'élevait auprès de la Divinité, et voyant de là mes semblables suivre, dans l'aveugle route de leurs préjugés, celle de leurs erreurs, de leurs malheurs, de leurs crimes, je leur criais d'une faible voix qu'ils ne pouvaient entendre : Insensés qui vous plaignez sans cesse de la nature, apprenez que tous vos maux vous viennent de vous.
Page 333 - L'impossibilité d'atteindre aux êtres réels me jeta dans le pays des chimères ; et ne voyant rien d'existant qui fût digne de mon délire, je le nourris dans un monde idéal que mon imagination créatrice eut bientôt peuplé d'êtres selon mon cœur.
Page 282 - Quelle est la nature de gouvernement propre à former un peuple le plus vertueux, le plus éclairé, le plus sage, le meilleur enfin, à prendre ce mot dans son plus grand sens?
Page 289 - L'entreprise, au reste, n'était pas légère; il ne s'agissait de rien moins que de lire, de méditer, d'extraire vingt-trois volumes, diffus, confus, pleins de longueurs, de redites, de petites vues courtes ou fausses, parmi lesquelles il en fallait pêcher quelques-unes, grandes, belles, et qui donnaient le courage de supporter ce pénible travail.
Page 99 - Je la goûtai, mais sans charme; j'en émoussai toutes les délices; je les tuai comme à plaisir. Non, la nature ne m'a point fait pour jouir. Elle a mis dans ma mauvaise tête le poison de ce bonheur ineffable, dont elle a mis l'appétit dans mon cœur.
Page 10 - Les planchers sous lesquels je suis ont des yeux, les murs qui m'entourent ont des oreilles : environné d'espions et de surveillants malveillants et vigilants, inquiet et distrait, je jette à la hâte sur le papier quelques mots interrompus qu'à peine j'ai le temps de relire , encore moins de corriger.