Narrations et critiques littéraires1894 |
Expressions et termes fréquents
Adieu ALFRED DE MUSSET Arcticopolis bataille bataille de Bénévent BOILEAU bouclier brillant Britannicus bruit Burrhus c'était cabane Cabassol Caïn cerf César Chanson de Roland chanter chrétiens ciel cieux cœur colline Conradin côté coup crime CRITIQUE désert devant DÉVELOPPEMENT Dieu dieux Diphile donner druides effet enfants Euclarmonde fable fantastique fils Fontaine forêt foule Ganelon Gaulois génie gloire Gondoric Grèce Hallandi Homère homme jeté jeune jour Kara-Tété l'échafaud l'esprit l'histoire l'Iliade laisse lance légende lointain main Manfred Maoris ment milieu Molière monde montagnes morale mort mourir Néron nuit Obed Obed Chester oiseaux passe passions père personnages peuple phrase pied plein poèmes poésie poète porte qu'un regard reste rien Roland Romains romantiques Roncevaux Ronsard Sainte-Sophie sais sauvage scène seigneur semble sentiment serait seul siècle soldat sombre sorte souriceau style sublime SUJET suprême Tamerlan tempête terrible tête Teutatès théâtre Théoben tion tombe tragédie travers trembler Vercingétorix victoire Victor Hugo voix volapük voyageur yeux
Fréquemment cités
Page 129 - Quel plaisir de penser et de dire en vous-même : « Partout, en ce moment, on me bénit, on m'aime ; « On ne voit point le peuple à mon nom s'alarmer; « Le ciel dans tous leurs pleurs ne m'entend point nommer; « Leur sombre inimitié ne fuit point mon visage ; « Je vois voler partout les cœurs à mon passage !
Page 145 - Légère et court vêtue, elle allait à grands pas; Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile, Cotillon simple et souliers plats. Notre laitière, ainsi troussée, Comptait déjà dans sa pensée Tout le prix de son lait, en employait l'argent; Achetait un cent d'œufs; faisait triple couvée; La chose allait à bien par son soin diligent. «Il m'est...
Page 163 - Faisait aux animaux la guerre. Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie : Les tourterelles se fuyaient; Plus d'amour, partant 2 plus de joie. Le lion tint conseil, et dit : « Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune.
Page 145 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son; Il était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable: J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable. Vu le prix dont il est, une vache et son veau. Que je verrai sauter au milieu du troupeau?
Page 202 - Donnez! afin que Dieu, qui dote les familles, Donne à vos fils la force, et la grâce à vos filles; Afin que votre vigne ait toujours un doux fruit; Afin qu'un blé plus mûr fasse plier vos granges; Afin d'être meilleurs; afin de voir les anges Passer dans vos rêves la nuit! Donnez! il vient un jour où la terre nous laisse. Vos aumônes là-haut vous font une richesse. Donnez! afin qu'on dise: «II a pitié de nous!
Page 165 - D'expier son forfait. On le lui fit bien voir. Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Page 196 - Restons-y. Nous avons du monde atteint les bornes. — Et, comme il s'asseyait, il vit dans les cieux mornes L'œil à la même place au fond de l'horizon. Alors il tressaillit en proie au noir frisson. — Cachez-moi l cria-t-il; et, le doigt sur la bouche, Tous ses fils regardaient trembler l'aïeul farouche.
Page 164 - Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence L'état de notre conscience. Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons, J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait?
Page 140 - Ainsi la première victoire fut le gage de beaucoup d'autres. Le prince fléchit le genou, et dans le champ de bataille, il rend au Dieu des...
Page 126 - Vous ne répondez point?... Perfide, je le voi, Tu comptes les moments que tu perds avec moi.