Jean-Jacques Rousseau: De Genèvé l'Hermitage (1712-1757)Fontemoing, 1908 |
Expressions et termes fréquents
amant amis Annecy aurait Bernex Bossey Brunetière c'est-à-dire c'était Chambéry Charmettes Chevrette chose citoyen civilisation Claude Anet cœur Confessions crois d'ailleurs detot devait Devin du village Diderot dire Discours de Dijon Discours de Rousseau Discours sur l'inégalité dit-il doute écrit écrivait effet enfin femme Francueil Genève Genevois gens goût Grimm idées j'ai jamais Jean-Jacques Jean-Jacques Rousseau joli jour l'Académie de Dijon l'auteur l'esprit l'Hermitage l'homme laissé Larnage lettre livres lui-même Lyon Mably ment mieux Mme d'Epinay Mme d'Hou Mme d'Houdetot Mme de Warens Mme Dupin mœurs monde Montaigu montrer musique n'avait n'était nature naturel Nouvelle-Héloïse œuvres parle passé passion penser peut-être philosophes Pontverre pouvait premier Discours premiers hommes qu'à qu'un raison reste rien Ritter Rous s'est s'il Saint-Lambert sait Samuel Bernard sauvage savait sciences seau second Discours séjour sentiment sera seulement simplement sociales société surtout talent tard Thérèse trouve Venise vertu voici voilà Voltaire voyage vrai
Fréquemment cités
Page 331 - Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Page 165 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs.] Traduit en russe par Paul Potemkine, 1768.
Page 111 - La justice et l'inutilité de mes plaintes me laissèrent dans l'âme un germe d'indignation contre nos sottes institutions civiles où le vrai bien public et la véritable justice sont toujours sacrifiés à je ne sais quel ordre apparent, destructif en effet de tout ordre, et qui ne fait qu'ajouter la sanction de l'autorité publique à l'oppression du faible et à l'iniquité du fort.
Page 33 - J'aurais passé dans le sein de ma religion, de ma patrie, de ma famille et de mes amis, une vie paisible et douce, telle qu'il la fallait à mon caractère, dans l'uniformité d'un travail de mon goût, et d'une société selon mon cœur.
Page 251 - ... très fréquents, n'ayant que les montagnes pour asiles contre les inondations, chassés souvent de ces mêmes asiles par le feu des volcans, tremblants sur une terre qui tremblait sous leurs pieds, nus d'esprit et de corps, exposés aux injures de tous les éléments, victimes de la fureur des animaux féroces, dont ils ne pouvaient éviter de devenir la proie ; tous également pénétrés du sentiment commun d'une terreur funeste...
Page 55 - ... nous allâmes dans le verger achever notre dessert avec des cerises. Je montai sur l'arbre, et je leur en jetais des bouquets dont elles me rendaient les noyaux à travers les branches.
Page 251 - ... de corps, exposés aux injures de tous les éléments, victimes de la fureur des animaux féroces, dont ils ne pouvaient éviter de devenir la proie, tous également pénétrés du sentiment commun d'une terreur funeste, tous également pressés par la nécessité, n'ont-ils pas très...
Page 63 - J'allai à Vevay loger à la Clef, et pendant deux jours que j'y restai sans voir personne, je pris pour cette ville un amour qui m'a suivi dans tous mes voyages, et qui m'ya fait établir enfin les héros de mon roman".
Page 265 - ... et qu'il n'en a dû sortir que par quelque funeste hasard, qui, pour l'utilité commune, eût dû ne jamais arriver.
Page 241 - Il me fit entendre qu'il cachait son vin à cause des aides, qu'il cachait son pain à cause de la taille, et qu'il serait un homme perdu, si l'on pouvait se douter qu'il ne mourût pas de faim.