Journal (littéraire) de Nancy, Volume 10 |
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Expressions et termes fréquents
affez ainſi amant Anaximandre auffi auſſi beau belle beſoin c'eſt cauſe chante charmes Chevalier de Boufflers choſe cœur Comte Comté de Bourgogne connaiſſance défirs déja derniere Diſcours donne doux enfans enſuite eſpece eſprit eſt Etrennes faiſait fans femmes fent feul fiecle foit font fous fur-tout fûrement goût grace hiſtoire homme j'ai jeune jeuneſſe jolie jour juſqu'à l'Abbé l'Académie l'amour l'Auteur l'eſprit l'hiſtoire Lecteurs Libraire Littéraire Logogriphe Longueval lorſque maniere Médecine monnoies n'eſt Nancy obſervations Ouvrage paffé paſſe Pélagie perſonne philofophie pieces plaifir plaiſirs plantes pluſieurs premiere préſente preſque propoſe puiſqu'il raiſon reſte Rétif s'eſt ſa fille ſang ſans ſavoir ſcene ſcience ſe trouve ſecond ſecours ſein ſemble ſens ſenſible ſentiment ſera ſes ſeul ſeule ſeulement ſociété ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſtyle ſuccès ſuis ſuite ſuivant ſujet ſur talens tendre tendreſſe teur tion troiſieme uſage Villaque volume zincourt ככ
Fréquemment cités
Page 1783-132 - L'ennui bientôt les fait quitter. Sur leurs airs et sur leur figure Presque tous fondent leur espoir ; Ils font entrer dans leur parure Tout le goût qu'ils pensent avoir. Dans le cercle de quelques belles Ils vont s'établir en vainqueurs ; Mais ils ont toujours auprès d'elles Plus d'aisance que de faveurs. De toutes leurs bonnes fortunes Ils ne se prévalent, jamais : Leurs maîtresses sont si communes , Que la honte les rend discrets ; Ils préfèrent , dans leur ivresse , La débauche aux plus...
Page 1783-138 - Pâques 1785 un Prix femblable fur les queftions fuivantes : Quelles furent autrefois les différentes branches de commerce dans les contrées qui forment aujourd'hui la Province d'Artois , en remontant même au temps des Gaulois ? Quelles ont été les caufes de leur décadence , & quels feraient les moyens de les rétablir , notamment les Manufactures de la Ville.
Page 1783-123 - Les enfants de Dieu voyant que les filles des hommes étaient belles, prirent pour leurs femmes celles qui leur avaient plu.
Page 1783-49 - Ouvrage; ils y joindront, à part, dans un papier cacheté & écrit de leur propre main...
Page 1783-137 - Ordinaires des Etats , annonce que ce Prix fera adjugé pour la première fois dans la Séance publique qu'elle doit tenir vers le temps de Pâques 1784 -, & elle propofe pour fujet la queftion fuivante...
Page 393 - D'ÉPITAPHES sérieuses, badines, satiriques et burlesques de la plupart de ceux qui, dans tous les temps, ont acquis quelque célébrité par leurs vertus...
Page 389 - Paris, | Chez Moutard, Imprimeur-Libraire de la Reine, | de Madame, & de Madame Comtesse d'Artois, | rue des Mathurins, Hôtel de Cluni.
Page 1783-54 - D'une longue union ils sont aussi le gage. Je ne regrette rien de ce que m'ôta l'âge, II m'a laissé de vrais amis. On m'aime presque autant, j'ose aimer davantage. L'astre de l'amitié luit dans l'hiver des ans ; Elle est le fruit du goût, de l'estime...
Page 1783-14 - Mais écoutez, et suivez mes avis. Défaites-vous de cette barbe énorme Qui vous déguise et qui vous rend difforme. Ce manteau brun vous vieillit de dix ans. Quittez cela. Voyez nos élégants : C'est un habit qu'il faudra qu'on vous brode ; Je vous dirai la couleur à la mode.
Page 1783-236 - Se le troifième à Noël. Il faut faire parvenir les lettres & l'argent , francs de port , à cette veuve , qui fe charge de faire les frais de l'envoi des volumes. Elle fera imprimer au commencement de ces Analefles le nom des Soufcripteurs.