Collection des mémoires relatifs à la Revolution française, Volume 241825 |
Expressions et termes fréquents
10 août accusés agens arrestation assemblée autorités avaient avez Barbaroux barre Barrère bespierre Billaud-Varenne blique Bouches-du-Rhône citoyens clubs collègues comité de législation comité de salut comité de sûreté commissaires commission des douze commune complices conspirateurs constitution de 1791 Convention nationale corps législatif coupables Couthon crime Danton déclaration décret d'arrestation défense délibérations demande dénoncés départemens députés détenus devait discours Dumouriez émigrés ennemis envoyés événemens force armée girondins gouvernement Henriot j'ai jacobins jour jugement juin Jura justice l'Assemblée constituante Lanjuinais liberté lois long-temps Louis XVI Marat massacres membres ment mesures ministre mission montagnards montagne motion municipalité n'avait n'était naires nation ôtages patrie patriotes Pétion pétition poste prairial présente président projet publique Qu'avez-vous à répondre représentans du peuple représentation nationale répu républicains république révolution Saint-Just salle salut public sauver séance sections Septeuil sera seul sur-le-champ sûreté générale thermidor tion toyens traîtres tribunal révolutionnaire tribune troupes tyran voté voulait
Fréquemment cités
Page 161 - Dès ce moment, jusqu'à celui où les ennemis auront été chassés du territoire de la République, tous les Français sont en réquisition permanente pour le service des armées. Les jeunes gens iront au combat; les hommes mariés forgeront les armes et transporteront les subsistances ; les femmes feront des tentes, des habits, et serviront dans les hôpitaux.
Page 341 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 339 - Le peuple français, convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens, pouvant comparer sans cesse les actes du Gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer...
Page 340 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites.
Page 241 - La Convention nationale, après avoir entendu le rapport de ses comités de Salut public et de Sûreté générale, décrète...
Page 341 - L'instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique, et mettre l'instruction à la portée de tous les citoyens.
Page 316 - ... vous avez essayé de corrompre l'esprit public , à l'aide de Talon , qui agissait dans Paris , et de Mirabeau , qui devait imprimer un mouvement contre-révolutionnaire aux provinces. Vous avez répandu des millions pour effectuer cette corruption, et vous avez voulu faire de la popularité même, un moyen d'asservir le peuple. Ces faits résultent d'un mémoire de Talon , que vous avez apostillé de votre main , et d'une lettre que Laporte vous écrivait le 19 avril, dans laquelle, vous rapportant...
Page 341 - Nul ne peut être privé de la moindre portion de sa propriété sans son consentement, si ce n'est lorsque la nécessité publique légalement constatée l'exige, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 163 - Le bataillon qui sera organisé dans chaque district sera réuni sous une bannière portant cette inscription Le peuple français debout contre les tyrans. » XII. Les bataillons seront organisés d'après les lois établies, et leur solde sera la même que celle des bataillons qui sont aux frontières. > XIII. Pour rassembler les subsistances en quantité...
Page 161 - Les jeunes gens iront au combat ; les hommes mariés forgeront les armes et transporteront les subsistances ; les femmes feront des tentes, des habits et serviront dans les hôpitaux ; les enfants mettront le vieux linge en charpie ; les vieillards se feront porter sur les places publiques pour exciter le courage des guerriers, prêcher la haine des rois et l'unité de la République.