Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir... Essays on the Nature and Principles of Taste - Page 167de Archibald Alison - 1815 - 447 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
 | Ludwig Ideler - 1812 - 618 pages
...suffisant, parfait et plein, qui ne laisse dans ''âme aucun vide qu'elle sente le besoin de remplir. Tel est l'état où je me suis trouvé souvent à l'isle de St. Pierre dans mes rêveries solitaires, soit couché dans mon bateau que je laissois dériver au gré de l'eau, soit... | |
 | Archibald Alison - 1812 - 442 pages
...*' et mes yeux, suppleoicnt aux mouvemens internes que " la reverie 6teignoit en moi, et suffisoient pour me faire " sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine " de penser. " Tel est l'6tat ou je me suis trouve souvent a, " 1'isle de St. Pierre dans mes reveries solitaires, soit "... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 732 pages
...mes yeux , suppléoient aux mouvements internes que la rêverie éteignoit en moi , et suffisoient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissoit quelque foible et courte réflexion sur linstabilité des choses de ce monde,... | |
 | Christian Ludwig Ideler - 1818 - 636 pages
.... BOUS SE AU.' pléoiént aux mouvemens internes que la rêverie éteignoit en moi, et suffisoient pour me faire sentir avec plaisir mon existence., sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissoit quelque foible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de re... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 432 pages
...et mes yeux , suppléoient aux mouvemens internes que la rêverie éteignoit en moi, et suffisoient pour me faire sentir avec plaisir mon existence , sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissoit quelque foible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 572 pages
...et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence , sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissait quelque faible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1826 - 482 pages
...yeux , suppléoient aux mouvements in » ternes que la rêverie éteignoit en moi , et suffisoient » pour me faire sentir avec plaisir mon existence , sans » prendre la peine de penser. De temps à autre naissoit » quelque foible et courte réflexion sur l'instabilité des » choses... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1826 - 474 pages
...yeux , suppléoient aux mouvements in » ternes que la rêverie éteignoit en moi , et suffisoient » pour me faire sentir avec plaisir mon existence , sans » prendre la peine de penser. De temps à autre naissoit » quelque foible et courte réflexion sur l'instabilité des » choses... | |
 | Jean Jacques Rousseau - 1827 - 414 pages
...mes yeux , suppléoient aux mouvements internes que la rêverie éteignoit en moi , et suffisoient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissoit quelque foible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1827 - 426 pages
...et mes yeux, suppléoient aux mouvements internes que la rêverie éteignoit en moi, et suffisoient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissoit quelque foible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de ce... | |
| |