Nouvelles lecons de litterature francaise: traductions diverses, morceaux et extraits de nos meilleurs ouvrages modernesA. Everat, 1835 - 476 pages |
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Page 1
... laisser prendre ce qu'elles avaient reçu de vous , ce que vous leur donniez avec abondance . Une affection bien ordonnée les portait à se soulager en me le prodiguant : ainsi c'était un bien pour elles le bien que je recevais , non pas ...
... laisser prendre ce qu'elles avaient reçu de vous , ce que vous leur donniez avec abondance . Une affection bien ordonnée les portait à se soulager en me le prodiguant : ainsi c'était un bien pour elles le bien que je recevais , non pas ...
Page 5
... laisser ouvrir les lignes partiellement , et aîné épousa sa fille . La France lui fit bien- de ne point sortir des terrasses , quelles que tôt oublier la Bohême et le Luxembourg . fussent les provocations de l'ennemi . Il épousa en ...
... laisser ouvrir les lignes partiellement , et aîné épousa sa fille . La France lui fit bien- de ne point sortir des terrasses , quelles que tôt oublier la Bohême et le Luxembourg . fussent les provocations de l'ennemi . Il épousa en ...
Page 10
... laisser avancer , et le sup- pliaient de battre en retraite : << Moi , roi de Bohême , montrer le dos à l'ennemi ! disait - il , je veux aller au secours de Phi- lippe , au secours de mon fils , et je ne quitterai la place que ...
... laisser avancer , et le sup- pliaient de battre en retraite : << Moi , roi de Bohême , montrer le dos à l'ennemi ! disait - il , je veux aller au secours de Phi- lippe , au secours de mon fils , et je ne quitterai la place que ...
Page 19
... laisser de vestiges , charrettes et potence arrachées , dispersées , englouties . Ce premier élan satisfait , on appela les coupables , et , en moins de rien , le shérif , le sergent et le bourreau se trouvèrent au centre de la po ...
... laisser de vestiges , charrettes et potence arrachées , dispersées , englouties . Ce premier élan satisfait , on appela les coupables , et , en moins de rien , le shérif , le sergent et le bourreau se trouvèrent au centre de la po ...
Page 20
... laisser entamer le combat des forces aurait voulu le suivre et briser la tête qui physiques . Malheureusement pour le ser- eût tenté de l'éviter ; mais le shérif baissa gent ce combat avait commencé . Tout - à- les yeux et se tint ...
... laisser entamer le combat des forces aurait voulu le suivre et briser la tête qui physiques . Malheureusement pour le ser- eût tenté de l'éviter ; mais le shérif baissa gent ce combat avait commencé . Tout - à- les yeux et se tint ...
Expressions et termes fréquents
arriva assez avaient Bagha banderilles Barmécides beau Benningsen Bonneval Bourbon bras bruit c'était calife cent Charlemagne chemin de fer cher cheval chose ciel cœur comte corps côté coup devant Dieu dit-il donner Écosse Édimbourg Égypte enfans espèce eût faisait Federigo femme fille fils force Gallois Gudule habitans Henri Henri IV heures homme houille j'ai j'avais jaguar jamais jeter jeune jour journ Kardan Kingsburg l'empereur laisser larmes long-temps Louis-le-Grand madame Mahiette mahout main maison malheureux matador ment mère mille hab millions monde montagnes mort Munnich n'avait n'était Napoléon nuit Paddington Pahlen passer Paul pauvre peine pendant père petite peuple picador Pictes pieds pleurer porte pouvait Premier accessit prince prison qu'un regard reste rhinocéros rien Russie s'était Saint-Étienne seigneur sent serait seul shérif soldats sort taureau terre tête tion tombe tour trouve vaisseau vapeur venait Virginie voilà voitures voix Walter Scott yeux
Fréquemment cités
Page 344 - Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine , Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 339 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin, Et rosé elle a vécu ce que vivent les rosés, L'espace d'un matin.
Page 335 - O bienheureux celui qui peut de sa mémoire Effacer pour jamais ce vain espoir de gloire, Dont l'inutile soin traverse nos plaisirs, Et qui, loin, retiré de la foule importune, Vivant dans sa maison content de sa fortune, A selon son pouvoir mesuré ses désirs.
Page 278 - A cette terrible vue, le matelot s'élança seul à la mer; et Virginie, voyant la mort inévitable , posa une main sur ses habits , l'autre sur son cœur, et , levant en haut des yeux sereins , parut un ange qui prend son vol vers les cieux.
Page 370 - S'efface sous les pleurs qui tombent de nos yeux ! Qu'un monument s'élève aux lieux de ta naissance, O toi, qui des vainqueurs renversas les projets ! La France y portera son deuil et ses regrets, Sa tardive reconnaissance ; Elle y viendra gémir sous de jeunes cyprès : Puissent croître avec eux ta gloire et sa puissance ! Que sur l'airain funèbre on grave des combats, Des étendards anglais fuyant devant tes pas, Dieu vengeant par tes mains la plus juste des causes.
Page 14 - ... avait relevé la haute contenance, à qui la clémence ajoutait de nouvelles grâces ! Qu'il eût encore volontiers sauvé la vie au brave comte de Fontaines ! mais il se trouva par terre parmi ces milliers de morts dont l'Espagne sent encore la perte.
Page 13 - A la nuit, qu'il fallut passer en présence des ennemis, comme un vigilant capitaine, il reposa le dernier, mais jamais il ne reposa plus paisiblement. A la veille d'un si grand jour, et dès la première .bataille, il est tranquille, tant il se trouve dans son naturel; et on sait que le lendemain, à l'heure marquée, il fallut réveiller d'un profond sommeil cet autre Alexandre.
Page 348 - C'est moi qui, si long-temps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux ; Et pour qui, tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
Page 368 - A qui réserve-t-on ces apprêts meurtriers , Pour qui ces torches qu'on excite ? L'airain sacré tremble et s'agite D'où vient ce bruit lugubre , où courent ces guerriers...
Page 340 - Mon Dieu ! des mœurs du temps mettons-nous moins [en peine, Et faisons un peu grâce à la nature humaine; Ne l'examinons point dans la grande rigueur, Et voyons ses défauts avec quelque douceur.