Nouvelles lecons de litterature francaise: traductions diverses, morceaux et extraits de nos meilleurs ouvrages modernesA. Everat, 1835 - 476 pages |
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Page 1
... Seigneur , que je parle à votre miséricorde , « moi qui ne suis que cendre et poussière . » Permettez - moi de lui par- ler , parce que c'est la miséricorde de mon Dieu , et non pas un homme , qui ferait de votre serviteur un objet de ...
... Seigneur , que je parle à votre miséricorde , « moi qui ne suis que cendre et poussière . » Permettez - moi de lui par- ler , parce que c'est la miséricorde de mon Dieu , et non pas un homme , qui ferait de votre serviteur un objet de ...
Page 2
... Seigneur , vous vivez toujours , et en vous rien ne meurt , parce que vous êtes avant les siècles et avant tout ce qu'on peut imaginer qui les ait de- vancés ; et vous êtes le Dieu et le maître de toutes les créatures que vous avez ti ...
... Seigneur , vous vivez toujours , et en vous rien ne meurt , parce que vous êtes avant les siècles et avant tout ce qu'on peut imaginer qui les ait de- vancés ; et vous êtes le Dieu et le maître de toutes les créatures que vous avez ti ...
Page 3
... Seigneur , vous de- meurez toujours également immuable ; et il est vrai de dire que ce que vous avez fait hier et dans les siècles passés , vous le faites AUJOURD'HUI ; et ce que vous ferez dans les siècles à venir , c'est encore AUJOUR ...
... Seigneur , vous de- meurez toujours également immuable ; et il est vrai de dire que ce que vous avez fait hier et dans les siècles passés , vous le faites AUJOURD'HUI ; et ce que vous ferez dans les siècles à venir , c'est encore AUJOUR ...
Page 12
... seigneur su- zerain de cette province après la défaite de Léolin , prince légitime de cette contrée . Édouard III commanda que Jean de Luxembourg fût porté dans l'abbaye de Valoires , située sur la Hauthie . Le corps y resta exposé ...
... seigneur su- zerain de cette province après la défaite de Léolin , prince légitime de cette contrée . Édouard III commanda que Jean de Luxembourg fût porté dans l'abbaye de Valoires , située sur la Hauthie . Le corps y resta exposé ...
Page 13
... seigneur , Robert de Grandcamp ' , lui était fort dé- voué . La Broye , premier village de l'Ar- tois , était éloigné de Créci de deux fortes lieues . Philippe heurta lui - même à la grande porte ; le vieux châtelain , inquiet du sort ...
... seigneur , Robert de Grandcamp ' , lui était fort dé- voué . La Broye , premier village de l'Ar- tois , était éloigné de Créci de deux fortes lieues . Philippe heurta lui - même à la grande porte ; le vieux châtelain , inquiet du sort ...
Expressions et termes fréquents
Anglais Angleterre arriva assez avaient beau bois Bourbon bras Brisquet bruit c'était Charlemagne chemin de fer cher cheval chose ciel cœur comte côté coup devant Dieu donner Écosse Édimbourg Égypte élevé enfans espèce eût Federigo femme Fénelon fille fils force gens habitans Henri Henri IV heures heureux hommes houille huit j'ai j'avais jamais jeter jeune jour journ jusqu'à l'eau l'empereur laissé larmes lieu long-temps lord Byron Louis-le-Grand machine machines à vapeur madame main maison malheureux matador ment mère mille hab millions monde mort n'avait n'était Napoléon nuit Paddington passer Paul pauvre peine pendant père peuple picador pieds pleurer pont Port-Louis porte pouvait Premier accessit prince prison qu'un quatre reste rien Rollin route Russie s'était Saint-Étienne Saint-Louis seigneur sent sera seul Silvio Pellico soldats sort terre tête tion tombe tour trouve vaisseau vapeur vingt Virginie voilà voitures Walter Scott yeux
Fréquemment cités
Page 344 - Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine , Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 339 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin, Et rosé elle a vécu ce que vivent les rosés, L'espace d'un matin.
Page 335 - O bienheureux celui qui peut de sa mémoire Effacer pour jamais ce vain espoir de gloire, Dont l'inutile soin traverse nos plaisirs, Et qui, loin, retiré de la foule importune, Vivant dans sa maison content de sa fortune, A selon son pouvoir mesuré ses désirs.
Page 278 - A cette terrible vue, le matelot s'élança seul à la mer; et Virginie, voyant la mort inévitable , posa une main sur ses habits , l'autre sur son cœur, et , levant en haut des yeux sereins , parut un ange qui prend son vol vers les cieux.
Page 370 - S'efface sous les pleurs qui tombent de nos yeux ! Qu'un monument s'élève aux lieux de ta naissance, O toi, qui des vainqueurs renversas les projets ! La France y portera son deuil et ses regrets, Sa tardive reconnaissance ; Elle y viendra gémir sous de jeunes cyprès : Puissent croître avec eux ta gloire et sa puissance ! Que sur l'airain funèbre on grave des combats, Des étendards anglais fuyant devant tes pas, Dieu vengeant par tes mains la plus juste des causes.
Page 14 - ... avait relevé la haute contenance, à qui la clémence ajoutait de nouvelles grâces ! Qu'il eût encore volontiers sauvé la vie au brave comte de Fontaines ! mais il se trouva par terre parmi ces milliers de morts dont l'Espagne sent encore la perte.
Page 13 - A la nuit, qu'il fallut passer en présence des ennemis, comme un vigilant capitaine, il reposa le dernier, mais jamais il ne reposa plus paisiblement. A la veille d'un si grand jour, et dès la première .bataille, il est tranquille, tant il se trouve dans son naturel; et on sait que le lendemain, à l'heure marquée, il fallut réveiller d'un profond sommeil cet autre Alexandre.
Page 348 - C'est moi qui, si long-temps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les dieux ; Et pour qui, tant de fois prodiguant vos caresses, Vous n'avez point du sang dédaigné les faiblesses.
Page 368 - A qui réserve-t-on ces apprêts meurtriers , Pour qui ces torches qu'on excite ? L'airain sacré tremble et s'agite D'où vient ce bruit lugubre , où courent ces guerriers...
Page 340 - Mon Dieu ! des mœurs du temps mettons-nous moins [en peine, Et faisons un peu grâce à la nature humaine; Ne l'examinons point dans la grande rigueur, Et voyons ses défauts avec quelque douceur.