Œuvres: Les confessionsDeterville, 1817 |
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Page 10
... j'avois renouvelé connoissance tandis que j'étois chez M. de Mably . A ce voyage , ayant plus de loisir , je la vis davantage ; mon cœur se prit , et très vivement . J'eus quelque lieu de penser que le sien ne m'étoit pas contraire ...
... j'avois renouvelé connoissance tandis que j'étois chez M. de Mably . A ce voyage , ayant plus de loisir , je la vis davantage ; mon cœur se prit , et très vivement . J'eus quelque lieu de penser que le sien ne m'étoit pas contraire ...
Page 14
... j'avois préparé pour cela . Quoique cette illustre assemblée fût assurément très imposante , j'y fus beaucoup moins intimidé que devant ma- dame de Boze , et je me tirai passablement de ma lecture et de mes réponses . Le mémoire réus ...
... j'avois préparé pour cela . Quoique cette illustre assemblée fût assurément très imposante , j'y fus beaucoup moins intimidé que devant ma- dame de Boze , et je me tirai passablement de ma lecture et de mes réponses . Le mémoire réus ...
Page 18
... j'avois mangé en l'écrivant . Bonnefond me procura Quillau le père , qui fit avec moi un traité à moitié profit , sans compter le privilège que je payai seul . Tant fut opéré par ledit Quillau , que j'en fus pour mon privi- lége et n ...
... j'avois mangé en l'écrivant . Bonnefond me procura Quillau le père , qui fit avec moi un traité à moitié profit , sans compter le privilège que je payai seul . Tant fut opéré par ledit Quillau , que j'en fus pour mon privi- lége et n ...
Page 19
... j'avois trente ans , j'étois homme fait , et je me trou- vois sur le pavé de Paris où l'on ne vit pas pour rien . Le parti que je pris dans cette extrémité n'étonnera que ceux qui n'auront pas bien lu ma première partie . Je venois de ...
... j'avois trente ans , j'étois homme fait , et je me trou- vois sur le pavé de Paris où l'on ne vit pas pour rien . Le parti que je pris dans cette extrémité n'étonnera que ceux qui n'auront pas bien lu ma première partie . Je venois de ...
Page 20
... j'avois qu'on s'occupât de moi étoit précisément ce qui m'ôtoit le courage de me montrer ; et la nécessité de faire des visites me les rendit insupportables , au point que je ces- sai même de voir les académiciens et autres gens de ...
... j'avois qu'on s'occupât de moi étoit précisément ce qui m'ôtoit le courage de me montrer ; et la nécessité de faire des visites me les rendit insupportables , au point que je ces- sai même de voir les académiciens et autres gens de ...
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Expressions et termes fréquents
aimable amis amitié assez auroit avoient avois avoit Boufflers c'étoit Chenonceaux chose cœur comte connoissance crus dame déja Devin du village devoit Diderot dîner dire donner Eaubonne écrit étoient étoit eût faisoit falloit femme fille Francueil fût Genève gens goût grace Grimm holbachique homme j'ai j'allois j'aurois j'avois j'en j'étois j'eus Jacques jamais Jean-Jac jour juger l'abbé l'Émile l'Hermitage laisser lettre liaisons avec Jean-Jacques livre long-temps m'avoit m'écrivit m'en m'eût madame d'Épinay madame d'Houdetot madame de Luxembourg madame de Pompadour madame de Warens madame Dupin madame la maréchale madame Le Vasseur mademoiselle maison manuscrit Margency ment moi-même Montaigu Montmorency Motiers musique n'en n'y avoit occasion ouvrage parceque parler paroissoit passer personne plaisir Portrait pouvoit premier prendre pût réponse reste rien Saint-Lambert sentiments sentois seroit seul sitôt sortir succès sur-tout talents Thérèse tion tout-à-fait trouvai trouvois Venise venoit vint vois vouloit voulut voyage voyois