Questions de littérature légale: Du plagiat. De la supposition d'auteurs, des supercheries qui ont rapport aux livres. Ouvrage qui peut servir de suite au dictionnaire des ananymes et à toutes les bibliographiesBarba, 1812 - 118 pages |
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... phrase courte , figurée , sentencieuse presque toujours antithétique de Sénèque , au tra- vers de la riche abondance de son style , étendu sans être lâche , et détaillé sans être prolixe . On ne considère encore que comme imitation l ...
... phrase courte , figurée , sentencieuse presque toujours antithétique de Sénèque , au tra- vers de la riche abondance de son style , étendu sans être lâche , et détaillé sans être prolixe . On ne considère encore que comme imitation l ...
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... phrase entr'eux , un peu moins , ce me semble , pour rendre l'idée plus claire et plus propre à son sujet que pour l'appro- prier à son style , et l'encadrer sans disparate dans la contexture de ses écrits . Enfin , après avoir fait ces ...
... phrase entr'eux , un peu moins , ce me semble , pour rendre l'idée plus claire et plus propre à son sujet que pour l'appro- prier à son style , et l'encadrer sans disparate dans la contexture de ses écrits . Enfin , après avoir fait ces ...
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... phrase , l'em- ploi souvent surabondant de l'adverbe , et la re- cherche souvent affectée des locutions antiques , n'avoit rien de si rare qu'on fût obligé de recourir à l'accusation de plagiat pour l'expliquer . Manuce même excelloit ...
... phrase , l'em- ploi souvent surabondant de l'adverbe , et la re- cherche souvent affectée des locutions antiques , n'avoit rien de si rare qu'on fût obligé de recourir à l'accusation de plagiat pour l'expliquer . Manuce même excelloit ...
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... phrase me feroit illusion . Ainsi , je comprendrois bien que Guillaume des Autelz ou un de ses contemporains , avec autant d'esprit que lui , eût réussi à intercaler dans Rabelais un petit chapitre qui se lieroit avec le reste , sans ...
... phrase me feroit illusion . Ainsi , je comprendrois bien que Guillaume des Autelz ou un de ses contemporains , avec autant d'esprit que lui , eût réussi à intercaler dans Rabelais un petit chapitre qui se lieroit avec le reste , sans ...
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... phrase un air de pompe et de solen- nité très extraordinaires . Ce petit secret est devenu l'instrument le plus fastidieux du style moderne . Aucun substantif au singulier n'a osé se présenter dans la prose soutenue ; le pluriel lui ...
... phrase un air de pompe et de solen- nité très extraordinaires . Ce petit secret est devenu l'instrument le plus fastidieux du style moderne . Aucun substantif au singulier n'a osé se présenter dans la prose soutenue ; le pluriel lui ...
Expressions et termes fréquents
adjectifs adverbes aimé assez auroit auteurs avoient avoit beautés Boileau Bossuet c'étoit carac caractère CHAPITRE chose Cicéron Cinna connoissance connoître consonne Corneille datif déja devoit Dieu différentes diphtongue dire discours distinguer doit donner Duclos écrit écrivains espèce esprit étoient étoit exemple façons de parler faisoit foible génie génitif genre gérondif goût Grammaire Grammairiens Grecs hommes idées j'ai jamais l'affirmation l'article l'attribut l'auteur l'homme l'orthographe l'usage langage langue françoise latin lettres littérature livre Louis XIV madame de Sévigné manière marquer Massillon Molière Montaigne mots n'avoit nasal nom substantif ouvrages paroît participe particulier Pascal pastiche pensées personne philosophes phrase plagiat plurier poëme poésie poëte Port-Royal pourroit pouvoit premier préposition presque pronom prononce proposition propre prose qu'un quelquefois quòd Racine raison rapport remarquer Rousseau sentimens sentir seroit seul siècle signifie signifient sorte souvent style substantif sujet sur-tout syllabe tems terminaisons Timée de Locres tion tragédie trouve usage verbe Voltaire voyelles ככ כל
Fréquemment cités
Page 125 - N'est point tel que l'erreur le figure à vos yeux. L'Éternel est son nom. Le monde est son ouvrage, II entend les soupirs de l'humble qu'on outrage, Juge tous les mortels avec d'égales lois, Et du haut de son trône interroge les rois. Des plus fermes États la chute épouvantable, Quand il veut, n'est qu'un jeu de sa main redoutable.
Page 66 - Tu nous rendras alors nos douces destinées ; Nous ne reverrons plus ces fâcheuses années Qui pour les plus heureux n'ont produit que des pleurs. Toute sorte de biens comblera nos familles, La moisson de nos champs lassera les faucilles, Et les fruits passeront la promesse des fleurs.
Page 121 - Cependant mon amour pour notre nation A rempli ce palais de filles de Sion : Jeunes et tendres fleurs, par le sort agitées, Sous un ciel étranger comme moi transplantées. Dans un lieu séparé de profanes témoins, Je mets à les former mon étude et mes soins; Et c'est là que , fuyant l'orgueil du diadème , Lasse de vains honneurs, et me cherchant moi-même , Aux pieds de l'Éternel je viens m'humilier, Et goûter le plaisir de me faire oublier.
Page 84 - De la compassion les chagrins innocents M'en ont fait sentir la puissance ; Mais je n'ai point encor senti ce que je sens.
Page 124 - D'une riche contrée autrefois souverains, Pendant qu'ils n'adoroient que le Dieu de leurs pères , Ont vu bénir le cours de leurs destins prospères. Ce Dieu , maître absolu de la terre et des cieux, N'est point tel que l'erreur le figure à vos yeux : L'Éternel est son nom, le monde...
Page 122 - II plut à ton amour de choisir nos aïeux : Même tu leur promis de ta bouche sacrée Une postérité d'éternelle durée. Hélas ! ce peuple ingrat a méprisé ta loi. La nation chérie a violé sa foi; Elle a répudié son époux et son père , Pour rendre à d'autres dieux un honneur adultère : Maintenant elle sert sous un maître étranger. Mais c'est peu d'être...
Page 105 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Page 195 - Monseigneur, que ce long enchaînement des causes particulières qui font et défont les empires , dépend des ordres secrets de la divine Providence. Dieu tient du plus haut des cieux les rênes de tous les royaumes ; il a tous les cœurs en sa main : tantôt il retient les passions ; tantôt il leur lâche la bride , et par là il remue tout le genre humain.
Page 112 - Nous avons beau enfler nos conceptions au delà des espaces imaginables, nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses. C'est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part.
Page 100 - Je ne m'en suis vengé qu'en te donnant la vie : Je te fis prisonnier pour te combler de biens, Ma Cour fut ta prison, mes faveurs tes liens...