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dans la basilique de Latran. Il ya il a adressé un discours à Loniseu 15 sujets promus à la tonsure, Philippe, à l'occasion de la nouvelle 16 aux ordres mineurs, 32 au sous- année.

diaconat, 15 au diaconat, et 18 à la prêtrise: en tout, 96 ordinands.

- Le quatrième dimanche de l'Avent, Mgr Castellani, évêque de Porphyre, a célébré la messe solennelle dans la chapelle Sixtine, en présence de Sa Sainteté et des car

Diocèse d'Avignon. - Jaloux de l'avancement spirituel de son clergé, qui, grâce à l'excellente direction qu'il a reçue, marche avec tant de concert dans l'exacte observance des saintes règles et dans la pra

dinaux. Le P. Priori, Carne, a pro-tique des vertus sacerdotales, tours, est la vôtre, parce qu'elle est l'expression de vos pensées et de vos vues, et parce qu'elle ne se sout endra, n'aura de vie, qu'autant que vous la soutiendrez et la ferez vivre par la persévérance de votre zèle et la générosité de votre concours.

noncé le discours après l'Evangile.

PARIS. - Le vendredi 3r décem

bre, anniversaire de la mort de Mgr de Quelen, de sainte mémoire,

un service funèbre a été célébré

pour le repos de son ame, dans la chapelle du Sacré-Cœur. M. le viomte de Quelen, frère du pieux archevêque, M. le marquis du Boucheta son neveu, etc.; M. l'archevêque de Calcédoine et M. l'évêque de Nancy; MM. Jammes, Quentin, Tresvaux, etc., et un grand nombre d'ecclésiastiques fidèles au souvenir de l'illustre prélat; les membres du conseil de l'OEuvre du choléra et l'élite de la société de Paris, assistoient à cette triste cérémonie. M. l'abbé Morel officioit, assisté de MM. Surat et Molinier. Après l'Evangile, M. Morel a prononcé de

l'autel une touchante allocution où il a rappelé les vertus et les éminens services de Mgr de Quelen, et où il a loué les assistans d'ètre ver nus répondre à l'appel de Dieu et de la fidélité. Nous n'essaierons pas de reproduire ces belles paroles, qui

sortoient du cœur de M. Morel pour aller émouvoir celui de ses auditeurs. Nous n'ajouterons qu'un mot: rien n'est plus honorable que la religieuse exactitude avec laquelle les amis de Mgr de Quelen conservent sa mémoire; mais rien aussi n'est plus honorable pour le noble prélat que d'avoir inspiré une affection si vraie et si constante.

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Mgr Du Pont ne s'est pas moins preoccupé des besoins temporels de ses prètres. Le prelat étoit surtout contristé à la vue de ces vétérans du sanctuaire, courbés plus encore sous le poids du jour que sous celui des années, et menacés d'ètre entièrement privés des adoucisseinens réclamés par leur âge et par leurs infirmités, au moment où leurs forces défaillantes ne leur permettent plus d'exercer les saintes fonctions dans lesquelles ils ont con

sumé leur existence. Pour adoucir leur position, Mgr Du Pont a voulu fonder une Caisse de retraite et de secours sur des bases qui ne laisseront rien à désirer. Il dit à son

clergé, dans une Lettre pastorale, publiée à cette occasion :

« Après vous avoir tous consultés, nous

n'avons voulu qu'être l'organe de la ma

jorité le résultat ne sauroit donc être douteux.

» Ainsi sera créé un fonds toujours sub

sistant pour subvenir à des besoins qui

se font si vivement sentir. Ainsi à des ressources si foibles, si insuffisantes, "et et

d'ailleurs si précaires, viendront se join

dre de nouvelles ressources plus abondantes et plus certaines. Ainsi pourront être améliorées des positions dignes d'exciter le plus compatissant intérêt. L'âge, les infirmités, la maladie ne seront pas menacés d'un déplorable abandon. Tout aura été prévu; le secours opportun ne se fera pas attendre. Voilà les avantages que procurera l'œuvre sagement combinée dont l'établissement est enfin réalisé. Cette œuvre, nos bien-aimés coopéra

> Parlez aussi aux fidèles commis à vos soins: appelez leur coopération, leur montrant que ce sera de leur part justice et charité tout ensemble. Des enfans ne doivent-ils pas être en aide à leurs pères, et n'y a-t-il pas une bénédiction toute spéciale pour ceux qui s'acquittent fidèlement d'un si saint devoir? »

Tel est le dernier témoignage de sollicitude que le zélé prélat donne à la milice sainte dont il est le chef, au moment d'une séparation douJoureuse. Plus que jamais le clergé d'Avignon a des motifs de regret; plus que jainais aussi celui de Bourges a des motifs de consolation et d'esperance.

la capitale. Sans direction dans cette
grande ville, sans guides, sans maîtres
(ils étoient ou massacrés ou incarcérés),
livré aux seules impulsions de son noble
cœur, chaque jour il affrontoit la mort
pour visiter et soutenir les confesseurs de
la foi. Arrêté un jour dans l'exercice de
ce périlleux ministère par un des satellites
préposés à leur garde, il le fit reculer
d'effroi en lui présentant le livre qu'une
ingénieuse piété venoit de découvrir pour
leur consolation, les Actes des Martyrs.
Qui vous dira, N. T. C. F., son empres-
sement à sacrifier, quand il en fut temps,
les affections de la famille et de la patrie,
à accepter les soucis et les privations de
l'exil, à recevoir sur une terre étrangère
le caracti re sacerdotal qui ne pouvoit plus
être sur le sol natal qu'un caractère de
réprobation et un signe de mort?...

• Sa parole, consacrée par le glorieux témoignage qu'il eut le bonheur de rendre à la Foi, reçut dès lors un caractère d'autorité qui, après la tourmente, lui fit Diocèse de Bourges. - Le Mande-annoncer sans crainte les austères enseignemens du Calvaire dans la cour des princes et en présence des rois...

ment de M. les vicaires-généraux capitulares rend le plus beau témoignage aux vertus et aux travaux apostoliques de Mar de Villete:

«Que nous aimions, disent-ils, à recueillir de sa bouche les édifians détails de son éducation cléricale; les preuves si multipliées de son innocence, de sa candeur, de sa simplicité ; les tendres inspirations de sa reconnoissance envers ses vénérables maîtres, les prêtres de SaintSulpice, près desquels il éclairoit et fortifioit sa foi par l'étude et la prière! Soutenue par leurs leçons et leurs exemples, elle se trouva inébranlable quand les vents et la tempête vinrent brusquement l'assaillir, avant la fin de son séminaire. Libre encore (il n'avoit que les ordres mineurs), il voulut sans délai consommer son sacrifice, en s'associant aux dangers de la religion, par les engagemens irrévocables du sous-diaconat. Il le reçut en secret, comme les premiers martyrs, dans une espèce de catacombe, alors que le flot révolutionnaire inondoit les rues de

» Placé dans ce diocèse entre les deux générations sacerdotales, l'ancienne qui alloit tomber en masse, et la nouvelle qui commençoit à paroître, Mgr de Villèle comprit aussitôt ce qu'il y avoit de providentiel dans sa mission, l'obligation où il se trouvoit à la fois de sanctifier les dernières années des anciens du sanctuaire, et de diriger les premiers pas du clergé nouveau dans sa périlleuse carrière. Dans ce double but, il se hâta d'instituer à ses frais les retraites ecclésiastiques....

» Il commença les visites de son diocèse, qu'il a depuis continuées avec un zèle vraiment infatigable, allant de ville en ville, pour distribuer à tous le pain de la parole.... Lorsqu'après de pénibles courses, il rentroit dans sa métropole, fatigué du chemin et du poids de la chaleur, il alloit s'asseoir au tribunal de la miséricorde pour y consoler l'ame fidèle, pour y convertir la Samaritaine; il dirigeoit vos pasteurs, répondoit à vos doutes; tience du divin maître, dans le travail de dissolution dont il avoit cru ressentir les premières atteintes. Ses pensées parurent plus habituellement occupées des jours anciens, plus visiblement fixées sur les années éternelles; ses aumônes toujours si abondantes se multiplièrent au-delà de ses ressources, et, s'il n'a pas laissé de testament en faveur des pauvres, c'est que, charitable pendant sa vie, à l'exemple du saint évêque d'Hippone, il n'avoit, comme lui, rien réservé qu'il pût leur léguer après sa mort. .

il réunissoit en un seul code les règles de | gagement authentique d'imiter la pala discipline; il fixoit l'ordre et les cérémonies de vos solennités, il en instituoit de nouvelles aussi consolantes pour sa piété que pour la vôtre; il préparoit, pour l'avenir, des ressources à la portion la plus délaissée du troupeau, fondant pour le prêtre infirme, pour la pauvre orpheline, pour la fille du repentir, pour les pécheurs de tout âge et de tout rang, ces institutions salutaires, monumens authentiques de sa charité pastorale.... Son temps, sa vie, étoient votre bien. Dans de doux épanchemens, il nous avoit révélé que nulle autre Eglise ne vous raviroit ses affections; que vous ne cesseriez jamais d'être son peuple; que la terre où vous mourriez le verroit mourir; qu'il seroit enseveli où nous le serions nousmêmes; qu'après lui (ce sont ses paroles) d'autres pourroient peut-être nous gouverner avec plus d'habileté ou de succès, mais jamais avec plus d'amour.

• Chargé de nos intérêts du temps et de l'éternité, il s'étoit fait parmi nous et pour nous l'homme de la prière. Vous l'avez vu, N. T. C. F., dans vos solennités publiques: n'y fut-il pas toujours, de tous ses prêtres, le plus assidu, le plus visiblement absorbé par la vue de la majesté sainte? Chaque jour il réunissoit autour de lui ses prêtres et ses domestiques pour prier avec eux, pour eux et pour vous. Chaque jour le saint autel fut le témoin de sa ferveur, de sa religion profonde, le confident de ses vœux pour votre bonheur; c'étoit pour vous qu'il offroit le sacrifice. Recueilli, régulier dans la récitation du saint office, comme aux premiers jours de sa consécration, il achevoit de payer à Dieu ce tribut journalier sicher à son cœur, quand il fut frappé du coup mortel... Certes, les légères indisposi tions qu'il éprouvoiten 1836 ne devoient lui laisser entrevoir la catastrophe que dans un avenir bien éloigné; elles ne pouvoient lui paroître qu'une réponse de mort bien incertaine et bien douteuse. Toutefois, cette année-là même, au jour de la Passion, il signoit de sa main l'en

Diocèse de Luçon. - - On nous trausmet de Saint-Laurent-sur-Sèvres une nouvelle qui affigera profondément tous les amis du vénéra ble M. Deshayes, supérieur des missionnaires fondés par le grand serviteurde Dieu Louis-Marie Grignon de Montfort.

• M. l'abbé Deshayes, nous écrit-on, est dans un état d'épuisement qui annonce une fin prochaine. Malgré son âge avancé, on se flattoit de le conserver plus long-temps; mais les grands travaux qu'il a soutenus avec un zele infatigableont rapproché le terme de sa carrière.

» M. Deshayes, qui est aussi supérieur de la nombreuse congrégation des Sœurs de la Sagesse, dont les établissemens charitables sont répandus à Paris et dans les provinces, avoit des relations avec un grand nombre d'évêques et d'ecclésiastiques distingués : les membres de sa compagnie désirent leur faire part de leur affliction.

» Hier, 26 décembre, le respectable supérieur a reçu le saint viatique et le sacrement de l'extrême-onction avec des sentimens dignes de sa haute piété; puis il a adressé à ses missionnaires, réunis autour de son lit, une touchante exhortation. Depuis ce moment, ses forces n'ont cessé de décliner..

Diocèse de Lyon. - La solennité de Noel a été célébrée par da reli

gieuse population de Lyon avec un empressement et un ordre admirables.

Toutes les églises, même les plus vastes, n'ont pu contenir la multitude qui s'y portoit, et pendant les offices de la nuit et pendant ceux du jour.

S. E. le cardinal a officié pontificalement dans son église métropolitaine. Il ne restoit aucune trace de l'indisposition qui avoit alarmé ses fidèles diocésains il y a quelques jours.

Diocèse de Tours. - On lira avec intérèt de nouveaux détails sur

Mgr Augustin-Louis de Montblanc, mort le 28 décembre, après une courte mais violente maladie.

Ce prélat, né le 28 mai 1767, n'étoit pas encore revêtu du sacerdoce, quand éclata la révolution de 1789. Comme tant d'autres membres du clergé de France, il dut, à cette désastreuse époque, quitter sa patrię, et chercher un asile contre la persécution dans un pays étranger: ce fut l'Italie qu'il choisit pour refuge.

Après un séjour de dix ans dans cette contrée, il passa en Angleterre, où il se plut à cultiver, ainsi que dans le premier lieu de son exil, la littérature et les langues étrangères, sans jamais perdre de vue les devoirs de premier ordre que lui imposoit son état. Ses succès, en ce genre, le firent remarquer et lui obtinrent le grade de docteur dans l'Université d'Oxford. Il se trouva ainsi en relation, non-seulement avec ses compagnons d'infortune, mais avec plusieurs Anglais de distinction, qui surent goûter l'amitié de son caractère, et conservèrent toujours pour lui une estime et un attachement sincères.

L'année 1814, en rouvrant aux Bourbons les portes de la France, y rappela l'abbé de Montblanc, fidèle

courtisan du malheur. Le concordat de 1817 fournissoit une occasion de récompenser son mérite et son dévoûment, et le gouvernement de la restauration ne la laissa point échapper: il fut nominé à l'évêché de Saint-Dié. Mais, cet acte n'ayant point reçu sa complète exécution, il fut, en 1821, choisi pour coadjuteur de M. du Chilleau, archevêque de Tours, et nommé à cette même époque chanoine de premier ordre de l'église royale de Saint-Denis.

Enfin la mort de son vénérable prédécesseur l'appela, en 1824, à gouverner directement, et par luimême, le diocèse de Tours; et l'on sait par quelle sagesse et quelle prudente modération il sut, aux diverses époques de son administration, se concilier la vénération

et l'attachement de tous ses diocé

sains.

En 1827, Mgr de Montblanc fut élevé à la pairie, et ne se servit de l'influence que pouvoit lui donner cette position, que pour obliger davantage ceux qui réclamoient ses services. Aussi quitta-t-il, sans regret, en 1830, une dignité qu'il n'avoit point recherchée, pour se concentrer entièrement dans l'exercice de son ministère. Fidèle à ses affections de toute la vie, il comprit toutefois que son caractère et sa mission le dévouoient avant tout au service de l'Eglise; et cette pensée lui traça invariablement la ligne de conduite qu'il a toujours suivie.

Depuis long-temps, un malaise continuel, éprouvé par le prélat, sembloit annoncer à ses amis un vice d'organisation inconnu, et leur inspiroit des craintes trop fondées. Mais la mort, quelque soudaine qu'elle pût être pour lui, devoit le trouver préparé. Dimanche dernier, les médecins désespérèrent de ses jours. Ou le vit aussitôt se disposer au dernier moment en chrétien fervent et en évêque

ser les deux premiers.

» Il y a dans ce rapprochement inaccoutumé de corps si distans les uns des autres quelque chose de si étrange, que nous devons y puiser l'avertissement de nous tenir sur nos gardes, sinon de nous alarmer sur ce qui nous attend.

plein du sentiment de ses de-troisième parul enfin qui menaça d'éclipvoirs. Il reçut les derniers sacremens avec cette haute et profonde piété qui s'étoit toujours fait remarquer en lui, adressa à son clergé les paroles les plus touchantes, et tira de tous les yeux des larmes d'attendrissement. Dès ce moment, calme et résigné au milieu des plus vives douleurs, il attendit la mort sans foiblesse, et la vit arriver avec courage. ge. Les regrets de sa famille, de ses amis, de tous ses prêtres qu'il aimoit comme ses enfans, et de tous les fidèles du diocèse, seront, sans nul doute, son plus digne éloge. Immédiatement après la mort du repos? Le danger, c'est la crainte que

• Trois pairs d'Angleterre, pris tout à coup de sollicitude pour les catholiques irlandais et leur hiérarchie ecclésiastique, courent à notre assistance! Et quel danger a donc ainsi excité les craintes de leurs seigneuries? Quel remède proposentils pour nous rendre les bénédictions du

inspire une certaine puissance irresponsable qu'ils trouvent en Irlande, puissance qui n'a d'existence que dans l'ima

prélat, le chapitre de l'église métropolitaine s'est assemblé, et a choisi, à l'unanimité, pour gouverner le diocèse durant la vacance du siége, gination haincuse de nos ennemis. Le

MM. Dufètre, Besnard et Bruchet, vicaires-généraux de l'illustre défunt. Le jour des obsèques a été fixé au mardi 4 janvier. En attendant, les fidèles sont admis dans la chapelle ardente à l'Archevêché, où sont ex

posés les restes du vénérable prélat.

IRLANDE. Nous avons parlé de la lettre de lord Shrewsbury sur l'etat

de l'Irlande, puis de la publicationde lord Alvanley sur les moyens de rendre la tranquillité à ce pays. Lord Clifford a publié un écrit sur le même sujet. Dans une lettre personnellement adressée à ce dernier, mais où les assertions des deux premiers sont également réfutées, Mgr Mac-Hale, archevêque de Tuam, demande aux trois pairs d'Angleterre d'où ils tiennent le droit qu'ils se sont arrogé de censurer la conduite du clergé irlandais;

• Quelle rare et rapide succession de météores qui se sont depuis peu levés sur notre pays pour guider ses malheureuses destinées! A peine le premier avoit-il fait son apparition, qu'un second se montroit resplendissant de nouvelles lumières. Un

fantôme d'un mal a mis leurs seigneuries en hâte de chercher un remède, tandis qu'elles passent dédaigneusement et avec insulte sur les maux réels et palpables de

notre pays.

> Vous êtes parfaitement d'accord sur l'existence de cette puissance irresponsable et sur la nécessité de la réprimer..... Je vous comprends, milords; et je pense bien ne pas me faire illusion: vous désignez par-là le pouvoir dont disposent

en Irlande M. O'Connell, et une certaine partie du clergé catholique. Vous voulez qu'on réprime cette puissance; vous voudriez la voir passer sous le contrôle de l'Angleterre ! »

Le prélat s'attache à démontrer qu'il n'existe rien en Irlande. qui ressemble à cette puissance irresponsable, dont lord Alvanley et lord Clifford se préoccupent dans leurs

écrits.

« Oui, s'écrie-t-il ensuite, oui, pairs protestans et catholiques de l'Angleterre, faites-vous des appels réciproques; oubliez vos vieux différends et adoptez un langage inconnu à l'ancienne Eglise: le prix de cette réconciliation contre nature sera de perpétuer la misère de l'Irlande et l'oppression de son peuple, de créer de nou

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