| Jean-Jacques Rousseau, René Just Haüy - 1802 - 354 pages
...surprenait sourent sans que je m'en fusse apperçu. Le flux et reflux de cette eau , son bruit continu mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon -oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvemens internes que la rêverie éteignait eu moi , et suffi. saient pour me faire sentir av.ec... | |
| Archibald Alison - 1812 - 442 pages
...*' et mes yeux, suppleoicnt aux mouvemens internes que " la reverie 6teignoit en moi, et suffisoient pour me faire " sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine " de penser. " Tel est l'6tat ou je me suis trouve souvent a, " 1'isle de St. Pierre dans mes reveries solitaires,... | |
| Archibald Alison - 1812 - 444 pages
..." et mes yeux, suppleoicnt aux mouvemens internes que " la reverie eteignoit en moi, et suffisoient pour me faire " sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine " de penser. " Tel est 1'etat ou je me suis trouve souvent d " 1'isle de St. Pierre dans mes reveries solitaires,... | |
| Ludwig Ideler - 1812 - 618 pages
...surprenoit souvent ean* que je m'en fusse appercu. Le flux et reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléoieiit aux mouvemens internes que la rêverie éteignoit en moi, et suffiaoient pour me faire... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 732 pages
...surprenoit souvent sans que je m'en fusse aperçu. Le flux et reflux de cette eau , son bruit continu , mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux , suppléoient aux mouvements internes que la rêverie éteignoit en moi , et suffisoient pour me faire... | |
| Christian Ludwig Ideler - 1818 - 636 pages
.... BOUS SE AU.' pléoiént aux mouvemens internes que la rêverie éteignoit en moi, et suffisoient pour me faire sentir avec plaisir mon existence., sans prendre la peine de penser. De temps à autre naissoit quelque foible et courte réflexion sur l'instabilité des choses de re monde dont la surface... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 432 pages
...surprenoit souvent sans que je m'en fusse aperçu. Le flux et reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles , frappant sans relâche mon oreille et mes yeux , suppléoient aux mouvemens internes que la rêverie éteignoit en moi, et suffisoient pour me faire... | |
| Archibald Alison - 1821 - 464 pages
...surprenoit souvent sans que je m'en fusse apper" eu. Le flux et reflux de cette eau, son bruit continu, " mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon " oreille et mes yeux, suppléoient aux mouvemens " internes que la rêverie éteignoit en moi, etsuffisoient " pour me faire... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1825 - 374 pages
...surprenoit souvent sans que je m'en fusse aperçu. Le flux et le reflux de cette eau , son bruit continu , mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux , suppléoient aux mouvements internes que la rêverie éteignoit en moi, et suffisoient pour me faire... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1826 - 474 pages
...souvent , sans que je m'en fusse aperçu. Le » flux et le reflux de cette eau , son bruit continu , mais » renflé par intervalles , frappant sans relâche mon » oreille et mes yeux , suppléoient aux mouvements in » ternes que la rêverie éteignoit en moi , et suffisoient » pour... | |
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