Philosophie du dix-huitième siècle, Volume 2Deterville, 1818 |
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Autres éditions - Tout afficher
Philosophie du dix-huitième siècle: ouvrage posthume, Volume 2 Jean-François de La Harpe Affichage du livre entier - 1821 |
Philosophie du dix-huitieme siecle, Volume 2 Jean-François de La Harpe Affichage du livre entier - 1825 |
Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 320 - Je ne suis fait comme aucun de ceux que j'ai vus; j'ose croire n'être fait comme aucun de ceux qui existent.
Page 132 - Diderot ajoute , avec non moins de raison , que s'il ya tant d'obscurités et de disputes dans cette étude, c'est que l'on confond la scolastique avec la théologie véritable, qui a trois parties, celle de l'histoire , ou la théologie positive; celle du dogme, ou la théologie dogmatique , qui ne peut être qu'une logique saine , appliquée aux faits de la religion; celle de la morale, qui se réduit à une seule et grande règle , la conformité de nos volontés à celle de Dieu , et qui n'est...
Page 181 - ... que nous ne devons pas faire à autrui ce que nous ne voudrions pas qu'on nous fît.- Jusque-là tout est égal.
Page 30 - Or, que cela soit ainsi, c'est à vos lumières, c'est à votre conscience que j'en appelle : avez-vous jamais remarqué dans les raisonnements, les actions et la conduite de quelque homme que ce soit, plus d'intelligence, d'ordre, de sagacité, de conséquence que dans le mécanisme d'un insecte? La Divinité...
Page 114 - J'espère à tes récompenses dans l'autre monde, s'il y en a un; quoique tout ce que je fais dans celui-ci, je le fasse pour moi.
Page 70 - Comme de toutes les démonstrations extérieures qui réveillent en nous la commisération et les idées de la douleur, les aveugles ne sont affectés que par la plainte, je les soupçonne, en général, d'inhumanité. Quelle...
Page 4 - Je l'ai lu et relu : je me suis rempli de son esprit; et j'ai, pour ainsi dire, fermé son livre, lorsque j'ai pris la plume.
Page 270 - Gallion, mon frère, tous les hommes veulent être heureux; mais tous sont aveugles lorsqu'il s'agit d'examiner en quoi consiste le bonheur. » Notre philosophe avait rencontré la vraie base de la morale. A parler rigoureusement, il n'ya qu'un devoir : c'est d'être heureux : il n'ya qu'une vertu : c'est la justice.
Page 96 - Les grandes abstractions ne comportent qu'une lueur sombre. L'acte de la généralisation tend à dépouiller les concepts de tout ce qu'ils ont de sensible. A mesure que cet acte s'avance, les spectres corporels s'évanouissent; les notions se retirent peu à peu de l'imagination vers l'entendement; et les idées deviennent purement intellectuelles.
Page 3 - Le but de cet ouvrage, dit-il, est de montrer que la vertu est presque indivisiblement attachée à la connaissance de Dieu, et que le bonheur temporel de l'homme est inséparable de la vertu. Point de vertu sans croire en Dieu : point de bonheur sans vertu, ce sont les deux propositions de l'illustre philosophe dont je vais exposer les idées...