La Feuille villageoise: adressée, chaque semaine, a tous les villages de la France, pour les instruire des lois, des evénemens, des découvertes qui intéressent tout citoyen : proposée par souscription aux propriétaires, fermiers, pasteurs, habitans et amis des campagnes, Partie 2Chez Desenne, 1792 |
Autres éditions - Tout afficher
La Feuille villageoise: adressée, chaque semaine, a tous les ..., Partie 1 Affichage du livre entier - 1791 |
La Feuille villageoise: adressée, chaque semaine, a tous les ..., Partie 1 Affichage du livre entier - 1790 |
La Feuille villageoise: adressée, chaque semaine, a tous les ..., Partie 1 Affichage du livre entier - 1793 |
Expressions et termes fréquents
ames amis armée Armée du Centre Armée du Nord Armée du Rhin armes ASSEMBLÉE NATIONALE assemblées assignats autrichiens avoient avoit bataillons bientôt c'étoit camp camp de Maulde canon célibat cent Cercle Social citoyens civile connoître conspirateurs constitution convention nationale corps législatif courage curé déclaré décret départemens département DESENNE despotisme devoit district doit Dumouriez émigrés enfans enfin ennemis étoient étoit événemens falloit fanatisme femmes FEUILLE VILLAGEOISE foibles force française frères frontières garde nationale général gouvernement guerre habitans jour l'armée l'assemblée nationale l'empire l'ennemi l'Europe l'homme l'Imprimerie liberté libre lois Longwy Louis XVI Luckner magistrats ment mille hommes millions ministres municipalité n'avoit nation nobles nombre nouvelle paix pape par-tout paroît patrie patriotes peuple porter pouvoir premier prêtres princes Prusse Prussiens public publique qu'un raison régimens représentans révolution SECONDE ANNÉE sentimens sera seroient seront seul société soldats solemnellement sur-tout tion toyens troupes tyrans vœu voilà
Fréquemment cités
Page 495 - Les citoyens prêteront, dans les assemblées primaires, et les électeurs, dans les assemblées électorales, le serment de maintenir la liberté et l'égalité, ou de mourir en les défendant.
Page 317 - A quel point cet enthousiasme va-t-il monter, à l'instant où les forces ennemies réunies au dehors se concertent avec les intrigues intérieures pour porter les coups les plus funestes! La fermentation est extrême dans toutes les parties de l'empire; elle éclatera d'une manière terrible, à moins qu'une confiance raisonnée dans les intentions de votre majesté ne puisse enfin la calmer: mais cette confiance ne s'établira pas sur des protestations; elle ne saurait plus avoir pour base que...
Page 320 - Majesté, non-seulement comme citoyen soumis aux. lois , mais comme ministre , honoré de sa confiance , ou revêtu de fonctions qui la supposent : et je ne connais rien qui puisse m'empêcher de remplir un devoir dont j'ai la conscience. C'est dans le même esprit...
Page 315 - Constitution; elle a fait des mécontents et des rebelles: la majorité de la nation la veut maintenir; elle a juré de la défendre au prix de son sang, et elle a vu, avec joie, la guerre qui lui offrait un grand moyen de l'assurer. Cependant la minorité, soutenue par des espérances, a réuni tous ses efforts pour emporter l'avantage.
Page 318 - ... des crimes , toujours funeste à ceux qui l'ont provoquée. Le salut de l'État et le bonheur de Votre Majesté sont intimement liés ; aucune puissance n'est capable de les séparer...
Page 126 - ... peuples ? Si des violences , si des crimes ont accompagné quelques époques de la révolution française , c'était aux seuls dépositaires de la volonté nationale qu'appartenait le pouvoir de les punir , ou de les ensevelir dans l'oubli. Tout citoyen, tout magistrat, quel que soit son titre, ne doit demander justice qu'aux lois de son pays , ne peut l'attendre que d'elles. Les puissances étrangères, tant que leurs sujets n'ont pas souffert de ces...
Page 127 - ... public. Les citoyens de l'Alsace sont Français , et la nation ne peut, sans honte et sans injustice, souffrir qu'ils soient privés de la moindre partie des droits communs à tous ceux que ce nom doit également protéger. Dira-t-on qu'on peut , pour dédommager ces princes , leur abandonner une portion de territoire ? Non : une nation généreuse.
Page 319 - La conduite des prêtres en beaucoup d'endroits, les prétextes que fournissait le fanatisme aux mécontents, ont fait porter une loi sage contre les perturbateurs; que Votre Majesté lui donne sa sanction ; la tranquillité, publique la réclame, et le salut des prêtres la sollicite. Si cette loi n'est...
Page 123 - Forcée de consentir à la guerre par la plus impérieuse' nécessité, l'Assemblée nationale n'ignore pas qu'on l'accusera de l'avoir volontairement accélérée ou provoquée. » Elle sait que la marche insidieuse de la cour de Vienne n'a eu...
Page 318 - Il n'est plus temps de reculer, il n'ya même plus moyen de temporiser. La Révolution est faite dans les esprits : elle s'achèvera au prix du sang et sera cimentée par lui, si la sagesse ne prévient pas les malheurs qu'il est encore possible d'éviter.