Les Natchez: roman indien, Volume 2chez Henri Colburn, 1827 |
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... Artaguette alarmoit . L'opinion des chefs rassemblés autour de Chépar , étoit partagée : les uns vouloient continuer le combat au lever du jour ; les autres prétendoient que le châtiment infligé aux Sauvages étoit assez sévère : il s ...
... Artaguette alarmoit . L'opinion des chefs rassemblés autour de Chépar , étoit partagée : les uns vouloient continuer le combat au lever du jour ; les autres prétendoient que le châtiment infligé aux Sauvages étoit assez sévère : il s ...
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... homme pâle , la tête nue , portant un uniforme français ta- ché de sang ; c'étoit Artaguette . Il s'ap- puyoit sur le bras d'une négresse qui allai- toit un 1 * LES NATCHEZ . 3 les Indiens seroient disposés à un arrange- ...
... homme pâle , la tête nue , portant un uniforme français ta- ché de sang ; c'étoit Artaguette . Il s'ap- puyoit sur le bras d'une négresse qui allai- toit un 1 * LES NATCHEZ . 3 les Indiens seroient disposés à un arrange- ...
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... Artaguette parla de la sorte devant le conseil : 66 " Blessé vers la fin du combat , le brave grenadier Jacques me porta hors de la " mêlée . Jacques étoit blessé lui - même ; je " le forçai de se retirer : il obéit à mes or- " dres ...
... Artaguette parla de la sorte devant le conseil : 66 " Blessé vers la fin du combat , le brave grenadier Jacques me porta hors de la " mêlée . Jacques étoit blessé lui - même ; je " le forçai de se retirer : il obéit à mes or- " dres ...
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... Arta- guette , étoient encore plus éloquens que ses paroles : un murmure flatteur d'applaudisse- mens se répandit dans le conseil . Chépar vit un moyen de se tirer avec honneur du pas dangereux où il s'étoit engagé : il dé- clara 1 ...
... Arta- guette , étoient encore plus éloquens que ses paroles : un murmure flatteur d'applaudisse- mens se répandit dans le conseil . Chépar vit un moyen de se tirer avec honneur du pas dangereux où il s'étoit engagé : il dé- clara 1 ...
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... à René et à mon frère ! " Des soldats et de jeunes officiers du fort Rosalie accompagnoient le capitaine Arta- guette à la source même où reposoient les deux amis ; source dont les eaux avoient la vertu 68 LES NATCHEZ .
... à René et à mon frère ! " Des soldats et de jeunes officiers du fort Rosalie accompagnoient le capitaine Arta- guette à la source même où reposoient les deux amis ; source dont les eaux avoient la vertu 68 LES NATCHEZ .
Expressions et termes fréquents
Adario Adélaïde alloit âme Amélie amis amour Arta Artaguette Atala avoient bois bonheur bord bras bruit c'étoit cabane capitaine Chactas chef Chépar chose ciel cœur couche d'Adario d'Atala d'Ondouré désert Dieu disoit douleur enfant érable étoient étoit eût faisoit Fébriano femme fille fille du désert fils flammes fleuve foible forêts fort Rosalie frère d'Amélie frère de Céluta gamiz genoux gouverneur grotte guerrier blanc Harlay hommes hutte Illinois Indiens infortunés j'ai j'aurois j'avois j'étois jeune joie jour l'amitié l'homme l'Indienne larmes lèvres long-temps Lopez Louisiane magnolias main malheur Manitou mère de Jacques Meschacebé Mila milieu Miscou mort mourir n'avoit Natchez Nouvelle-Orléans nuit Ondouré Outou Outougamiz paroles passions patrie père pieds pirogue pleurs pouvoit prisonnier religion René avoit répondit Rosalie s'écria Sachem sais Sauvage sauvé secret sembloit sentiment seroit seul Simaghan sœur soleil solitaire solitude sort terre tête tombe tombeau venoit vieillard vierge voix voyoit yeux
Fréquemment cités
Page 241 - ... quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence: je descendais dans la vallée, je m'élevais sur la montagne, appelant de toute la force de mes désirs l'idéal objet d'une flamme future; je l'embrassais dans les vents; je croyais l'entendre dans les gémissements du fleuve; tout était ce fantôme imaginaire, et les astres dans les cieux, et le principe même de vie dans l'univers.
Page 368 - ... qui ont donné le plus de larmes à sa mémoire: tant on forme vite d'autres liaisons, tant on prend facilement d'autres habitudes, tant l'inconstance est naturelle à l'homme, tant notre vie est peu de chose, même dans le cœur de nos amis...
Page 236 - Traité partout d'esprit romanesque, honteux du rôle que je jouais, dégoûté de plus en plus des choses et des hommes, je pris le parti de me, retirer dans un faubourg pour y vivre totalement ignoré.
Page 244 - Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d'une autre vie! Ainsi disant, je marchais à grands pas, le visage enflammé, le vent sifflant dans ma chevelure, ne sentant ni pluie, ni frimas, enchanté, tourmenté et comme possédé par le démon de mon cœur.
Page 323 - Heureux ceux qui n'ont point vu la fumée des fêtes de l'étranger, et qui ne se sont assis qu'aux festins de leurs pères...
Page 243 - Homme, la saison de ta migration n'est pas encore venue; attends que le vent de la mort se lève, alors tu déploieras ton vol vers ces régions inconnues que ton cœur demande.
Page 243 - Le clocher solitaire s'élevant au loin dans la vallée a souvent attiré mes regards; souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus de ma tête.
Page 244 - La nuit, lorsque l'aquilon ébranlait ma chaumière, que les pluies tombaient en torrent sur mon toit, qu'à travers ma fenêtre je voyais la lune sillonner les nuages amoncelés, comme un pâle vaisseau qui laboure les vagues...
Page 300 - ... des forêts. Aucun bruit ne se faisait entendre, hors je ne sais quelle harmonie lointaine qui régnait dans la profondeur des bois : on eût dit que l'âme de la solitude soupirait dans toute l'étendue du désert.
Page 242 - L'automne me surprit au milieu de ces incertitudes : j'entrai avec ravissement dans les mois des tempêtes. Tantôt j'aurais voulu être un de ces guerriers errant au milieu des vents, des nuages et des fantômes...