Les Natchez: roman indien, Volume 2chez Henri Colburn, 1827 |
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... frère d'Amélie . Outougamiz auroit déjà volé vers René , s'il n'eût été occupé , par ordre des Sachems , à donner les fêtes de l'hospitalité aux guerriers des tribus alliées , qui s'étoient trouvés au combat . Outouga- miz disoit à sa sœur ...
... frère d'Amélie . Outougamiz auroit déjà volé vers René , s'il n'eût été occupé , par ordre des Sachems , à donner les fêtes de l'hospitalité aux guerriers des tribus alliées , qui s'étoient trouvés au combat . Outouga- miz disoit à sa sœur ...
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... sœur n'aperçurent point le frère d'Amélie . Céluta , défaillante , fut à peine soutenue dans les bras d'Outougamiz aussi consterné qu'elle . Mila se cacha , en disant : " Je " lui avois recommandé de ne pas mourir ! " Ondouré , qui ...
... sœur n'aperçurent point le frère d'Amélie . Céluta , défaillante , fut à peine soutenue dans les bras d'Outougamiz aussi consterné qu'elle . Mila se cacha , en disant : " Je " lui avois recommandé de ne pas mourir ! " Ondouré , qui ...
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... frère d'Amélie et du Soleil : les prisonniers étoient gardés jour et nuit , avec les précautions que le Démon de la cruauté inspire aux peuples de l'Amérique . Lorsque les Illinois découvrirent leur grand village , ils s'arrêtèrent pour ...
... frère d'Amélie et du Soleil : les prisonniers étoient gardés jour et nuit , avec les précautions que le Démon de la cruauté inspire aux peuples de l'Amérique . Lorsque les Illinois découvrirent leur grand village , ils s'arrêtèrent pour ...
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... frère d'Amélie , quelle destinée ! " Moi , je suis jeune ; je puis souffrir ; " mais vous ! " Le Soleil , répondit : " Pourquoi me plains- " tu ? je n'ai pas besoin de ta pitié . Songe ❝ à toi ; rappelle tes forces . L'épreuve du " feu ...
... frère d'Amélie , quelle destinée ! " Moi , je suis jeune ; je puis souffrir ; " mais vous ! " Le Soleil , répondit : " Pourquoi me plains- " tu ? je n'ai pas besoin de ta pitié . Songe ❝ à toi ; rappelle tes forces . L'épreuve du " feu ...
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... frère d'Amélie , dépouillé par les sacrificateurs , est attaché au pilier du sa- crifice . Au moment où le flambeau abaissoit sa chevelure de feu pour la répandre sur les écorces , des tourbillons de fumée s'élèvent des cabanes voisines ...
... frère d'Amélie , dépouillé par les sacrificateurs , est attaché au pilier du sa- crifice . Au moment où le flambeau abaissoit sa chevelure de feu pour la répandre sur les écorces , des tourbillons de fumée s'élèvent des cabanes voisines ...
Expressions et termes fréquents
Adario Adélaïde alloit âme Amélie amis amour Arta Artaguette Atala avoient bois bonheur bord bras bruit c'étoit cabane capitaine Chactas chef Chépar chose ciel cœur couche d'Adario d'Atala d'Ondouré désert Dieu disoit douleur enfant érable étoient étoit eût faisoit Fébriano femme fille fille du désert fils flammes fleuve foible forêts fort Rosalie frère d'Amélie frère de Céluta gamiz genoux gouverneur grotte guerrier blanc Harlay hommes hutte Illinois Indiens infortunés j'ai j'aurois j'avois j'étois jeune joie jour l'amitié l'homme l'Indienne larmes lèvres long-temps Lopez Louisiane magnolias main malheur Manitou mère de Jacques Meschacebé Mila milieu Miscou mort mourir n'avoit Natchez Nouvelle-Orléans nuit Ondouré Outou Outougamiz paroles passions patrie père pieds pirogue pleurs pouvoit prisonnier religion René avoit répondit Rosalie s'écria Sachem sais Sauvage sauvé secret sembloit sentiment seroit seul Simaghan sœur soleil solitaire solitude sort terre tête tombe tombeau venoit vieillard vierge voix voyoit yeux
Fréquemment cités
Page 241 - ... quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence: je descendais dans la vallée, je m'élevais sur la montagne, appelant de toute la force de mes désirs l'idéal objet d'une flamme future; je l'embrassais dans les vents; je croyais l'entendre dans les gémissements du fleuve; tout était ce fantôme imaginaire, et les astres dans les cieux, et le principe même de vie dans l'univers.
Page 368 - ... qui ont donné le plus de larmes à sa mémoire: tant on forme vite d'autres liaisons, tant on prend facilement d'autres habitudes, tant l'inconstance est naturelle à l'homme, tant notre vie est peu de chose, même dans le cœur de nos amis...
Page 236 - Traité partout d'esprit romanesque, honteux du rôle que je jouais, dégoûté de plus en plus des choses et des hommes, je pris le parti de me, retirer dans un faubourg pour y vivre totalement ignoré.
Page 244 - Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d'une autre vie! Ainsi disant, je marchais à grands pas, le visage enflammé, le vent sifflant dans ma chevelure, ne sentant ni pluie, ni frimas, enchanté, tourmenté et comme possédé par le démon de mon cœur.
Page 323 - Heureux ceux qui n'ont point vu la fumée des fêtes de l'étranger, et qui ne se sont assis qu'aux festins de leurs pères...
Page 243 - Homme, la saison de ta migration n'est pas encore venue; attends que le vent de la mort se lève, alors tu déploieras ton vol vers ces régions inconnues que ton cœur demande.
Page 243 - Le clocher solitaire s'élevant au loin dans la vallée a souvent attiré mes regards; souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus de ma tête.
Page 244 - La nuit, lorsque l'aquilon ébranlait ma chaumière, que les pluies tombaient en torrent sur mon toit, qu'à travers ma fenêtre je voyais la lune sillonner les nuages amoncelés, comme un pâle vaisseau qui laboure les vagues...
Page 300 - ... des forêts. Aucun bruit ne se faisait entendre, hors je ne sais quelle harmonie lointaine qui régnait dans la profondeur des bois : on eût dit que l'âme de la solitude soupirait dans toute l'étendue du désert.
Page 242 - L'automne me surprit au milieu de ces incertitudes : j'entrai avec ravissement dans les mois des tempêtes. Tantôt j'aurais voulu être un de ces guerriers errant au milieu des vents, des nuages et des fantômes...