Les Natchez: roman indien, Volume 2chez Henri Colburn, 1827 |
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Page 50
... son sein . " Crois - tu , lui dit - il , 66 qu'il ne me soit pas doux de mourir avec " toi ? Mais pourquoi descendrois - tu au " tombeau ? Tu es vigoureux et habile ; " tu te peux frayer un chemin à travers les 50 NATCHEZ . LES.
... son sein . " Crois - tu , lui dit - il , 66 qu'il ne me soit pas doux de mourir avec " toi ? Mais pourquoi descendrois - tu au " tombeau ? Tu es vigoureux et habile ; " tu te peux frayer un chemin à travers les 50 NATCHEZ . LES.
Page 59
... tombeau . Comme des laboureurs , après une longue journée de sueurs et de travaux , ramènent leurs bœufs fatigués à leur chaumière ; ils croient déjà découvrir leur toit rustique ; ils se voient déjà entourés de leurs épouses et de ...
... tombeau . Comme des laboureurs , après une longue journée de sueurs et de travaux , ramènent leurs bœufs fatigués à leur chaumière ; ils croient déjà découvrir leur toit rustique ; ils se voient déjà entourés de leurs épouses et de ...
Page 129
... tombeau nous ouvre 66 une vue immense . Dans ce cerveau qui " contenoit autrefois un monde intellectuel , " habite un monde qui a aussi son mouve- " ment et son intelligence ; ces fourmis pé- " riront à leur tour : que renaîtra - t - il ...
... tombeau nous ouvre 66 une vue immense . Dans ce cerveau qui " contenoit autrefois un monde intellectuel , " habite un monde qui a aussi son mouve- " ment et son intelligence ; ces fourmis pé- " riront à leur tour : que renaîtra - t - il ...
Page 143
... os roulans , répétant à chaque pas ces mots : " Etes - vous là ? " Ses accens s'é- vanouissent dans le silence de la mort . L'Indienne se sent prête à défaillir ; elle promène ses regards dans les ombres de ce tombeau ; LES 143 NATCHEZ .
... os roulans , répétant à chaque pas ces mots : " Etes - vous là ? " Ses accens s'é- vanouissent dans le silence de la mort . L'Indienne se sent prête à défaillir ; elle promène ses regards dans les ombres de ce tombeau ; LES 143 NATCHEZ .
Page 144
... tombeau ; nul être vivant n'y respire . Céluta sort épouvantée : elle gravit la rive escarpée , jette les yeux sur le fleuve et sur les campagnes à peine visibles à la lueur des étoiles ; elle appelle René et Outougamiz , se tait ...
... tombeau ; nul être vivant n'y respire . Céluta sort épouvantée : elle gravit la rive escarpée , jette les yeux sur le fleuve et sur les campagnes à peine visibles à la lueur des étoiles ; elle appelle René et Outougamiz , se tait ...
Expressions et termes fréquents
Adario Adélaïde alloit âme Amélie amis amour Arta Artaguette Atala avoient bois bonheur bord bras bruit c'étoit cabane capitaine Chactas chef Chépar chose ciel cœur couche d'Adario d'Atala d'Ondouré désert Dieu disoit douleur enfant érable étoient étoit eût faisoit Fébriano femme fille fille du désert fils flammes fleuve foible forêts fort Rosalie frère d'Amélie frère de Céluta gamiz genoux gouverneur grotte guerrier blanc Harlay hommes hutte Illinois Indiens infortunés j'ai j'aurois j'avois j'étois jeune joie jour l'amitié l'homme l'Indienne larmes lèvres long-temps Lopez Louisiane magnolias main malheur Manitou mère de Jacques Meschacebé Mila milieu Miscou mort mourir n'avoit Natchez Nouvelle-Orléans nuit Ondouré Outou Outougamiz paroles passions patrie père pieds pirogue pleurs pouvoit prisonnier religion René avoit répondit Rosalie s'écria Sachem sais Sauvage sauvé secret sembloit sentiment seroit seul Simaghan sœur soleil solitaire solitude sort terre tête tombe tombeau venoit vieillard vierge voix voyoit yeux
Fréquemment cités
Page 241 - ... quelque chose pour remplir l'abîme de mon existence: je descendais dans la vallée, je m'élevais sur la montagne, appelant de toute la force de mes désirs l'idéal objet d'une flamme future; je l'embrassais dans les vents; je croyais l'entendre dans les gémissements du fleuve; tout était ce fantôme imaginaire, et les astres dans les cieux, et le principe même de vie dans l'univers.
Page 368 - ... qui ont donné le plus de larmes à sa mémoire: tant on forme vite d'autres liaisons, tant on prend facilement d'autres habitudes, tant l'inconstance est naturelle à l'homme, tant notre vie est peu de chose, même dans le cœur de nos amis...
Page 236 - Traité partout d'esprit romanesque, honteux du rôle que je jouais, dégoûté de plus en plus des choses et des hommes, je pris le parti de me, retirer dans un faubourg pour y vivre totalement ignoré.
Page 244 - Levez-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d'une autre vie! Ainsi disant, je marchais à grands pas, le visage enflammé, le vent sifflant dans ma chevelure, ne sentant ni pluie, ni frimas, enchanté, tourmenté et comme possédé par le démon de mon cœur.
Page 323 - Heureux ceux qui n'ont point vu la fumée des fêtes de l'étranger, et qui ne se sont assis qu'aux festins de leurs pères...
Page 243 - Homme, la saison de ta migration n'est pas encore venue; attends que le vent de la mort se lève, alors tu déploieras ton vol vers ces régions inconnues que ton cœur demande.
Page 243 - Le clocher solitaire s'élevant au loin dans la vallée a souvent attiré mes regards; souvent j'ai suivi des yeux les oiseaux de passage qui volaient au-dessus de ma tête.
Page 244 - La nuit, lorsque l'aquilon ébranlait ma chaumière, que les pluies tombaient en torrent sur mon toit, qu'à travers ma fenêtre je voyais la lune sillonner les nuages amoncelés, comme un pâle vaisseau qui laboure les vagues...
Page 300 - ... des forêts. Aucun bruit ne se faisait entendre, hors je ne sais quelle harmonie lointaine qui régnait dans la profondeur des bois : on eût dit que l'âme de la solitude soupirait dans toute l'étendue du désert.
Page 242 - L'automne me surprit au milieu de ces incertitudes : j'entrai avec ravissement dans les mois des tempêtes. Tantôt j'aurais voulu être un de ces guerriers errant au milieu des vents, des nuages et des fantômes...