Collection des mémoires relatifs à la Révolution française, Volume 22Baudouin frères, 1825 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 21
Page 7
... Pétion , Brissot , les Girondins . Ceux - ci avaient certaine- ment la raison pour eux , mais ils n'avaient pas la force , et en révolution le plus fort est le plus sage . Tous les amis de l'ordre étaient aussi pour les Girondins , si l ...
... Pétion , Brissot , les Girondins . Ceux - ci avaient certaine- ment la raison pour eux , mais ils n'avaient pas la force , et en révolution le plus fort est le plus sage . Tous les amis de l'ordre étaient aussi pour les Girondins , si l ...
Page 29
... Pétion et le parti Robespierre . Griefs et combats des deux partis . L'ASSEMBLÉE CONSTITUANTE , après avoir établi les droits de l'homme en société , en réalisa l'exercice par le vote de chaque citoyen dans les assemblées pri- maires ...
... Pétion et le parti Robespierre . Griefs et combats des deux partis . L'ASSEMBLÉE CONSTITUANTE , après avoir établi les droits de l'homme en société , en réalisa l'exercice par le vote de chaque citoyen dans les assemblées pri- maires ...
Page 31
... Pétion et Fauchet lui avaient recommandé ma députation . Le journal de la Sentinelle m'avait aussi désigné comme un des constituans qui méritaient une place dans la nouvelle Convention . Je me prêtai au choix qu'on fit de moi , et d ...
... Pétion et Fauchet lui avaient recommandé ma députation . Le journal de la Sentinelle m'avait aussi désigné comme un des constituans qui méritaient une place dans la nouvelle Convention . Je me prêtai au choix qu'on fit de moi , et d ...
Page 34
... Pétion ou de la gloire qui l'environnait dans sa mairie , dont l'exercice ferme et désintéressé lui avait fait donner le surnom de Vertueux . Robes- pierre , avide de l'encens populaire , se croyait seul digne des éloges que méritait ...
... Pétion ou de la gloire qui l'environnait dans sa mairie , dont l'exercice ferme et désintéressé lui avait fait donner le surnom de Vertueux . Robes- pierre , avide de l'encens populaire , se croyait seul digne des éloges que méritait ...
Page 35
... Pétion et Robespierre avaient été l'un et l'autre membres de l'Assemblée cons- tituante où ils avaient assez marché d'accord . Le premier avait pour lui la sagesse et les lumiè- res ; il allait au but par des voies sages et solides ...
... Pétion et Robespierre avaient été l'un et l'autre membres de l'Assemblée cons- tituante où ils avaient assez marché d'accord . Le premier avait pour lui la sagesse et les lumiè- res ; il allait au but par des voies sages et solides ...
Autres éditions - Tout afficher
Collection des mémoires relatifs à la Révolution française, Volume 22 Saint-Albin Berville Affichage du livre entier - 1824 |
Collection des mémoires rélatifs à la Révolution Française ..., Volume 22 Saint-Albin BERVILLE (and BARRIÈRE (Jean François)) Affichage du livre entier - 1824 |
Expressions et termes fréquents
10 août accusés agens applaudissemens arrestation autorités avaient avez Barbaroux barre Barrère bespierre blique citoyens clubs collègues comité de législation comité de salut comité de sûreté commissaires commission des douze commune complices conjurés conspirateurs constitution de 1791 Convention nationale corps législatif Couthon crime Danton déclaration décret d'arrestation défense délibérations demande dénoncés départemens députés détenus devait discours Dumouriez Durand de Maillane émigrés ennemis envoyés événemens force armée force-armée girondins gouvernement Henriot j'ai jacobins jour jugement juin justice l'Assemblée constituante Lanjuinais liberté lois long-temps Louis XVI Marat membres ment mesures ministre montagnards montagne mort municipalité n'avait n'était naires nation ôtages patrie patriotes Pétion poste prairial présente président projet proposition publique Qu'avez-vous à répondre représentans du peuple représentation nationale répu républicains république révolution Robespierre Saint-Just salle salut public sauver séance sections Septeuil sera seul sur-le-champ sûreté générale thermidor tion toyens traîtres tribunal révolutionnaire tribune troupes tyran vention nationale voté
Fréquemment cités
Page 341 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 339 - Le peuple français, convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens, pouvant comparer sans cesse les actes du Gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer...
Page 182 - Descends, ô liberté, fille de la nature : Le peuple a reconquis son pouvoir immortel ; Sur les pompeux débris de l'antique imposture Ses mains relèvent ton autel.
Page 340 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites.
Page 241 - La Convention nationale, après avoir entendu le rapport de ses comités de Salut public et de Sûreté générale, décrète...
Page 341 - L'instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique, et mettre l'instruction à la portée de tous les citoyens.
Page 163 - Le bataillon qui sera organisé dans chaque district sera réuni sous une bannière portant cette inscription Le peuple français debout contre les tyrarts.
Page 316 - ... vous avez essayé de corrompre l'esprit public , à l'aide de Talon , qui agissait dans Paris , et de Mirabeau , qui devait imprimer un mouvement contre-révolutionnaire aux provinces. Vous avez répandu des millions pour effectuer cette corruption, et vous avez voulu faire de la popularité même, un moyen d'asservir le peuple. Ces faits résultent d'un mémoire de Talon , que vous avez apostillé de...
Page 341 - Nul ne peut être privé de la moindre portion de sa propriété sans son consentement, si ce n'est lorsque la nécessité publique légalement constatée l'exige, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 342 - Il ya oppression contre le corps social lorsqu'un seul de ses membres est opprimé. Il ya oppression contre chaque membre lorsque le corps social est opprimé.