Collection des mémoires relatifs à la Révolution française, Volume 22Baudouin frères, 1825 |
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... juin 1793 , comme criminels de lèse - nation , avaient bien mé- rité de la patrie . C'était pourtant à ce titre de fédéraliste que Robespierre avait terrassé ses adversaires , Pétion , Brissot , les Girondins . Ceux - ci avaient ...
... juin 1793 , comme criminels de lèse - nation , avaient bien mé- rité de la patrie . C'était pourtant à ce titre de fédéraliste que Robespierre avait terrassé ses adversaires , Pétion , Brissot , les Girondins . Ceux - ci avaient ...
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... juin 1792 , jusque dans les appartemens du château des Tuileries ; mit le bonnet rouge sur la tête de Louis XVI , et lui demanda la sanction qu'il avait refusée aux décrets du corps législatif , concernant les prêtres et les émigrés . D ...
... juin 1792 , jusque dans les appartemens du château des Tuileries ; mit le bonnet rouge sur la tête de Louis XVI , et lui demanda la sanction qu'il avait refusée aux décrets du corps législatif , concernant les prêtres et les émigrés . D ...
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... - mes de la loi du 14 août 1792 que la Conven- tion nationale a ensuite expliquée et étendue en faveur des communes , par sa loi du 10 juin 1793 . D'après ces deux lois , les biens communaux , au 26 HISTOIRE DE LA CONVENTION NATIONALE .
... - mes de la loi du 14 août 1792 que la Conven- tion nationale a ensuite expliquée et étendue en faveur des communes , par sa loi du 10 juin 1793 . D'après ces deux lois , les biens communaux , au 26 HISTOIRE DE LA CONVENTION NATIONALE .
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... juin , j'éprou- vai certaines saillies très - importunes et même dan- gereuses pour mon attachement à la constitution de 1791. Je ne pouvais prévoir qu'on fût par- tout moins en sûreté que dans le sein même de la Convention nationale ...
... juin , j'éprou- vai certaines saillies très - importunes et même dan- gereuses pour mon attachement à la constitution de 1791. Je ne pouvais prévoir qu'on fût par- tout moins en sûreté que dans le sein même de la Convention nationale ...
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... juin les poursuites de la cour et du département ne lais- saient plus de sûreté au maire de Paris , ni aux patriotes en général . On l'éprouvait à cette époque dans les départemens où je me trouvais ; il n'y avait pas seulement à ...
... juin les poursuites de la cour et du département ne lais- saient plus de sûreté au maire de Paris , ni aux patriotes en général . On l'éprouvait à cette époque dans les départemens où je me trouvais ; il n'y avait pas seulement à ...
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Collection des mémoires rélatifs à la Révolution Française ..., Volume 22 Saint-Albin BERVILLE (and BARRIÈRE (Jean François)) Affichage du livre entier - 1824 |
Expressions et termes fréquents
10 août accusés agens applaudissemens arrestation autorités avaient avez Barbaroux barre Barrère bespierre blique citoyens clubs collègues comité de législation comité de salut comité de sûreté commissaires commission des douze commune complices conjurés conspirateurs constitution de 1791 Convention nationale corps législatif Couthon crime Danton déclaration décret d'arrestation défense délibérations demande dénoncés départemens députés détenus devait discours Dumouriez Durand de Maillane émigrés ennemis envoyés événemens force armée force-armée girondins gouvernement Henriot j'ai jacobins jour jugement juin justice l'Assemblée constituante Lanjuinais liberté lois long-temps Louis XVI Marat membres ment mesures ministre montagnards montagne mort municipalité n'avait n'était naires nation ôtages patrie patriotes Pétion poste prairial présente président projet proposition publique Qu'avez-vous à répondre représentans du peuple représentation nationale répu républicains république révolution Robespierre Saint-Just salle salut public sauver séance sections Septeuil sera seul sur-le-champ sûreté générale thermidor tion toyens traîtres tribunal révolutionnaire tribune troupes tyran vention nationale voté
Fréquemment cités
Page 341 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 339 - Le peuple français, convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens, pouvant comparer sans cesse les actes du Gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer...
Page 182 - Descends, ô liberté, fille de la nature : Le peuple a reconquis son pouvoir immortel ; Sur les pompeux débris de l'antique imposture Ses mains relèvent ton autel.
Page 340 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites.
Page 241 - La Convention nationale, après avoir entendu le rapport de ses comités de Salut public et de Sûreté générale, décrète...
Page 341 - L'instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique, et mettre l'instruction à la portée de tous les citoyens.
Page 163 - Le bataillon qui sera organisé dans chaque district sera réuni sous une bannière portant cette inscription Le peuple français debout contre les tyrarts.
Page 316 - ... vous avez essayé de corrompre l'esprit public , à l'aide de Talon , qui agissait dans Paris , et de Mirabeau , qui devait imprimer un mouvement contre-révolutionnaire aux provinces. Vous avez répandu des millions pour effectuer cette corruption, et vous avez voulu faire de la popularité même, un moyen d'asservir le peuple. Ces faits résultent d'un mémoire de Talon , que vous avez apostillé de...
Page 341 - Nul ne peut être privé de la moindre portion de sa propriété sans son consentement, si ce n'est lorsque la nécessité publique légalement constatée l'exige, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 342 - Il ya oppression contre le corps social lorsqu'un seul de ses membres est opprimé. Il ya oppression contre chaque membre lorsque le corps social est opprimé.