Lycée: ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 6P. Pourrat frères, 1839 |
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Lycée, ou: Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 6 Jean-François de la Harpe Affichage du livre entier - 1815 |
Lycée: ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 6 Jean-François “de” La Harpe Affichage du livre entier - 1799 |
Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 6 Jean-François de La Harpe Affichage du livre entier - 1816 |
Expressions et termes fréquents
Abner ABSALON Achille Acomat Agamemnon aime amour Andromaque Aricie assez Assuérus Atalide Athalie Bajazet beautés Bérénice Britannicus Calchas caractère chose ciel Cinna cinquième acte Clytemnestre cœur comte d'Essex Corneille crime d'Acomat d'Athalie d'Ériphile d'Esther d'Hippolyte d'Iphigénie David dessein Dieu dieux dire doit dramatique ennemis Esther Euripide eût femme fille fils fureur genre gloire grand-prêtre Grecs Hippolyte homme Iphigénie j'ai jamais Joad Joas Josabeth Juifs l'amour l'auteur Ladislas laisse larmes long-temps madame main malheur Manlius Mardochée Mathan Ménélas ment mérite Mithridate mœurs Molière Monime mort Osmin ouvrage paraît parler passion père péril personnages peuple Pharnace Phèdre pièce pleurs poëte prince princesse qu'un Racine raison reine reproche rien rivale rois rois de Juda rôle Romains Roxane sais sait sang scène secret seigneur Sénèque sentimens sentiment serait Servilius seul situation sort spectateur style sujet sultane Sychée talent temple théâtral théâtre Thésée Thomas Corneille tion tragédie trône vengeance veut Viriate Voltaire Xipharès yeux
Fréquemment cités
Page 247 - Entre le pauvre et vous vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauvre, et comme eux orphelin.
Page 157 - Hippolyte aime, et je n'en puis douter. Ce farouche Ennemi qu'on ne pouvait dompter, Qu'offensait le respect, qu'importunait la plainte, Ce Tigre, que jamais je n'abordai sans crainte, Soumis, apprivoisé, reconnaît un Vainqueur. Aricie a trouvé le chemin de son cœur.
Page 143 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale. Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains. Minos juge aux enfers tous les pâles humains. Ah ! combien frémira son ombre épouvantée , Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée , Contrainte d'avouer tant de forfaits divers , Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible?
Page 191 - II fut des Juifs, il fut une insolente race; « Répandus sur la terre, ils en couvraient la face ; « Un seul osa d'Aman attirer le courroux, « Aussitôt de la terre ils disparurent tous...
Page 139 - C'est moi, Prince, c'est moi, dont l'utile secours Vous eût du Labyrinthe enseigné les détours. Que de soins m'eût coûtés cette tête charmante ! Un fil n'eût point assez rassuré votre amante. Compagne du péril qu'il vous fallait chercher, Moi-même devant vous j'aurais voulu marcher; Et Phèdre au Labyrinthe avec vous descendue Se serait avec vous retrouvée, ou perdue.
Page 217 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Page 142 - Misérable! et je vis! et je soutiens la vue De ce sacré Soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel , tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher?
Page 141 - Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler, Je sentis tout mon corps et transir, et brûler.
Page 196 - Je ne trouve qu'en vous je ne sais quelle grâce Qui me charme toujours et jamais ne me lasse. De l'aimable vertu doux et puissants attraits ! Tout respire en Esther l'innocence et la paix. Du chagrin le plus noir elle écarte les ombres, Et fait des jours sereins de mes jours les plus sombres ; Que dis-je?
Page 63 - Non, princes, ce n'est point au bout de l'univers Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers ; Et, de près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis , Rome , sont à tes portes. Ah! s'ils ont pu choisir pour leur libérateur Spartacus , un esclave , un vil gladiateur : S'ils suivent au combat des brigands qui les vengent , De quelle noble ardeur pensez-vous qu'ils se rangent Sous les drapeaux d'un roi longtemps victorieux, Qui voit jusqu'à Cyrus remonter ses aïeux? Que...