n'y En eût chez oul ntre Mme ald. côt spa t de uoi une aim Lo me le, f enc t. tal a-d hen e1 ée 'in Les ne CC si ép bus Fro ere Je eu d ae, Ten nc Pl al bel H sit ra il ell : de l'objet de son culte. Sur ce point, il ne se est bien près de traiter d'insolent quiconque dissentiment, si léger qu'il fût. 3 Il est surtout une question que M. Cousin sa verve; cette question, une des plus haute aient pu émouvoir une intelligence de phir ci: Restera-t-il un seul grain de petite vérol Mme de Longueville? M. Cousin dit: non, har le toutes ses preuves. Il faut être bien témérf l'avis opposé; mais la question est assez gra térêts de haute morale en dépendent pour C'est quelque chose comme l'être ou n'être po touche peut-être même plus profondément a l'ame humaine. Entrons donc sans retard da redoutable problème. Mademoiselle, celle-là même qui se vant noires, parce que c'était une preuve de des dans ses mémoires que Mme de Longueville: la petite vérole. « C'est un propos de femme Cousin, et je récuse le témoin pour cause de me. D'ailleurs au méchant propos de Mademe cardinal de Retz qui dit tout le contraire.» bien, et si le cardinal de Retz est aussi exp tend M. Cousin, le doute au moins sera pern la phrase sacramentelle du coadjuteur : dit-il, lui avait ôté la première fleur de la lui en avait laissé tout l'éclat. >>> « β Ne faut-il pas être singulièrement prévenu bandeau sur les yeux, pour trouver dans petite vérole lui avait ôté la première fleur ? preuve que la vilaine maladie n'avait laissé as M. Cousin a unargument encore plus victoriel ou trois lignes d'une lettre de Godeau, év « pour votre visage, dit monseigneur, un aus vec plus de bienséance de ce qu'il ne serapoird tet me le mande. » Qu'est-ce que cela signi Votre visage ne sera pas gâté. Est-ce que cel le fut point ? Cela prouve tout au plus qu'on qu'il ne le serait pas; et même cela ne prouve ple politesse exigeait que monseigneur Goda la belle malade, n'eût-elle pas été princessc et monseigneur n'eût-il pas été un courtisan.u Que conclure des pièces de ce grand procès que la petite vérole altéra légèrement le teint gueville, et lui ôta, pour parler comme le ca mière fleur de beauté. Je sais, en soutenant co lante, à quoi je m'expose; mais l'amour de la a sur le sentiment du péril. J'ai dit, et maintent je suis à votre disposition; voici ma carte. Tâchons d'être plus sérieux, et ne laissons vu a timme egalement, aujourd'hui, deux guérites en ques de Mme de Longueville ne sont que du dévoûment chevaleresque; et c'est ce froid, égoïste et ambitieux La Rochefoucauld qui est le seul coupable. A la rigueur, il peut y avoir du vrai dans cette explication; et, dans tous les cas, je n'essaierai pas de ramener M. Cousin à des sentimens plus équitables envers l'auteur des Maximes. On est l'amoureux capable d'impartialité envers son rival? Le livre de M. Cousin finit avec la première Fronde, avec cette tragi-comédie où un prince dn sing écrivait des lettres avec cette adresse: « A mesdames les comtesses maréchalesde-camp dans l'armée de ma fille contre le Mazarin. » Les barricades de la Fronde sont de 1648, année de la paix de Munster, année de ce mémorable traité de Westphalie qui valut de si énormes avantages à la France. C'est que les gouvernemens, en France, ne se sauvent pas par les succès à l'extérieur s'ils commettent des fautes au dedans. Mazarin est chassé après le traité de Westphalie; la Restauration tombe après la prise d'Alger, et la monarchie de 1830 après les mariages espagnols. Grandes leçons! Nous attendons M. Cousin à son second volume. PAULIN LIMAYRAC. P. S. Dans mon dernier article, une faute typographique a été commise au nom de M. Brizeux. Légers zéphirs, messagers des poètes, et vous surtout, diligente administration des postes, portez ma rectification au charmant et profond trouvère, au milieu de ses genêts, au bord de son doux Letha. AVANT-PROPOS. I Je publie de nouveau, sans y rien changer, le 3 Rapport que j'ai lu cette année à l'Académie française, et qui a paru successivement dans le Journal des Savants (avril-novembre 1842), sur la nécessité d'une nouvelle édition des Pensées de Pascal. + Mar + Bossut, dans l'édition de 1779, avertit bien que le chapitre sur Montaigne et Epictèle et celui sur la condition des grands sont tirés, l'un d'un entretien entre Pascal et Sacy, rapporté par Fontaine dans ses mémoires, l'autre de discours adressés par Pascal au jeune duc de Roannez, et publiés assez tard par Nicole. Mais, ces deux morceaux exceptés, a |