bd. Vom siebzehnten jahrhundert bis auf die neueste zeit, bearb. von Joseph SarrazinF. Nicolai, 1889 |
Expressions et termes fréquents
18e siècle Abbé Akademie Amsterdam Auflage Balzac Bände bien Boileau Bossuet Buch Bühne c'est Corneille Descartes deſſen deux Mondes Dichter Dichtungen Diderot dieſe Discours Dramatiker Dramen Einfluß erschien ersten Erzählungen Études Euvres complètes femme Fénelon Fontaine française France Frankreich französischen Frau Gedichte Geist George Sand Geschichte Gesellschaft giebt grand großen Harpe heraus herausgegeben Histoire hommes iſt J. J. Rousseau Jahre Jean Jesuiten jour König Kreyßig l'histoire läßt Leben Leidenschaft Leipzig Lettres lichen ließ littéraire litterarischen Litteratur Louis Ludwigs XIV Lustspiel macht Madame mais Malherbe Marquis Mémoires Molière Montesquieu muß n'est Natur Ninon de Lenclos Nouvelles œuvres Oppeln Paris Pensées Philosophen poétique politischen Programm qu'il Racine Rambouillet Revue des deux Roman Rousseau Satire schließlich schrieb Schriften Schriftsteller ſein ſeine Seite ſich ſie siebzehnten Jahrhunderts Sohn sous Sprache Stück Thätigkeit Théâtre tout Tragödie unserer Vater Verfaſſer Vergl Victor Cousin Victor Hugo Voltaire Werke wieder Zeitgenossen
Fréquemment cités
Page 15 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 13 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la Muse aux règles du devoir.
Page 229 - Amour sacré de la patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté ! Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, etc.
Page 76 - Aimez donc la raison : que toujours vos écrits Empruntent d'elle seule et leur lustre et leur prix.
Page 159 - Que la trompette du jugement dernier sonne quand elle voudra, je viendrai, ce livre à la main, me présenter devant le souverain juge. Je dirai hautement : Voilà ce que j'ai fait, ce que j'ai pensé, ce que je fus.
Page 159 - Je me suis montré tel que je fus; méprisable et vil quand je l'ai été, bon, généreux, sublime quand je l'ai été : j'ai dévoilé mon intérieur tel que tu l'as vu toi-même, Etre éternel.
Page 192 - C'est ma seule prison qui t'a ravi ta foi. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines...
Page 14 - L'augmenteront toujours? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale, où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appas son enfance était pleine, Et n'ai pas entrepris : Injurieux ami, de soulager ta peine Avecque son mépris.
Page 67 - Monsieur, d'une alarme si chaude. Nous vivons sous un prince ennemi de la fraude, Un prince dont les yeux se font jour dans les cœurs, Et que ne peut tromper tout l'art des imposteurs.
Page 93 - La curiosité n'est pas un goût pour ce qui est bon ou ce qui est beau , mais pour ce qui est rare , unique , pour ce qu'on a , et ce que les autres n'ont point.