Dictionnaire Des Sciences Philosophiques, Volume 4L. Hachette, 1849 |
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Expressions et termes fréquents
absolue abstraite âme Aristote attributs c'est-à-dire caractère cause choses connaissance conscience conséquent considère corps d'Aristote Descartes déterminée développement Dieu Diogène Laërce disciple distinction divine doctrine écoles écrits éléments esprit éternelle existence facultés fond force forme général géométrie hommes humaine idées infinie intelligence Kant l'âme l'amour l'auteur l'autre l'école l'esprit l'Esprit des lois l'étendue l'être l'existence l'expérience l'histoire l'homme l'idée l'infini l'unité l'univers Leibnitz liberté livre logique lois losophie lui-même Maimonide Maine de Biran Malebranche manichéisme Marc-Aurèle Marcion mathématiques matière Mégare ment Mérian métaphysique méthode monde Montesquieu morale mouvement mysticisme mythes nature naturelle nécessaire Newton non-seulement notion Numénius objets Origène ouvrages panthéisme Paracelse Parménide Pascal passions pensée perception perfection phénomènes philosophie physique Platon Plotin premier principe propre psychologie puissance pure qu'une question raison rapport réel religion rien saint science sens sensation sensible sentiment seul siècle société sorte Spinoza stoïciens substance système théisme théologie théorie tion universelle vérité volonté vrai
Fréquemment cités
Page 295 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses; et dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à 1' homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 555 - Feu. Dieu d'Abraham, Dieu d'Isaac, Dieu de Jacob. non des philosophes et des savants.
Page 295 - Montesquieu ne sépare pas l'un de l'autre , et enfin pour régler le droit des gens; car « la loi , en général, est la raison humaine, en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre -, et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique celte raison humaine.
Page 296 - Je suppose trois définitions, ou plutôt trois faits : l'un que « le gouvernement républicain est celui où le peuple en corps, ou seulement une partie du peuple a la souveraine puissance ; le monarchique, celui où un seul gouverne, mais par des lois fixes et établies ; au lieu que, dans le despotique, un seul, sans loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et par ses caprices».
Page 300 - Chose admirable ! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie, fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Page 567 - Vous voulez aller à la foi, et vous n'en savez pas le chemin; vous voulez vous guérir de l'infidélité, et vous en demandez les remèdes : apprenez de ceux qui ont été liés comme vous, et qui parient maintenant tout leur bien; ce sont gens qui savent ce chemin que vous voudriez suivre, et guéris d'un mal dont vous voulez guérir.
Page 567 - S'il ne fallait rien faire que pour le certain, on ne devrait rien faire pour la religion ; car elle n'est pas certaine. Mais combien de choses fait-on pour l'incertain, les voyages sur mer, les batailles ! Je dis donc qu'il ne faudrait rien faire du tout, car rien n'est certain...
Page 561 - Car, enfin, qu'est-ce que l'homme dans la nature? un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant : un milieu entre rien et tout.
Page 481 - ... pour être mangés , nous mangeons du porc toute l'année : par conséquent, ceux qui ont avancé que tout est bien ont dit une sottise; il fallait dire que tout est au mieux.
Page 289 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.