Revue du Lyonnais, Volume 8L. Boitel., 1838 |
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... choses . Si long - temps que l'on s'agite sur cette terre pour s'y asseoir et s'y dresser une tente , si grand et si puissant que l'on soit par la parole , par les armes , par les richesses , toujours est - il qu'un jour doit venir où ...
... choses . Si long - temps que l'on s'agite sur cette terre pour s'y asseoir et s'y dresser une tente , si grand et si puissant que l'on soit par la parole , par les armes , par les richesses , toujours est - il qu'un jour doit venir où ...
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... choses contraires sont venues se croiser dans cette existence tumultueuse et empor- tée par chaque orage du jour ! En quel lieu J.-J. Rousseau n'a - t - il pas laissé quelques débris de son ame brûlante et passionnée , quelques traces ...
... choses contraires sont venues se croiser dans cette existence tumultueuse et empor- tée par chaque orage du jour ! En quel lieu J.-J. Rousseau n'a - t - il pas laissé quelques débris de son ame brûlante et passionnée , quelques traces ...
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... choses allaient de travers . Quand mes élèves ne m'entendaient pas , j'extravaguais ; et quand ils marquaient de la méchanceté , je les aurais tués ; ce n'était pas le moyen de les rendre savants et sages . J'en avais deux ; ils étaient ...
... choses allaient de travers . Quand mes élèves ne m'entendaient pas , j'extravaguais ; et quand ils marquaient de la méchanceté , je les aurais tués ; ce n'était pas le moyen de les rendre savants et sages . J'en avais deux ; ils étaient ...
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... choses volables que je ne regardais même pas , je m'avisai de convoiter un certain petit vin blanc d'Arbois très - joli , dont quelques verres que par - ci par - là je buvais à table m'avaient fort affriandé . Il était un peu louche ...
... choses volables que je ne regardais même pas , je m'avisai de convoiter un certain petit vin blanc d'Arbois très - joli , dont quelques verres que par - ci par - là je buvais à table m'avaient fort affriandé . Il était un peu louche ...
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... chose . Je revis le noble et généreux Perrichon , et ce ne fut pas sans me ressentir de sa magnificence ordinaire ; car il me fit le même cadeau qu'il avait fait au gentil Bernard , en me défrayant de ma place à la diligence . Je revis ...
... chose . Je revis le noble et généreux Perrichon , et ce ne fut pas sans me ressentir de sa magnificence ordinaire ; car il me fit le même cadeau qu'il avait fait au gentil Bernard , en me défrayant de ma place à la diligence . Je revis ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 11 - Je me souviens même d'avoir passé une nuit délicieuse hors de la ville, dans un chemin qui côtoyait le Rhône ou la Saône, car je ne me rappelle pas lequel des deux. Des jardins élevés en terrasse bordaient le chemin du côté opposé. Il avait fait...
Page 11 - Absorbé dans ma douce rêverie, je prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade, sans m'apercevoir que j'étais las. Je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou de fausse porte enfoncée dans un mur de terrasse; le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres; un rossignol était précisément au-dessus de *s moi; je m'endormis à son chant.
Page 11 - Il avait fait très chaud ce jour-là, la soirée était charmante; la rosée humectait l'herbe flétrie; point de vent, une nuit tranquille; l'air était frais sans être froid; le soleil, après son coucher, avait laissé dans le ciel des...
Page 11 - ... rossignol était précisément au-dessus de moi ; je m'endormis à son chant : mon sommeil fut doux, mon réveil le fut davantage*. Il était grand jour : mes yeux, en s'ouvrant, virent l'eau, la verdure, un paysage admirable. Je me levai, me secouai, la faim me prit, je m'acheminai gaiement vers la ville, résolu de mettre à un bon déjeuner deux pièces de six blancs* qui me restaient encore.
Page 52 - Déposez hardiment qu'au fond cet homme horrible, Ce censeur qu'ils ont peint si noir et si terrible , Fut un esprit doux , simple , ami de l'équité , Qui , cherchant dans ses vers la seule vérité , Fit , sans être malin , ses plus grandes malices ; Et qu'enfin sa candeur seule a fait tous ses vices.
Page 11 - Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou de fausse porte enfoncée dans un mur de terrasse ; le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres ; un rossignol était précisément au-dessus de moi : je m'endormis à son chant ; mon sommeil fut doux , mon réveil le fut davantage. Il était grand jour : mes yeux , en s'ouvrant , virent l'eau " , la verdure , un paysage admirable.
Page 97 - ... n'y sera conservé que la maison du pauvre, les manufactures, les ateliers des arts, les hôpitaux, les monuments publics et ceux de l'instruction ; — 5° cette ville cessera de s'appeler Lyon; elle s'appellera Commune affranchie; — G« Sur ses débris sera élevé un monument où seront ces mots : Lyon fit la guerre à la Liberté, Lyon n'est plus ! » Ronsin, Général de l'Armée révolutionnaire , se rend à Lyon avec 2, 000 hommes et les 5 Représentants.
Page 21 - Elle n'avait rien, ni moi non plus ; nos situations étaient trop semblables pour que nous puissions nous unir, et, dans les vues qui m'occupaient, j'étais bien éloigné de songer au mariage. Elle m'apprit qu'un jeune négociant appelé M. Genève paraissait vouloir s'attacher à elle. Je le vis chez elle une fois ou deux ; il me parut honnête homme, il passait pour l'être. Persuadé...
Page 59 - ... elle se détacha du pont, et se renversa dans la rivière avec un bruit épouvantable. Le chantre en fut écrasé sur la place, à mes côtés, et moi, par une espèce de miracle, j'en fus garanti sans aucun mal.
Page 54 - L'auteur du distique s'appelle M. Dugas ; il est président en notre présidial , et fils d'un prévôt des marchands de cette ville. Il possède les langues savantes et les langues saintes ; aussi est-il très-savant et trèsvertueux. Nous avons aussi un conseiller au présidial , nommé M. de Serres, homme d'esprit et de qualité; M. Falconnet, médecin , fils d'échevin ; nous n'avons personne qui le passe , ni peut-être qui l'égale en esprit , en science, en livres et en. mérite: je dis ordinairement...