Revue du Lyonnais, Volume 8L. Boitel., 1838 |
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... hommes ; et c'est d'elle , en première origine , que ce même goût m'est venu . Elle aimait les romans de Le Sage ... homme que toute la pédantesque philosophie des livres . Je fis connais- sance aux Chazottes avec d'autres ...
... hommes ; et c'est d'elle , en première origine , que ce même goût m'est venu . Elle aimait les romans de Le Sage ... homme que toute la pédantesque philosophie des livres . Je fis connais- sance aux Chazottes avec d'autres ...
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... hommes ; je revis sa chère Godefroi , qu'il entretenait depuis dix ans , et dont la douceur de ca- ractère et la bonté de cœur faisaient à peu près tout le mérite , mais qu'on ne pouvait aborder sans intérêt ni quitter sans ...
... hommes ; je revis sa chère Godefroi , qu'il entretenait depuis dix ans , et dont la douceur de ca- ractère et la bonté de cœur faisaient à peu près tout le mérite , mais qu'on ne pouvait aborder sans intérêt ni quitter sans ...
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... hommes et du tumulte de la ville . On arrive à cette fontaine par un sentier escarpé et taillé dans le roc ; au bout de la montée , en pénétrant dans le bois , au fond d'une vallée ombragée , on voit une petite grotte entourée d'arbres ...
... hommes et du tumulte de la ville . On arrive à cette fontaine par un sentier escarpé et taillé dans le roc ; au bout de la montée , en pénétrant dans le bois , au fond d'une vallée ombragée , on voit une petite grotte entourée d'arbres ...
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... hommes avec trop de sévérité ; nos jugements sont faillibles , et ce qui est un crime à nos yeux ne le fut pas toujours dans l'ame du malheureux que nous voulons attacher au pilori . Je n'aime pas plus qu'un autre les fatales ...
... hommes avec trop de sévérité ; nos jugements sont faillibles , et ce qui est un crime à nos yeux ne le fut pas toujours dans l'ame du malheureux que nous voulons attacher au pilori . Je n'aime pas plus qu'un autre les fatales ...
Page 27
... HOMME EST NÉ LIBRE .... RENONCER A SA LIBERTÉ , c'est renonCER A SA QUALITÉ D'HOMME , AUX DROITS DE L'HUMANITÉ ... hommes dégradés , à des êtres nuls , qui avaient éte le fardeau et souvent le fléau de l'hu- manité . Les fêtes de ...
... HOMME EST NÉ LIBRE .... RENONCER A SA LIBERTÉ , c'est renonCER A SA QUALITÉ D'HOMME , AUX DROITS DE L'HUMANITÉ ... hommes dégradés , à des êtres nuls , qui avaient éte le fardeau et souvent le fléau de l'hu- manité . Les fêtes de ...
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Expressions et termes fréquents
animaux années Antony Rénal arriva artistes assez avaient Barthélemy Aneau bataille batteries beau belle Boileau Bourgneuf Brossette c'était camp Champ d'Asile chapelle Chartreux Châteaubriand chose cité cœur colonie Constantine Croix-Rousse Despréaux devait Dieu Dion dire donner écrit felon melon felon melonge Fourvière François Ier Galveston général Grognier Guelma Hist histoire hommes j'ai jeune jour l'abbé Guillon l'Académie l'armée l'art l'artillerie l'auteur l'église l'histoire laissé lettres lieu livre lon La felon long-temps Lugdunum lyonnaise M'jez-Ammar Mably maison Maléchard Marbou médecine melon du lon melonge mémoire ment mérite Monfalcon montagnes monument mort n'avait neige nommé officiers ouvrage passé peinture sur verre Pellico pendant pensée père peuple Pierre Scize place porte Précy première présente professeur publié Recy religieux reste Revue du Lyonnais Rhône rien Romains Rousseau s'est s'était saint Saône savait science sentiments serait seul Sévère Seybouse siècle siége Société soldats sorte teur tion travaux trouve vétérinaire vitraux
Fréquemment cités
Page 11 - Je me souviens même d'avoir passé une nuit délicieuse hors de la ville, dans un chemin qui côtoyait le Rhône ou la Saône, car je ne me rappelle pas lequel des deux. Des jardins élevés en terrasse bordaient le chemin du côté opposé. Il avait fait...
Page 11 - Absorbé dans ma douce rêverie, je prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade, sans m'apercevoir que j'étais las. Je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou de fausse porte enfoncée dans un mur de terrasse; le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres; un rossignol était précisément au-dessus de *s moi; je m'endormis à son chant.
Page 11 - Il avait fait très chaud ce jour-là, la soirée était charmante; la rosée humectait l'herbe flétrie; point de vent, une nuit tranquille; l'air était frais sans être froid; le soleil, après son coucher, avait laissé dans le ciel des...
Page 11 - ... rossignol était précisément au-dessus de moi ; je m'endormis à son chant : mon sommeil fut doux, mon réveil le fut davantage*. Il était grand jour : mes yeux, en s'ouvrant, virent l'eau, la verdure, un paysage admirable. Je me levai, me secouai, la faim me prit, je m'acheminai gaiement vers la ville, résolu de mettre à un bon déjeuner deux pièces de six blancs* qui me restaient encore.
Page 52 - Déposez hardiment qu'au fond cet homme horrible, Ce censeur qu'ils ont peint si noir et si terrible , Fut un esprit doux , simple , ami de l'équité , Qui , cherchant dans ses vers la seule vérité , Fit , sans être malin , ses plus grandes malices ; Et qu'enfin sa candeur seule a fait tous ses vices.
Page 11 - Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou de fausse porte enfoncée dans un mur de terrasse ; le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres ; un rossignol était précisément au-dessus de moi : je m'endormis à son chant ; mon sommeil fut doux , mon réveil le fut davantage. Il était grand jour : mes yeux , en s'ouvrant , virent l'eau " , la verdure , un paysage admirable.
Page 97 - ... n'y sera conservé que la maison du pauvre, les manufactures, les ateliers des arts, les hôpitaux, les monuments publics et ceux de l'instruction ; — 5° cette ville cessera de s'appeler Lyon; elle s'appellera Commune affranchie; — G« Sur ses débris sera élevé un monument où seront ces mots : Lyon fit la guerre à la Liberté, Lyon n'est plus ! » Ronsin, Général de l'Armée révolutionnaire , se rend à Lyon avec 2, 000 hommes et les 5 Représentants.
Page 21 - Elle n'avait rien, ni moi non plus ; nos situations étaient trop semblables pour que nous puissions nous unir, et, dans les vues qui m'occupaient, j'étais bien éloigné de songer au mariage. Elle m'apprit qu'un jeune négociant appelé M. Genève paraissait vouloir s'attacher à elle. Je le vis chez elle une fois ou deux ; il me parut honnête homme, il passait pour l'être. Persuadé...
Page 59 - ... elle se détacha du pont, et se renversa dans la rivière avec un bruit épouvantable. Le chantre en fut écrasé sur la place, à mes côtés, et moi, par une espèce de miracle, j'en fus garanti sans aucun mal.
Page 54 - L'auteur du distique s'appelle M. Dugas ; il est président en notre présidial , et fils d'un prévôt des marchands de cette ville. Il possède les langues savantes et les langues saintes ; aussi est-il très-savant et trèsvertueux. Nous avons aussi un conseiller au présidial , nommé M. de Serres, homme d'esprit et de qualité; M. Falconnet, médecin , fils d'échevin ; nous n'avons personne qui le passe , ni peut-être qui l'égale en esprit , en science, en livres et en. mérite: je dis ordinairement...