Revue du Lyonnais, Volume 8L. Boitel., 1838 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 29
Page 169
... soldats de l'église ? l'impartialité de l'histoire demandait cet aveu , et l'honneur de nos pères sollicitait cetle réparation de la vérité . Les Lyonnais purent bien briser un pouvoir usurpé par Burchard II , sanctionné par le prétendu ...
... soldats de l'église ? l'impartialité de l'histoire demandait cet aveu , et l'honneur de nos pères sollicitait cetle réparation de la vérité . Les Lyonnais purent bien briser un pouvoir usurpé par Burchard II , sanctionné par le prétendu ...
Page 176
... soldats étrangers qui , ayant appris à connaître les Français en combattant à leurs côtés , avaient mieux aimé suivre la destinée chanceuse de quelques - uns de ces an- ciens compagnons d'armes que de rentrer dans leur pa- trie . Cette ...
... soldats étrangers qui , ayant appris à connaître les Français en combattant à leurs côtés , avaient mieux aimé suivre la destinée chanceuse de quelques - uns de ces an- ciens compagnons d'armes que de rentrer dans leur pa- trie . Cette ...
Page 180
... soldats espagnols et les fit marcher ensemble contre le Champ d'Asile , résolu à le détruire de fond en comble , à en immoler tous les habitants . Qu'on juge de l'effet produit sur les colons français par cette nouvelle foudroyante ...
... soldats espagnols et les fit marcher ensemble contre le Champ d'Asile , résolu à le détruire de fond en comble , à en immoler tous les habitants . Qu'on juge de l'effet produit sur les colons français par cette nouvelle foudroyante ...
Page 219
... soldats ; il mit un soin tout particulier , tout pater- nel , à rendre plus parfait l'enseignement primaire qui leur était donné . La méthode des Frères de la doctrine chrétienne lui ayant paru la meilleure , et l'admission des ...
... soldats ; il mit un soin tout particulier , tout pater- nel , à rendre plus parfait l'enseignement primaire qui leur était donné . La méthode des Frères de la doctrine chrétienne lui ayant paru la meilleure , et l'admission des ...
Page 220
... soldats pussent s'acclimater . Les officiers furent pris parmi les plus capables et sur tout parmi ceux qui avaient déjà fait la guerre en Afrique . A ce double titre , Maléchard ne pouvait être oublié , et il fut , dès les pre- miers ...
... soldats pussent s'acclimater . Les officiers furent pris parmi les plus capables et sur tout parmi ceux qui avaient déjà fait la guerre en Afrique . A ce double titre , Maléchard ne pouvait être oublié , et il fut , dès les pre- miers ...
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
animaux années Antony Rénal arriva artistes assez avaient Barthélemy Aneau bataille batteries beau belle Boileau Bourgneuf Brossette c'était camp Champ d'Asile chapelle Chartreux Châteaubriand chose cité cœur colonie Constantine Croix-Rousse Despréaux devait Dieu Dion dire donner écrit felon melon felon melonge Fourvière François Ier Galveston général Grognier Guelma Hist histoire hommes j'ai jeune jour l'abbé Guillon l'Académie l'armée l'art l'artillerie l'auteur l'église l'histoire laissé lettres lieu livre lon La felon long-temps Lugdunum lyonnaise M'jez-Ammar Mably maison Maléchard Marbou médecine melon du lon melonge mémoire ment mérite Monfalcon montagnes monument mort n'avait neige nommé officiers ouvrage passé peinture sur verre Pellico pendant pensée père peuple Pierre Scize place porte Précy première présente professeur publié Recy religieux reste Revue du Lyonnais Rhône rien Romains Rousseau s'est s'était saint Saône savait science sentiments serait seul Sévère Seybouse siècle siége Société soldats sorte teur tion travaux trouve vétérinaire vitraux
Fréquemment cités
Page 11 - Je me souviens même d'avoir passé une nuit délicieuse hors de la ville, dans un chemin qui côtoyait le Rhône ou la Saône, car je ne me rappelle pas lequel des deux. Des jardins élevés en terrasse bordaient le chemin du côté opposé. Il avait fait...
Page 11 - Absorbé dans ma douce rêverie, je prolongeai fort avant dans la nuit ma promenade, sans m'apercevoir que j'étais las. Je m'en aperçus enfin. Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou de fausse porte enfoncée dans un mur de terrasse; le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres; un rossignol était précisément au-dessus de *s moi; je m'endormis à son chant.
Page 11 - Il avait fait très chaud ce jour-là, la soirée était charmante; la rosée humectait l'herbe flétrie; point de vent, une nuit tranquille; l'air était frais sans être froid; le soleil, après son coucher, avait laissé dans le ciel des...
Page 11 - ... rossignol était précisément au-dessus de moi ; je m'endormis à son chant : mon sommeil fut doux, mon réveil le fut davantage*. Il était grand jour : mes yeux, en s'ouvrant, virent l'eau, la verdure, un paysage admirable. Je me levai, me secouai, la faim me prit, je m'acheminai gaiement vers la ville, résolu de mettre à un bon déjeuner deux pièces de six blancs* qui me restaient encore.
Page 52 - Déposez hardiment qu'au fond cet homme horrible, Ce censeur qu'ils ont peint si noir et si terrible , Fut un esprit doux , simple , ami de l'équité , Qui , cherchant dans ses vers la seule vérité , Fit , sans être malin , ses plus grandes malices ; Et qu'enfin sa candeur seule a fait tous ses vices.
Page 11 - Je me couchai voluptueusement sur la tablette d'une espèce de niche ou de fausse porte enfoncée dans un mur de terrasse ; le ciel de mon lit était formé par les têtes des arbres ; un rossignol était précisément au-dessus de moi : je m'endormis à son chant ; mon sommeil fut doux , mon réveil le fut davantage. Il était grand jour : mes yeux , en s'ouvrant , virent l'eau " , la verdure , un paysage admirable.
Page 97 - ... n'y sera conservé que la maison du pauvre, les manufactures, les ateliers des arts, les hôpitaux, les monuments publics et ceux de l'instruction ; — 5° cette ville cessera de s'appeler Lyon; elle s'appellera Commune affranchie; — G« Sur ses débris sera élevé un monument où seront ces mots : Lyon fit la guerre à la Liberté, Lyon n'est plus ! » Ronsin, Général de l'Armée révolutionnaire , se rend à Lyon avec 2, 000 hommes et les 5 Représentants.
Page 21 - Elle n'avait rien, ni moi non plus ; nos situations étaient trop semblables pour que nous puissions nous unir, et, dans les vues qui m'occupaient, j'étais bien éloigné de songer au mariage. Elle m'apprit qu'un jeune négociant appelé M. Genève paraissait vouloir s'attacher à elle. Je le vis chez elle une fois ou deux ; il me parut honnête homme, il passait pour l'être. Persuadé...
Page 59 - ... elle se détacha du pont, et se renversa dans la rivière avec un bruit épouvantable. Le chantre en fut écrasé sur la place, à mes côtés, et moi, par une espèce de miracle, j'en fus garanti sans aucun mal.
Page 54 - L'auteur du distique s'appelle M. Dugas ; il est président en notre présidial , et fils d'un prévôt des marchands de cette ville. Il possède les langues savantes et les langues saintes ; aussi est-il très-savant et trèsvertueux. Nous avons aussi un conseiller au présidial , nommé M. de Serres, homme d'esprit et de qualité; M. Falconnet, médecin , fils d'échevin ; nous n'avons personne qui le passe , ni peut-être qui l'égale en esprit , en science, en livres et en. mérite: je dis ordinairement...