... rossignol était précisément au-dessus de moi ; je m'endormis à son chant : mon sommeil fut doux, mon réveil le fut davantage*. Il était grand jour : mes yeux, en s'ouvrant, virent l'eau, la verdure, un paysage admirable. Je me levai, me secouai,... Revue du Lyonnais - Page 111838Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 424 pages
...déjeûner deux pièces de six blancs qui me restaient encore. J'étais desibonnehumeurquej'allaischantant tout le long du chemin ; et je me souviens même que je chantais une cantate de Batistiii , intitulée les Bains de Thomery, que je savais par cœur. Que béni soit le bon Batibtm... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 454 pages
...déjeûné deux pièces de six blancs qui me restoient encore. J'étois de si bonne humeur que j'allois chantant tout le long du chemin, et je me souviens même que je chantois une cantate de Batistin, intitulée les Bains de Thomery, que je savois par cœur. Que bénit... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 458 pages
...déjeûné deux pièces de six blancs qui me restoient encore. J'étois de si bonne humeur que j'allois chantant tout le long du chemin , et je me souviens même que je chanlois une cantate de Batistin , intitulée les Bains de Thomery, que je savois par cœur. Que bénit... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 482 pages
...la verdure, un paysage admirable. Je me levai, me secouai : la faim me prit; je m'acheminai gaiement vers la ville, résolu de mettre à un bon déjeuner...chantais une cantate de Batistin , intitulée les Bains de Thomery, que je savais par cœur. Que béni soit « VAR « En s'ouvrant, virent le soleil,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 508 pages
...la verdure, un paysage admirable. Je me levai, me secouai : la faim me prit; je m'acheminai gaiement vers la ville, résolu de mettre à un bon déjeuner deux pièces de six blancs qui me restoient encore. J'étois de si bonne humeur, que j'allois chantant tout le long du chemin; et je... | |
| 1825 - 500 pages
...secouai , la faim me prit , je m'acheminai gaiment vers la ville , résolu de mettre à un bon déjeuné deux pièces de six blancs qui me restaient encore....humeur que j'allais chantant tout le long du chemin. » ( Confessions , liv. iv. ) infinité d'améliorations dans l'art de filer la soie et dans la fabrication... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pages
...verdure, un paysage admirable. Je me lerai , me secouai : la faim me prit ; je m'acheminai gaiement vers la ville, résolu de mettre à un bon déjeuner...restaient encore. J'étais de si bonne humeur, que j'allai chantant toui le longdu chemin; et je me souviens môme que je chantais une cantate de Batistin,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1832 - 412 pages
...verdure, un paysage admirable. Je me levai, me secouai : la faim me prit ; je m'acheminai gaîment vers la ville , résolu de mettre à un bon déjeuner deux pièces de six blancs qui me restoient encore. J'élois de si bonne humeur, que j'allois chantant tout le long du chemin; et je... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 820 pages
...verdure, un paysage admirable. Je me levai , me secouai : la faim me prit ; je m'acheminai gaimcnt vers la ville, résolu de mettre à un bon déjeuner...deux pièces de six blancs qui me restaient encore. J'étois de si bonne humeur, que j'allois chantant (oui le long du chemin; et je me souviens même... | |
| 1838 - 512 pages
...verdure, un paysage admirable. Je me levai , me secouai ; la faim me prit ; je m'acheminai gaîmentvers la ville , résolu de mettre à un bon déjeuner deux...chantais une cantate de Batistin , intitulée les Bains de Thomery, que je savais par cœur. Que béni soit le bon saint Batistiu et sa bonne cantate,... | |
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