Œuvres: Les confessionsDeterville, 1817 |
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Page 182
... Margency , qui m'a dit souvent depuis lors avoir admiré la douceur et la modération de mes réponses , quenfin , chassé de chez lui par ce traitement indigne , j'en sortis , résolu de n'y plus rentrer . Cela ne m'empêcha pas de parler ...
... Margency , qui m'a dit souvent depuis lors avoir admiré la douceur et la modération de mes réponses , quenfin , chassé de chez lui par ce traitement indigne , j'en sortis , résolu de n'y plus rentrer . Cela ne m'empêcha pas de parler ...
Page 285
... Margency dîner à l'Hermitage pour la première fois depuis que j'y demeurois , elle prit le temps que je me promenois avec Margency , pour en- trer dans mon cabinet avec la mère et la fille , et les presser de lui montrer les lettres de ...
... Margency dîner à l'Hermitage pour la première fois depuis que j'y demeurois , elle prit le temps que je me promenois avec Margency , pour en- trer dans mon cabinet avec la mère et la fille , et les presser de lui montrer les lettres de ...
Page 386
... Margency , gentilhomme ordi- naire du roi , ancien membre de la coterie hol- bachique , qu'il avoit quittée ainsi que moi , et ancien ami de madame d'Épinay , dont il s'étoit détaché ainsi que moi ; ni sur celle de son ami Desmahis ...
... Margency , gentilhomme ordi- naire du roi , ancien membre de la coterie hol- bachique , qu'il avoit quittée ainsi que moi , et ancien ami de madame d'Épinay , dont il s'étoit détaché ainsi que moi ; ni sur celle de son ami Desmahis ...
Page 387
Jean-Jacques Rousseau. mon voisin de campagne , sa terre de Margency étant près de Montmorency . Nous étions d'an- ciennes connoissances ; mais le voisinage et une certaine conformité d'expérience nous rappro- chèrent davantage . Le ...
Jean-Jacques Rousseau. mon voisin de campagne , sa terre de Margency étant près de Montmorency . Nous étions d'an- ciennes connoissances ; mais le voisinage et une certaine conformité d'expérience nous rappro- chèrent davantage . Le ...
Page 389
... fus fort sensible , quoique je ne jugeasse pas à propos d'en profiter . Il y avoit une place va- cante dans le journal des savants . Margency m'é crivit pour me la proposer comme de lui - même PARTIE II , LIVRE X. 389.
... fus fort sensible , quoique je ne jugeasse pas à propos d'en profiter . Il y avoit une place va- cante dans le journal des savants . Margency m'é crivit pour me la proposer comme de lui - même PARTIE II , LIVRE X. 389.
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Expressions et termes fréquents
aimable amis amitié assez auroit avoient avois avoit Boufflers c'étoit Chenonceaux chose cœur comte connoissance crus dame déja Devin du village devoit Diderot dîner dire donner écrit étoient étoit eût faisoit falloit femme fille Francueil fût Genève gens goût grace Grimm holbachique homme j'ai j'allois j'aurois j'avois j'en j'étois j'eus Jacques jamais Jean-Jac jour juger l'abbé l'Émile l'Hermitage laisser lettre liaisons avec Jean-Jacques livre long-temps m'avoit m'écrivit m'en m'eût madame d'Épinay madame d'Houdetot madame de Luxembourg madame de Pompadour madame de Warens madame Dupin madame la maréchale madame Le Vasseur mademoiselle maison malheurs manuscrit Margency ment moi-même Montaigu Montmorency Motiers musique n'en n'y avoit occasion ouvrage parceque parler paroissoit passer personne plaisir pouvoit premier prendre pût réponse reste rien Saint-Lambert sentiments sentois seroit seul sitôt sortir succès sur-tout talents Thérèse tion tout-à-fait trouvai trouvois Venise venoit vint vois vouloit voulut voyage voyois
Fréquemment cités
Page 431 - ... c'est vous qui me rendez le séjour de mon pays insupportable ; c'est vous qui me ferez mourir en terre étrangère, privé de toutes les consolations des mourants, et jeté, pour tout honneur, dans une voirie ; tandis que tous les honneurs qu'un homme peut attendre vous accompagneront dans mon pays.
Page 505 - L'expédient me réussit; je ne trouvai point M. de Mairan : fort aise d'être dispensé de m'arrêter, je continuai ma route sans que personne me dît un mot. En entrant sur le territoire de Berne, je fis arrêter; je descendis, je me prosternai, j'embrassai, je baisai la terre , et m'écriai dans mon transport : Ciel, protecteur de la vertu, je te loue, je touche une terre de liberté!
Page 215 - Les climats, les saisons, les sons, les couleurs, l'obscurité, la lumière, les éléments, les aliments, le bruit, le silence, le mouvement, le repos, tout agit sur notre machine et sur notre âme par conséquent; tout nous offre mille prises presque assurées pour gouverner dans leur origine les sentiments dont nous nous laissons dominer.
Page 411 - ... battre les flancs pour répondre, et toujours nouveaux embarras pour remercier ou pour refuser. Cependant, à force de la voir, je finis par m'attacher à elle. Elle avait ses chagrins, ainsi que moi. Les confidences réciproques nous rendirent intéressants nos tête-à-tête. Rien ne lie tant les cœurs que la douceur de pleurer ensemble.
Page 215 - Que d'écarts on sauveroit à la raison, que de vices on empêcheroit de naître, si l'on savoit forcer l'économie animale à favoriser l'ordre moral qu'elle trouble si souvent! Les climats, les saisons, les sons, les couleurs, l'obscurité, la lumière, les élémens , les alimens, le bruit, le silence...
Page 440 - ... on était loin de concevoir à quel point je puis m'enflammer pour des êtres imaginaires.
Page 31 - ... poétique et musical, je composai rapidement en sept ou huit heures la meilleure partie de mon acte.
Page 257 - ... rien imaginer de plus inattendu, de plus choquant, que de me voir tout d'un coup m'inscrire de ma propre main parmi les auteurs de ces livres que j'avais si durement censurés ? Je sentais cette inconséquence dans toute sa force, je me la reprochais, j'en rougissais, je m'en dépitais : mais tout cela ne put suffire pour me ramener à la raison.
Page 89 - A peine les connaît-elle encore à présent. Elle n'a jamais pu suivre l'ordre des douze mois de l'année, et ne connaît pas un seul chiffre, malgré tous les soins que j'ai pris pour les lui montrer. Elle ne sait ni compter l'argent ni le prix d'aucune chose.
Page 616 - Pour moi, je le déclare hautement et sans crainte: quiconque, même sans avoir lu mes écrits, examinera par ses propres yeux mon naturel, mon caractère, mes mœurs, mes penchants, mes plaisirs, mes habitudes, et pourra me croire un malhonnête homme , est lui-même un homme à étouffer.