... battre les flancs pour répondre, et toujours nouveaux embarras pour remercier ou pour refuser. Cependant, à force de la voir, je finis par m'attacher à elle. Elle avait ses chagrins, ainsi que moi. Les confidences réciproques nous rendirent intéressants... Œuvres: Les confessions - Page 411de Jean-Jacques Rousseau - 1817Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 470 pages
...chagrins, ainsi que moi. Les confidences réciproques nous rendirent intéressants nos tête-à-téte. Rien ne lie tant les cœurs que la douceur de pleurer...réellement en avoir beaucoup pour croire qu'elle put sincèrement me pardonner. Voici un échantillon des lettres que je lui ai quelquefois écrites,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pages
...chagrins ainsi que moi. Les confidences réciproques nous rendirent intéressans nos tète-à-tète. Rien ne lie tant les cœurs que la douceur de pleurer...besoin m'a souvent fait passer sur beaucoup de choses. J'avais mis tant de dureté dans ma franchise avec elle, qu'après avoir montré quelquefois si peu... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1845 - 382 pages
...chagrins, ainsi que moi. Les confidences réciproques nous rendirent intéressants nos tête-àtète. Rien ne lie tant les cœurs que la douceur de pleurer...besoin m'a souvent fait passer sur beaucoup de choses. J'avais mis tant de dureté dans ma franchise avec elle, qu'après avoir montré quelquefois si peu... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1846 - 586 pages
...chagrins, ainsi que moi. Les confidences réciproques nous rendirent intéressants nos tête-à-tête. Rien ne lie tant les cœurs que la douceur de pleurer...besoin m'a souvent fait passer sur beaucoup de choses. J'avais mis tant de dureté dans ma franchise avec elle, qu'après avoir montré quelquefois si peu... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1849 - 636 pages
...cherchions pour nous consoler, et ce besoin m'a souvent fait passer sur beaucoup de choses. J'avais mis lant de dureté dans ma franchise avec elle , qu'après avoir montré quelquefois si peu d'estime |:our son caractère, il fallait réellement en avoir beaucoup pour croire qu'elle pût sincèrement... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1858 - 672 pages
...besoin m'a souvent fait passer sur beaucoup de choses. J'avais mis tantde dureté dans mafrauchise avec elle, qu'après avoir montré quelquefois si peu d'estime pour son caractère, il fallait réellement en avoir beaucoup pour croire qu elle pût sincèrement me pardonner. Voici un... | |
| George Streckeisen-Moultou - 1865 - 646 pages
...chagrins ainsi que moi. Les confidences réciproques nous rendirent intéressants nos têteà-tête. Rien ne lie tant les cœurs que la douceur de pleurer...ensemble. Nous nous cherchions pour nous consoler... » Je ne sais si c'est la faute de mon esprit obtus, mais il me semble qu'il faut l'avoir bien tourné... | |
| Georges Streckeisen-Moultou - 1865 - 652 pages
...chagrins ainsi que moi. Les confidences réciproques nous rendirent intéressants nos lêleà-têle. Rien ne lie tant les cœurs que la douceur de pleurer...ensemble. Nous nous cherchions pour nous consoler... » Je ne sais si c'est la faute de mon esprit ol)tus, mais il me semble qu'il faut l'avoir bien tourné... | |
| Sainte-Beuve - 1867 - 474 pages
...chagrins ainsi que moi. Les confidences réciproques nous rendirent intéressants nos tête-à-tête : rien ne lie tant les cœurs que la douceur de pleurer...ensemble. Nous nous cherchions pour nous consoler... » Je ne sais si c'est la faute de mon esprit obtus, mais il me semble qu'il faut l'avoir bien tourné... | |
| Gustave Sandré - 1867 - 684 pages
...Qu'une femme pleure, une autre pleurera, et toutes pleureront autant qu'il en viendra. M"0 RIEUX. — Rien ne lie tant les cœurs que la douceur de pleurer ensemble. .I.-.I . ROUSSEAU. — Une femme qui pleure devant celui qu'elle aime ne s'appartient plus. BALZAC.... | |
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